Le Mariage De Georges Duroy

plus importantes dans le portrait d’un personnage car ceci permet aux lecteurs de l’identifier et de le comparer avec les autres, mais avant tout, le but d’une description précise et de rendre le personnage le plus vivant possible. Par exemple, G. Duroy est un homme de grande taille, bien fait, aux cheveux frisés blond châtain, à la moustache retroussée, "aux yeux bleus, clairs, troués d’une pupille toute petite". Le personnage de roman s’habille comme l’homme avec des vêtements, et la façon dont

...............3 1. Résumé Le 28 juin 1880, Georges duroy, sous-officier, fils d'aubergistes normands, reconverti tant bien que mal dans la vie civile dans les chemins de fer, rencontre Forestier, un ancien camarade de régiment qui, après l'avoir invite a diner, lui conseille et l'introduit dans le milieu journalistique. La Vie Française est dirigée par Walter, un juif riche et influent politiquement. Désormais employé aux renseignements, duroy fait écrire ses premiers articles par la femme de

GEORGES DUROY « cambra la taille frisa sa moustache [...] » D.R p15 « Je crève de faim tout simplement. Une fois mon temps fini, j'ai voulu venir ici pour... pour faire fortune ou plutôt pour vivre à Paris ; et voilà six mois que je suis employé aux bureaux des chemin de fer du Nord à quinze fracs par ans, rien de plus. » p21 D.R « J'y suis resté 28mois et j'ai séjourné les trois provinces. » DR parlant de l'Algérie p42 « la rue Boursault qu'il habitait » D.R p49 « hâte de sortir de là, de loger

des liens entre les volumes, des passerelles, des renvois. Le roman s’ouvre sur la description d’une pension tenue par Mme Vauquer. Dans cette pension vivent Eugène de Rastignac et le père Goriot. Le père Goriot sacrifie tout son argent pour les mariages de ces deux filles : Delphine de Nucingen et Anastasie de Restaud. Eugène de Rastignac vient à Paris pour se faire une place dans la bonne société (c’est un jeune provincial). Il intègre peu à peu l’aristocratie et devient l’amant de Delphine de

inaperçus pour des observateurs peu clairvoyants, et qui donnent au livre sa potée, sa valeur d'ensemble ". L'intrigue de Bel-Ami est montée de toutes pièces : il faut que Forestier meure pour que Duroy épouse Madeleine, mais il faut que le mariage n'ait pas été célébré à l'église pour que Georges Duroy épouse Suzanne Walter religieusement. On est loin de l'idéal expérimental de Zola. Différences : Le naturalisme de Maupassant est en effet profondément différent de celui de Zola. C'est un

baron Georges Du Roy. Bel-Ami, à genoux à côté de Suzanne, avait baissé le front. Il se sentait en ce moment presque croyant, divinité religieux, plein de reconnaissance pour la divinité qui l’avait ainsi favorisé, qui le traitait avec ces égards. Et sans savoir au juste à qui il s’adressait, il la remerciait de son succès. Lorsque l’office fut terminé, il se redressa, et, donnant le bras à sa femme, il passa dans la sacristie. Alors commença l’interminable défilé des assistants. Georges, affolé

fictif collectionne les maitresses. Beaucoup de points communs sont retrouvés entre Bel Ami et Maupassant, notamment l’angoisse de la mort, la conquête féminine et la folie en quelque sorte. 2) Etude de l’ouvrage A) Résumé de l’histoire : Georges Duroy, fils de paysans dans une situation précaire, rencontre son vieil ami, Forestier aux détours d’une rue, celui-ci le fait rentrer dans La Vie Française, et le sortira de sa misère. Il fera d’abord la connaissance de Mme de Marelle qui deviendra

2° partie, chapitre 10 De "Duroy l'ecoutait ivre d'orgueil ..." à "... se métamorphosait en un monde." Introduction Cet extrait évoque le mariage de Georges Du Roy De Cantel avec Suzanne Walter (fille du directeur de la vie française). Cette cérémonie est menée en grande pompe à la Madeleine. Ce passage met en valeur la promotion finale qui clôt le parcourt du héros. Nous analyserons l'art de Maupassant à présenter une cérémonie grandiose puis nous verrons comment s'exprime le bonheur

et des sentiments (l 4, 5, 13,14 et 36)  Comment Bel Ami perçoit son mariage et son amour secret. Le lecteur n’a pas accès aux sentiments de Suzanne, ni pour Mme de Marelles, on ne connait d’elle que ce que perçoit Georges (l 19, 20) = SUBJECTIVITE B – La cérémonie est assimilée à un triomphe Spectacle, héros élu des dieux Hyperboles l 9, 10, 30, 40, 45, les regards sont tournés vers lui : l 29, 34, 35, 39, 41. Duroys est l’image de la réussite sociale. II – L’indifférence de Bel Ami A

premier temps, nous verrons les points de vue présents dans ces extraits puis nous expliquerons l’image du héros que nous donnent les auteurs. Dans l’extrait de Bel-Ami, le point de vue est omniscient. En effet, le narrateur sait ce que ressent Georges « il se sentait en ce moment presque croyant » l.4-5, mais également les autres personnages comme Mme de Marelle « elle s’approcha un peu timide, un peu inquiète » l.18. Il a également connaissance du passé des personnages « le souvenir de tous les