Le Mondain Question Sur Corpus

13), soulignent la vivacité de son espoir et de son émotion. Le décalage entre ses préoccupations matérielles et cette forme d’idéalisme amoureux révèle l’humour distancié du romancier, qui se moque de son personnage. Les trois questions de l’examinateur Question 1. Rassemblez les critiques implicites que le romancier porte sur son personnage. Les retrouvera-t-on dans la suite du roman ? Au début du roman, Georges Duroy apparaît comme prétentieux, agressif, égoïste et obsédé par l’argent. Ces

comédiens.]   Quoi qu'il en fût, Gwynplaine était admirablement réussi.   Gwynplaine était un don fait par la providence à la tristesse des hommes. Par quelle providence ? Y a-t-il une providence Démon comme il y a une providence Dieu ? Nous posons la question sans la résoudre.   Gwynplaine était un saltimbanque. Il se faisait voir en public. Pas d'effet comparable au sien. Il guérissait les hypocondries1 rien qu'en se montrant. [...]   C'est en riant que Gwynplaine faisait rire. Et pourtant il ne riait

CONTES DE FÉES.......................................................... .................4 A. DÉFINITION...........................................................................................................................4 B. UNE LITTÉRATURE MONDAINE ET FÉMININE.............................................................5 C. FÉES « MODERNES » ET FÉES « POPULAIRES »............................................................9 CHAPITRE II : AUX FRONTIÈRES DE L’ « ART » SAVANT ET DE L’ « ART

qui ne peut être atteint) | |Inversion des qualités : le don de la parole | |d'abord : esprit de finesse, de repartie du mondain, de l'homme de salon : réponse directe | |ensuite ajout d'une compétence, savoir linguistique : le latin | |double valeur :

ils cherchent le spectacle dans la salle, que ce soit les marquis ou le parterre. En creux, les textes proposent ainsi une bonne attitude de spectateurs : un spectateur se laissant aller à la sensation ; et un spectateur acceptant de remettre en question ses préjugés L'écriture d'invention :Il fallait insister sur le récit de trois expériences (avec vocabulaire des sensations) : celle de la salle, celle de la scène, et celle des réactions intérieures du narrateur Quelles attitudes de spectateur

objets d’étude 6 et 7. 1. Le roman et ses personnages : visions de l’homme et du monde À partir des questions que soulève l’étude des personnages, il s’agira d’aborder le roman comme une forme littéraire privilégiée de représentation de l’homme et du monde. En situant une œuvre dans son contexte littéraire, historique et culturel, on s’interrogera sur l’évolution du genre romanesque. Corpus : un roman au choix du professeur (du XVIIème siècle à nos jours), accompagné de textes et de documents

et attendu, mais de devenir une scène à faire autour de laquelle se construit l’œuvre. Récurrente ou singulative, la scène du Bois permet une avancée de l’intrigue et une meilleure compréhension des personnages, décrits dans un biotope mondain ou demi-mondain. L’usage qui en est fait et sa signification évoluent au cours

comédiens.] Quoi qu'il en fût, Gwynplaine était admirablement réussi. Gwynplaine était un don fait par la providence à la tristesse des hommes. Par quelle providence ? Y a-t-il une providence Démon comme il y a une providence Dieu ? Nous posons la question sans la résoudre. Gwynplaine était un saltimbanque. Il se faisait voir en public. Pas d'effet comparable au sien. Il guérissait les hypocondries1 rien qu'en se montrant. [...] C'est en riant que Gwynplaine faisait rire. Et pourtant il ne riait pas

Les questions de synthse 1.a. Comment chaque texte rend-il compte des penses et des sentiments du prisonnier b. Comparez la faon dont ces quatre personnages vivent leur emprisonnement. 2. a. Le titre, Illusions perdues, choisi par Balzac pourrait-il convenir pour lensemble des textes proposs Justifiez votre rponse. b. Quels sentiments les personnages prouvent-ils en regardant ce qui les entoure dans les diffrents textes du corpus 7. Comment, dans les trois textes, lauteur montre-t-il les

13), soulignent la vivacité de son espoir et de son émotion. Le décalage entre ses préoccupations maté- rielles et cette forme d’idéalisme amoureux révèle l’humour distancié du romancier, qui se moque de son personnage. Les trois questions de l’examinateur Question 1. Rassemblez les critiques implicites que le romancier porte sur son personnage. Les retrouvera-t-on dans la suite du roman ? Au début du roman, Georges Duroy apparaît comme pré- tentieux, agressif, égoïste et obsédé par l’argent.