Le Matin de Paris

sonoreV17 : « les directeurs les ouvriers et les belle sténo-dactylographes » accumulation· Toujours sans ponctuation cette accumulation permet de mimer l’accumulation de personne, la presse de la foule fait de différentes classes sociales.V18 : « lundi matin au samedi soir » permet de situer dans le temp· Un rythme est présent, celui de la vie moderne, de la société industrielle capitaliste.V19 et 20 : « une cloche rageuse y aboie » personnification· Une ville personnifiée puis animaliséeV21 et 22 : accumulation

II)                L'affiche du film   On est à Paris car on voit Montmartre à l'arrière. La croix gammée rappelle l'occupation nazie. Le titre, « La Rafle » est écrit en rouge, couleur du sang et du drapeau nazi et sa police d'écriture rappelle les caractères des ordres d'arrestation. C'est donc un policier français qui emmène les deux enfants, sûrement vers la déportation. Il fait de la collaboration. A droite de l'affiche, il y a une traction noire, voiture de la Gestapo. Des affaires par terre

avec Louise de Coligny-Châtillon, puis, en 1918, est édité son grand recueil poétique, Calligrammes (terme également créé par lui). Après s’être engagé volontaire dans la guerre de 1914-1918, il meurt le 9 novembre 1918, à Paris, de la grippe espagnole. Le poème « Zone » est le premier du recueil Alcools, publié en 1913. Ce recueil connaît d’ultimes et radicaux remaniements à la suite de la lecture du texte Les Pâques à New-York

été écrit sous l’occupation allemande en 1942. 1 Paris a froid Paris a faim 2 Paris ne mange plus de marrons dans la rue 3 Paris a mis de vieux vêtements de vieille 4 Paris dort tout debout sans air dans le métro 5 Plus de malheur encore est imposé aux pauvres 6 Et la sagesse et la folie 7 De Paris malheureux 8 C'est l'air pur c'est le feu 9 C'est la beauté c'est la bonté 10 De ses travailleurs affamés 11 Ne crie pas au secours Paris 12 Tu es vivant d'une vie sans égale 13 Et derrière

page 18 1 - INTRODUCTION J’ai effectué mon stage d’observation du milieu professionnel du lundi 5 au vendredi 9 décembre 2011 dans l’entreprise IN THE MOOD basée dans le deuxième arrondissement de Paris. J’ai choisi d’effectuer mon stage dans cette entreprise car mon maître de stage est une relation professionnelle de mes parents. L’activité et le renom de cette société, dynamique et structurée, m’ont intéressé. En général, je porte de l’intérêt

qui vous a marqué(e) en les associant à leur thème (sur la page  « Mon florilège de citations »)(Sur Genially)2. Le Paris de Baudelaire est peuplé d’étranges créatures. Relevez quelques personnages et figures qui y apparaissent. En quoi sont-ils inhabituels dans une œuvre poétique ? Dans « Tableaux Parisiens », Baudelaire présente une vision de Paris qui est inhabituelle dans la poésie de son époque. Il y décrit des personnages et des figures qui sont souvent marginaux, étranges

SEQUENCE 1 : INT – salon d’Apu, Paris – MATIN Apu ouvre les yeux, il est couché sur le canapé du salon. Il se met en position assise et regarde autour de lui : des cadavres de bouteilles sur le sol, des cartons de pizza, un cendrier remplit sur la table basse. Il se lève, attrape une cigarette dans le paquet sur la table basse, l’allume et met le paquet dans sa poche. Il se dirige vers son téléphone fixe, et met en marche le répondeur. La voix : « vous avez 8 anciens messages » Il va

la longueur des vers Ce sont donc des vers libres, étonnamment longs. De même, les rimes ne respectent pas les règles traditionnelles : bien qu’il semble y avoir un schéma très simple de rimes suivies, beaucoup d’entre elles sont des rimes pauvres (ancien/matin, haut/journaux, nom/clairon, etc.) et certaines ne sont que des échos sonores (Christianisme/Pie X, sténodactylographes/passent, industrielle/Ternes). Enfin, il convient de remarquer l’absence totale de ponctuation, qui oblige le lecteur à trouver

contredit/complété avec celui qui le suit. Par conséquent, vous avez la réalité de la ville puis l’image qu’elle reflète. Par exemple, nous pouvons retrouver le poème “Sur Paris” de PAUL SCARRON qui analyse cette ville comme une ville où se trouve un “amas confus de maisons”, “des meurtres et des trahisons” puis nous avons le poème suivant “Paris bloqué” de Victor Hugo, qui qualifie la ville comme glorieuse et audacieuse. Mais tout d’abord, vous retrouverez deux tableaux. Ceux-ci ont pour objectif de vous

fixé au dimanche 16 octobre 2011. Rendez-vous à 9h Gare de Lyon (Paris). Les partants : Karim Boris Laurent Anne Sylvain Audrey Achille Arrivée Dimanche dans l'après-midi. Si possible, effectuer des courses à l'épicerie de Berrias-Casteljau (> demander à Claude Bourget si celle-ci est ouverte le dimanche après-midi). Installation dans les gîtes. Déroulement de la semaine : Permanence à Berrias-Casteljau tous les matins du lundi au vendredi inclus de 9h30 à 12h sauf mercredi. Le mercredi