Le Mariage De Georges Duroy

Le personnage de Julien Sorel, esthétiques et valeurs.Le personnage de Julien Sorel parcourt la société de 1830 et en découvre les rouages, des réalités derrière des apparences brillantes.I. Un jeune de son temps :Tout d’abord, Julien est un jeune homme de son époque : en effet, tous les écrivains de cette génération évoqueront les expériences et les désillusions de cette jeunesse sans chef et tourmentée. Elle est née pendant les grandes batailles napoléoniennes et s’est construite

par les relations qu'elle engendre, le fonctionnement diégétique et symbolique du récit.»1 C'est en termes d'ascension, de «varappe», comme dit J. L. Bory dans sa préface à l'édition Folio de Bel-Ami,2 que se comprend le fulgurant triomphe de Georges Duroy. Cette montée incessante, cette verticalité posturale, sont entièrement inscrites dans un espace à conquérir. La disposition topographique n'est plus celle du roman Une Vie, où les lieux sont d'emblée étalés devant nous, dans le bon voisinage des

l'ascension sociale d'un paysan George Duroy = soldat souhaitant faire fortune qui «monte à Paris ». Fils de fermiers normands sans le sou. Conquiert f + pouvoir + argent ce qui n'est pas extraordinaire. Son ascension ne relève pas du fantastique/merveilleux : gravit les échelons un à un. Son hist pourrait ê celle de n'importe qui. 2. Une scène ordinaire : un mariage parisien Procédés et exemples Interprétations Expressions renvoyant au rituel du mariage «à genoux à côté de S » l1 «Lorsque

leurs actes et leurs caractères. Georges Duroy, personnage de Bel Ami, se marie avec une femme, Suzanne et, voyant une ancienne conquête, Mme de Marelle, ressent "le désir brusque de la reprendre". Il est aussi dit que "Georges pensait : "Quelle charmante maîtresse tout de même.", cet homme a donc des pensées à caractère infidèle car il pense à sa maîtresse d'une manière indécente comme nous l'indique le "tout de même" : il remarque cela seulement le jour de son mariage. Ainsi, il ne respecte pas Suzanne

Bel Ami Fin du roman I. Le sacre de Bel-Ami A) Les procédés stylistiques - Métaphore filée qui le présente comme un roi : " affolé de joie " et " un roi qu'un peuple venait acclamer ".Métaphore préparée par les jeux de mots sur son nom " Georges Du Roy " - La sortie de l'Eglise = procession royale (cf. 3ème paragraphe avant la fin).La foule est immense. Champ lexical de la fouleElle est comparée à une masse. => c'est une masse anonyme qui n'existe que par rapport à Bel-Ami : elle est là

 Ce dernier invite Duroy à dîner  pour lui présenter un grand patron de la presse. – Monsieur Forestier, s’il vous plaît ? – Au troisième, la porte à gauche. Le concierge avait répondu cela d’une voix aimable où apparaissait une consi- dération pour son locataire. Et Georges Duroy monta l’escalier. Il était un peu gêné, intimidé, mal à l’aise. Il portait un habit pour la première fois de sa vie, et l’ensemble de sa toilette l’inquiétait : il la sentait défectueuse en tout, par les bottines non vernies mais assez fi nes

dans Bel-Ami, aux quatre tableaux qu’elle laisse pendre du mur « au bout de cordons inégaux ». Leurs sujets naïfs, « une barque sur un fleuve », un moulin dans une plaine », signent « l’étudiante », la grisette entrée dans la bourgeoisie par un mariage inattendu. Les choses ne sont pas le simple reflet des hommes, elles agissent aussi sur eux. Alors que Stendhal, dans Le Rouge et le Noir, néglige le rôle de la nuit et de ses « voluptés molles » au moment où Julien Sorel prend la main de Mme de Rénal

« n'avoir plus à parler ». 2. «La demande en mariage » de « Le soir... » jusqu'à «... dès qu'elle le voudrait » page 69 3. « Le meurtre » : de « J'ai pensé... » jusqu'à « ...la porte du malheur. » page 93 4. « Le dénouement » : de « J'étais épuisé » jusqu'à la fin du roman, page 185 CORPUS COMPLEMENTAIRE Groupement de textes : « les métamorphoses du héros de roman » 1. MAUPASSANT, Bel-Ami, 1885 (Georges Duroy dans l'escalier) 2. VICTOR HUGO , Les Travailleurs

Chapitres Temps Contenu 1 28 juin 1880 Georges Duroy rencontre Forestier Il lui donne une leçon de vie parisienne, lui demande pourquoi il n’essaierait pas le journalisme F. constate que D. a un certain succès auprès des femmes F. l’invite à venir dîner chez lui pour lui faire rencontrer le directeur de son journal 2 Soirée du 29 juin Dîner chez les F. Il séduit Mme Walter (femme du directeur) qui lui demande de rédiger und article sur l’Algérie (où il a vécu 28 mois) Rencontre avec

dans Bel-Ami, aux quatre tableaux qu’elle laisse pendre du mur « au bout de cordons inégaux ». Leurs sujets naïfs, « une barque sur un fleuve », un moulin dans une plaine », signent « l’étudiante », la grisette entrée dans la bourgeoisie par un mariage inattendu.  Les choses ne sont pas le simple reflet des hommes, elles agissent aussi sur eux. Alors que Stendhal, dans Le Rouge et le Noir, néglige le rôle de la nuit et de ses « voluptés molles » au moment où Julien Sorel prend la main de Mme de