Le Monologue De Vautrin

LE PERE GORIOT P123-124 le monologue de Vautrin. Le passage que nous allons étudier se trouve au début de la deuxième partie du roman de Balzac, Le père Goriot. Eugène de Rastignac est heureux, il vient de recevoir de l’argent de sa mère et de ses deux sœurs. Il va pouvoir faire son entrée dans le monde parisien. Mais comme l’on a pu le voir dans la première partie, Rastignac manque d’expérience. Il demande donc conseil à sa cousine Madame de Beauséant. Cependant

papa. Il pense que ses filles l’aiment, il se trompe lui-même. Il ne voit pas la vérité. Cet homme vit à travers ses filles, si elles vont bien, il est content même dans les conditions misérables, ce dernier fait est démontre à la p 193-194, son monologue. Il donne le dernier argent pour que Delphine soit heureuse avec son amant, c’est une procuration – quand tu obtiens le plaisir, en voyant le plaisir d’autrui. ( p.282-283) Dans son amour, il y a quelque chose canine ( de chien) qui le rend bête

mort après l'échec de son projet. Alors que le jeune homme va franchir le pas, l’abbé Carlos Herrera (nommé également Vautrin) croise alors Lucien et lui propose un marché peu honnête. Nous nous demanderons alors comment Vautrin tente-t-il de corrompre Lucien ? Nous analyserons en premier temps les personnages de ce roman, puis nous verrons dans un second temps la stratégie de Vautrin. Tout d'abord, les personnages ont deux personnalités totalement différentes. En effet, Lucien à qui le discours

les mœurs d'une femme de distinction. » (p.99). Après avoir perdu l'espoir de séduire la comtesse Anastasie de Restaud, il va chez sa cousine pour qu'elle lui conseille le chemin à suivre dans sa quête, car Eugène veut y « parvenir ! » au sens de Vautrin (p.151). Tout comme la pension Vauquer, dont les traits miment ceux des personnages y vivant, la description de l'hôtel de Beauséant est aussi celle de la vicomtesse. Mme de Beauséant est en harmonie avec son habitat, comme Mme Vauquer avec la pension

pensons que son œuvre peut être qualifiée de réaliste ! Résumé Le roman débute à Paris, en automne 1819, dans une pension minable de la rue Neuve-Sainte Geneviève où se côtoient plusieurs résidents dont le jeune Eugène de Rastignac, Vautrin et le père Goriot. Rastignac est un jeune étudiant en droit, venant d’une famille provinciale modeste, qui s’émerveille devant la vie parisienne. Eugène préfère rejoindre la haute société à l’aide de sa cousine, la vicomtesse de Beauséant, aux

l'extrait étudié nous présente un personnage, Vautrin qui veut dénonce le métier d'avocat. En quoi cet extrait nous présente une relation entre maître et élève et une critique de la société ? Afn de répondre à cette question nous étudierons en premier lieu en quoi Vautrin a-t-il un rôle de « maître » et en second lieu les arguments qui dénoncent cette société au XIXème siècle. Dans cet extrait seul Vautrin parle, ce texte est défni de monologue car ici le personnage pose des questions auxquelles

philosophie. Véritable référence en terme d’écrivain français , nous verrons dans cet extrait comment à travers le personnage de Vautrin il fait figure de mentor et de donneur de leçon pour Rastignac Partie 1 : Vautrin se comporte comme un maitre vis-à-vis de son élève 1) Balzac place dans la bouche de Vautrin une véritable leçon de vie Lors de cette « tirade » Vautrin multiplies les questions et donne lui-même les réponses. Il ponctue d’ailleurs son discours par des exclamations, parfois ironique

en 1846. Dans le passage de la page 162 à 165 on est face à un monologue de Vautrin a Rastignac. Dans cette extrait Vautrin a l’air d’apprécier Rastignac pour son ambition et ça volonté de réussir c’est pourquoi il lui propose de l’aider dans son ascension, en lui révélant deux types de voies. Ces deux routes si différentes sont pourtant guidées par la même envie de réussir mais l’une d’elles celon Vautrin est voué à l’échec. Vautrin va donc se servir de l’ambition de Rastignac pour le manipuler

L’extrait commence par un monologue de Vautrin se décrivant lui-même ainsi que la vision qu’il a dès la société. Vautrin pose les questions et donne les réponses (il ne laisse pas à Rastignac le loisir de parler) ce qui montre qu’il est sûr de lui, il sait où il veut en venir. Il se présente comme un homme libre, bon avec ceux qu’il aime mais « méchant comme le diable » avec ceux qui le tracassent. Il avoue sans détours a Rastignac qu’il n’aurait aucun scrupule à tuer un homme, seulement il s’ «

entre l'Abbé et Lucien. D'une part, cette extrait fait intervenir deux personnages l'Abbé aussi appelé Vautrin et Lucien. Malgré qu'il n'intervient pas il reste présent, « Lucien regarda » (l.6). On observe un jeu de pronom, « je » et « vous », la première personne renvoie à l'Abbé, la deuxième personne du pluriel correspond à Lucien. D'autre part, ce dialogue est en réalité un monologue car seul Vautrin parle. On relève des exclamations, « faites un effort de poésie ? » ligne 5 mais aussi ligne 6, l'Abbé