Le Mythe D Aristophane

communisme est limité à la classe supérieure des guerriers et des philosophes appelés à diriger et à défendre la Cité ; les paysans qui sont chargés de la nourrir peuvent jouir de la propriété. Mais la pensée de Platon fait scandale (un auteur comique, Aristophane, dans sa pièce, l’Assemblée des femmes, met en scène un philosophe illuminé du nom de Proxagoras établissant le communisme intégral et l’auteur décrit les incidents burlesques qui en résultent. D’ailleurs, le philosophe reviendra lui-même sur ses

paradoxalement on a bcp entendu sur lui et on a bcp écrit sur lui. Celui qui en a beaucoup parlé, c’est Platon, son élève dès 407 jusqu’à 399 (mort de Socrate). Platon raconte Socrate à sa manière. Les autres témoignages de Socrate viennent de Xénophon et Aristophane (lui se moque de Socrate). Il y a 3 tps dans le travail de Platon : 1 : il raconte le vrai Socrate, celui qu’il a vraiment rencontré. Les premières œuvres : L’apologie de Socrate où Platon raconte la mort de Socrate. Pour Socrate, philosopher c’est

bénéficiaient de moins de soins et d'attention. La misogynie est courante et les femmes sont éloignées de la vie intellectuelle de la cité. Sémonide d'Amorgos dit d'ailleurs que « c'est Zeus qui a créé le mal suprême : les femmes », faisant référence au mythe de Pandore. On trouve, cependant, quelques exceptions, notamment à l'école pythagoricienne qui avait en son sein la mathématicienne, médecin et philosophe Théano. De plus, à Sparte les femmes sont considérées, sinon comme égales des hommes, du moins

sont la marque d'un parler qui n'a rien a voir avec la langue écrite. En effet, Rabelais fait énormément de remarques obscènes ou scatologiques, or nous entrons à ce moment là de plain-pied dans la farce et retrouvons justement les moyens chers à Aristophane, pour ne citer que lui. Mais les avis n'ont pas toujours été unanimes. Les raisons de la condamnation de l’œuvre par la Sorbonne sont là et également celle de quelques grands lecteurs comme George Sand ou Robert Desnos par exemple. Mais Rabelais

constituent le « cadre » propice à la maturation d'œuvres harmonieuses, dans lesquelles forme et contenu se fondent en une parfaite unité. Les grands auteurs de l'époque, tels Corneille, Racine, Molière, La Fontaine, s'inspirent des Grecs, Euripide, Aristophane, Théophraste, Ésope et des Latins, Plaute, Térence, Virgile, Horace et Sénèque. La Bruyère s'inquiète, à la première page des Caractères, que tout soit dit : « En ce qui concerne les mœurs, le plus beau et le meilleur est enlevé ; l'on ne fait que

quel âge s'est-il attaché à la personne de Socrate? Si c'est, comme on l'admet en général, à vingt ans, alors l'initiation alléguée à l'Héraclitéisme aurait commencé et fini singulièrement tôt! D'autre part, autour de ce Socrate qui fut alors, Aristophane nous en est le meilleur garant, une des figures marquantes de la Cité, il n'y avait probablement pas que des disciples, ou mieux des fidèles, mais aussi des curieux occasionnels: c'est à ce titre qu'avaient dû le fréquenter Critias, Charmide et

propose un défie au participant de la soiée . Il les mets au défie différent protagoniste de parler de la plus belle maniére qui sois du dieu de l'amour . Il accpente et prennet tour a tour la parole . Lorsque viens sont tours le poete comique Aristophane raconte l'histoire suivante dans les temps anciens les hommes n'étaint pas tel qu'ils sont aujourd'hui leurs coprs étaient comme une sphére il avaient deux visage deux nez deux paires de yeux quatre jambe , quatre bras . Ils étaient doter d'une

miroirs et réversibilité du sens... Dans Métamorphose de Narcisse, Dalí rattache sa démarche paranoïaque-critique à la tradition picturale baroque, qui associait au motif des reflets le thème des apparences fugitives du monde sensible. S’inspirant du mythe de Narcisse, mis en vers par Ovide dans ses Métamorphoses, il invoque également la tradition classique pour mettre sa mythologie personnelle en abîme. Le narcissisme du peintre est ici au cœur du sujet. Le personnage de pierre qui observe son reflet

œuvre théâtrale porte davantage encore les stigmates de sa philosophie.   Dans Les Mouches (1943), le personnage d’Oreste défie les dieux et les tyrans, comme l’homme moderne osant se rebeller contre l’occupation allemande. L’auteur se sert du mythe d’Electre (déjà réactivé par Giraudoux) pour livrer une figure emblématique de la liberté humaine.   Huis clos (1944) est sans aucun doute son chef d’œuvre : l’auteur y campe son enfer, celui où chacun est condamné à vivre sous le regard d’autrui

de Ménandre. Ces pièces sont bâties autour d’une situation familiale associant amour, argent et quiproquos, et de types sociaux caricaturés et faciles à identifier : le père avare, la belle-mère acariâtre, etc. Qu’on retrouvera chez Molière. Aristophane : Vers 445 - v. 386 av. J.-C Il composa une quarantaine de comédies, dont onze seulement nous sont parvenues complètes. Une partie de cette œuvre satirique et polémique s'inspire de l'actualité politique ou quotidienne. Puis l'inspiration