Le Métèque

habitants de la cité ne connaissaient pas ce droit => pas d’égalité entre les catégories. Pas les Femmes, division des sexes. De plus société esclaves => reconnu comme des choses, bien matériel = 30% de la part de la population. Dénué de tout droit. Les métèques, étrangers toléré, qui pouvait rester pour des raisons commerciales. Mais droit de cité est réservé au citoyen = Habitant de la cité par filiation, transmis par ses parents. Mais aussi il paye ses impôts, acceptation de l’obligation fiscale. Et a

alors, et sont remplacées par le désordre et l’indiscipline. a) Démocratie et anarchie Rappel : le peuple souverain chez les grecs = pas tout le monde, mais l’ensemble des citoyens (en sont exclus les femmes, les enfants, les esclaves, les métèques). Pourtant la dénonciation platonicienne de la démocratie est dénonciation du peuple, qui est capable du pire, et tyran en puissance. C’est qu’il ne prend pas le terme de " peuple " en son sens positif. Quand on parle de "peuple", il faut savoir

illégitime) ainsi que si l’un des parents n’est pas athénien Système fait pour la pérennité de la cité Paragraphe 2 : le statut de l’étranger Deux types d’étrangers : ceux qui parlent le grec mais qui sont nés dans une autre cité grecque : les métèques et ceux qui ne parlent pas grec et qui ne sont pas natif d’une des cités du monde grec : les barbares A) Le barbare Celui dont on ne comprend pas la langue : « barbaros » : vient du fait que le grec n’entend que du bruit Signification qui va

militaire (éphébie) b. Les limites de la démocratie athénienne : - Majorité du peuple non citoyen : trop d’exclu : o Femmes (toujours sous tuteur père frère mari ou fils) sortent peu car lieu publics réservés aux hommes. o Enfants o Métèques = étrangers libres installées à Athènes qui paient des impôts mais ne peuvent pas devenir citoyen. peuvent avoir citoyenneté si exploit militaire (Rare). o Esclaves = moitié de la population / aucun droit / souvent prisonniers de guerre. Peut devenir

environ 11%. Le reste de la population est composé de : * Les femmes qui ne sont pas des citoyennes. Elles ont pour rôle de s’occuper des tâches domestiques et parfois elles peuvent avoir un rôle honorifique, une fonction religieuse. * Les métèques qui sont aussi des non-citoyens et mais sont libres. Ils n’ont pas le droit d’être propriétaire de terre donc ils sont généralement artisans et deviennent parfois riches. Ils ont accès à la justice. Ils sont associés aux fêtes religieuses et civiques

droit du sang. Pour être citoyen il fallait non seulement être né de père citoyen mais également que la mère soit fille de citoyen. Les exclus de la citoyenneté sont donc nombreux : en premier lieu, il y a les femmes. En second lieu, les métèques

citoyens gèrent la démocratie. Pour commencer les conditions d’accès à la citoyenneté sont assez restreintes presque 90% de la population athénienne est exclus de la citoyenneté, les mineurs, les femmes, les étrangers les esclaves et les métèques (hommes libres, étrangers à la cité, protégés par des lois et pouvant résider et travailler à Athènes en échange du paiement d'une taxe) sont exclus de la citoyenneté. En effet, seul les hommes libres peuvent être citoyens, ils le deviennent par

Athènes , seule la minorité de la population est considérée comme Citoyenne , en effet cet accès à la citoyenneté est liée a quatre conditions. A l'inverse une majorité de population n'est pas citoyenne , en particulier les femmes et enfants. Les métèques et esclaves II: Les droits des citoyens : A Athènes , dans le cadre de l’institution démocratique, les citoyens on t des droits politiques important Dans le cadre de l'écclésia et de la Boule , tout les citoyens détiennent le pouvoirs législatif

cité doivent faire preuve de cohésion pour avoir la protection d'Athéna.  Même si tous les personnages de la cité participent à la procession, on fait la différence entre citoyens et non-citoyens. Les citoyens ont les places d’honneur alors que les métèques et esclaves ont une fonction de serviteurs. La frise des Panathénées nous montre la cohésion de la cité par la présence du religieux et du civique et par la cohésion que montre les habitants d'Athènes pour satisfaire Athéna.

Magistrats. L’archonte éponyme (magistrat suprême) désignait les chorèges pour les fêtes religieuses. Les triérarques sont choisis par le stratège chargé des symmories. La tribu choisit elle-même les hestiatores devant organiser le repas commun. Les métèques sont autant mis à contribution que les citoyens. Les liturges sont choisis en fonction de leur fortune personnelle. Mais il n’y a pas de seuil fixé au-delà duquel tout individu serait obligatoirement en charge d’une liturgie, ce qui fait que