Le Massacre de Fort Apache

traditions. En 1868, le traité de Fort Laramie (signé entre l’état américain et le chef des Sioux, Nuage rouge), deuxième traité de paix, met fin à l’insurrection des Sioux et leur garantit le respect de leur territoire sacré dans les Collines noires. Plus tard, l’état américain prendra encore d’autres accords avec d’autres tribus qui lui résistent toujours. Les colons toujours plus nombreux, l’état est bien en peine de tenir parole et de respecter le traité de Fort Laramie. Les Indiens, voyant le

4 septembre | Reddition du chef apache Geronimo. | | Né en Arizona en juin 1829, Geronimo appartient à la tribu des Chiricahua dont il devient le chef respecté par tous. A l'été 1858, en l'absence des guerriers, les Mexicains attaquent le camp de Geronimo et massacrent femmes et enfants. Geronimo perd sa mère, sa femme et ses trois enfants. Dès lors, le chef apache et ses guerriers enchaînent raid sur raid côté mexicain et américain. La guérilla apache fait rage dans le Sud-Ouest américain

travailler avec un producteur indépendant, Walter Wanger, car les autres maisons de production refusent que John Wayne joue dedans. Grand patriote, il s'engage en 1942 dans l'US Navy et a toujours servi ses idéaux sur l'égalité des droits avec 'Le Massacre de Fort Apache', premier film qui rend leur dignité aux Indiens. Pour grand nombre de personnes dans l'industrie du cinéma, John Ford passe pour être difficile et cruel mais chacun s'incline devant son oeuvre. 'Sur la piste des Mowaks', 'Rio Grande', 'La

; l’autorité municipale a déserté son poste, et il n'y a pas de gendarmes... Les femmes et les enfants sont rares en ce jour de foire (la vente des bestiaux est l’affaire des chefs de famille), mais celles et ceux qui sont présents participent au massacre. Le corps sanguinolent d’Alain de Monéys est dégradé, traîné à même le sol, roué de coups de bâtons : tout le monde veut y avoir sa part, et en retire une certaine fierté virile. Sans doute le jeune noble finit-il par sombrer dans le coma ; peut-être

NEW YORK Le nom lui même est révélateur de la ville. L'histoire de cette ville est une histoire de sang, de souffrances, de massacres dont personnes ne parlent jamais. Les américains sont plus soucieux des tragédies en Europe que le début de leur propre histoire. Les français comparé aux américains veulent s'imposer partout, étendre leur cultures, façon de vivre partout. Mais ce n'est pas vrai, ce sont les américains qui ont fait ça si on regarde bien leur histoire puisqu'au départ, les hommes

brusquée»: il comptait emporter la décision par des attaques frontales massives à l’abri d’un rideau de feu. Séduit, Lloyd George accepta de placer des troupes britanniques sous son commandement. Mais on a prétendu que garder un secret n’était pas le fort de Nivelle, et il aurait parlé de son offensive à des dames au cours d’un dîner. Il parlait également de son projet aux journalistes (sans toutefois en exposer le plan précis). Comble de malchance, les Allemands saisirent un exemplaire de son plan

est le moteur de cette transformation majeure qui culminerait dans l’installation de l’État ? Son émergence sanctionnerait la légitimité d’une propriété privée préalablement apparue, l’État serait le représentant et le protecteur des propriétaires. Fort bien. Mais pourquoi y aurait-il apparition de la propriété privée en un type de société qui ignore, perce qu’il la refuse, la propriété ? Pourquoi quelques-uns désirèrent-ils proclamer un jour ceci est à moi, et comment les autres laissèrent-ils ainsi

parlant. Lui-même se présente d’ailleurs au cours de la réunion d’octobre 1950 de la Screen Director Guild (syndicat de cinéastes) tel quel : « Je m’appelle John Ford, je fais des westerns. » Des films comme La charge héroïque (1949), Le massacre de Fort Apache (1948), La prisonnière du désert (1956), Les Cheyennes (1964) feront partie de l’histoire du cinéma en modifiant sensiblement les codes du genre. Conclusion Il semble donc qu’en faisant le pari de vouloir financer un film a priori invendable

sérieusement à la question de l’origine de la relation de pouvoir, à la question de l’origine de l’État. C’était déjà là les deux questions que posait Rousseau au début du Contrat Social, quand il disait : jamais un homme ne sera suffisamment fort pour être toujours le plus fort, et pourtant il y a État ; sur quoi fonder alors le pouvoir politique ? J’ai eu l’impression, en lisant La Société contre l’État, qu’il y avait une analogie entre ta démarche et celle de Rousseau, avec un point d’ancrage très significatif

de l'origine de la relation, de pouvoir, à la question de l'origine de l'Etat. Question : C'était déjà là les deux questions que posait Rousseau au début du Contrat Social, quand il disait: jamais un homme ne sera suffisamment fort pour être toujours le plus fort, et pourtant il y a, Etat; sur quoi fonder alors le pouvoir politique? J'ai eu l'impression, en lisant" La Société contre l'Etat", qu'il y avait une analogie entre ta démarche et celle de Rousseau, avec un point d'ancrage très significatif: