Le Matin De Notre Patrie

d’épine, fleur de rose…... Gai Luron des Flandres (un)…. Glory glory alléluia ………….. Guerre-guerre………………… Hé garçon !................................ Homme de Cro-magnon ……... Hymne à la nuit………………. Ils étaient trois garçons……….. Je t’aime ô ma patrie………….. Jean-François de Nantes……… Je cherche fortune…………….. Je suis un peu fou……………... Kyrie des gueux………………. La belle fille…………………… La joie scoute………………….. La ligue Noire…………………. Là-haut sur la montagne………. Lansquenets (les)……………… Le feu

comme Achille, Ajax, Hector, Patrocle ; l’Odyssée narre le nostos d’un seul de ces héros : Ulysse. Celui-ci, ayant violé avec ses hommes un temple d’Athéna durant le sac de Troie sont condamnés à errer de longues années avant de pouvoir rejoindre leur patrie. L’origine de ces deux poèmes est très incertaine : les dater est impossible puisqu’ils se sont d’une part transformés pendant plusieurs siècles avant de se figer dans leur forme actuelle, et d’autre part car leur ou leurs auteur(s) est(sont) inconnu(s)

quand leur Patrie est en danger… - Alors vivent les fous et les lâches ! Ou plutôt survi-vent les fous et les lâches ! Vous souvenez-vous d’un seul nom par exemple, Lola, d’un de ces soldats tués pendant la guerre de Cent Ans ?... Avez-vous jamais cherché à en connaître un seul de ces noms ?... Non, n’est-ce pas ?... Vous n’avez jamais cherché ? Ils vous sont aussi anonymes, indifférents et plus inconnus que le dernier atome de ce presse-papier devant nous, que votre crotte du matin… Voyez donc

plus aimer que ma mère Marie Je suis plus pauvre que jamais Je suis venu, calme orphelin Je voudrais, si ma vie était encore à faire Jésuitisme Jusques aux pervers nonchaloirs Kaléidoscope L'allée L'amour de la Patrie est le premier amour L'amour par terre L'angélus du matin L'angoisse L'aube à l'envers L'auberge L'échelonnement des haies L'ennemi se déguise en l'Ennui L'espoir luit comme un brin de paille dans l'étable L'heure du berger L'heure exquise L'hiver a cessé : la lumière

avec des yeux si pleins de tendresse, que j'avais dit au marchand de le sortir un peu de cette cage. Puis, par terre, il s'était mis à marcher comme un petit chien à roulettes. Alors, enthousiasmé, je l'avais acheté. C'était un petit chien fou. Un matin, je l'avais depuis huit jours à peine, lorsqu'il se mit à tourner sur lui-même, en rond, sans fin. Quand il tombait de fatigue, l'air ivre, il se relevait péniblement, il se remettait à tourner. Quand, saisi de pitié, je le prenais dans mes bras, ses

se sent bien car elle est compréhensive et aime lire autant que elle. Elle déménage ensuite chez sa « Grossmutter » qui elle privilégie les travaux pratiques à la lecture. Isle se sent alors prisonnière, condamné a faire des travaux manuels du matin au soir dans une maison moche qu'elle n'apprécie pas avec des grand-parents sévères et peu compréhensifs. Dans sa famille, comme beaucoup d'autres, ils pensaient qu'Hitler était un maniaque et qu'il allait couler l'Allemagne. En déménageant, Isle

N’est-ce pas elle, en effet, qui chaque matin remet sous nos yeux la terre dans tout l’appareil de sa magnificence : les montagnes avec les grands bois dans elles sont couronnées ; les coteaux avec des vignes dont ils sont tapissés ; les campagnes avec des moissons jaunissantes dont elles sont couvertes ; les prairies avec les mille ruisseaux dont elles sont arrosées ? Quelle que soit la fraîcheur de la verdure, c’est le matin qu’elle est la plus fraîche. C’est le matin que les rayons du soleil brillent

où elle prononce ses vœux. Après un si douloureux sacrifice René prend une soudaine décision : il se détermine à quitter l’Europe et à passer en Amérique. La fin de ce récit, la dernière nuit que René passe dans sa patrie, son cri lointain d'adieu à sa sœur, son dernier salut au matin du départ. Telle fut l'histoire de René. Chactas ému le prit dans ses bras et le vénérable père Souël, auditeur de ce touchant récit, lui adressa de tendres reproches et lui dit que la mort d'Amélie était le juste

l'oeuvre et en a fait ralentir le rythme. C'est aujourd'hui une adaptation de la version de 1887 qui est jouée dans les cérémonies officielles. Parallèlement, la Marseillaise a été adaptée par des musiciens de variété ou de jazz. Allons enfants de la Patrie Le jour de gloire est arrivé ! Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé Entendez-vous dans les campagnes Mugir ces féroces soldats? Ils viennent jusque dans vos bras. Égorger vos fils, vos compagnes! Aux armes citoyens Formez vos bataillons

Platon Criton (Traduction anonyme) Socrate Pourquoi viens-tu de si bonne heure ? N’est-il pas encore bien matin ? Criton Oui, sans doute. Socrate Quelle heure est-il précisément ? Criton Le jour commence à poindre. Socrate Je m’étonne que le gardien de la prison ait voulu t’écouter. Criton Il me connaît déjà, Socrate, parce que je viens souvent ici ; d’ailleurs il m’a quelque obligation. Socrate Ne fais-tu que d’arriver, ou y a-t-il longtemps que tu es là ? Criton Il y a déjà assez longtemps