Le Mythe D Eros

mentorat et la pédérastie. Question : Qu’est ce que la pédérastie et qu’est ce qui explique ces comportements? Développement I. Homosexualité dans la Grèce antique I.1 Les couples héroïques a) Début de la démocratie : Harmodios et Aristogitote. b) Mythe grecque : Achille et Patrocle. c) L’Armée sainte de Thèbes : amants et guerriers. I.2 Lieux privilégiés pour l’amour : gymnases et palestres a) L’entrainement militaire b) Concours de beauté masculin : le culte du corps. c) Le perfectionnement du

----------------------- TRISTAN & ISEULT : LE MYTHE DE L’OCCIDENT CHRÉTIEN Dr Françoise Saint-Onge Docteur en études germaniques Eduard-Pfeiffer-Str.10 D – 70192 Stuttgart RÉSUMÉ: Il s’agit ici, comme le titre l’indique, du mythe de Tristan et d’Iseult*. Deux ouvrages surtout ont inspiré ces lignes : L’amour et l’Occident de Denis de Rougemont, qui traite des origines culturelles et historiques du mythe dans ses rapports avec l’ « hérésie » cathare et l’amour courtois au XIIè siècle

Lorsque j’ai dû choisir le mythe sur lequel allait porter ma recherche, j’ai eu quelques moments d’hésitation, car moi et ma sœur sommes très attirée vers les histoires fantastiques en liens avec les dieux de l’olympe et donc plusieurs idées intéressantes me venaient à l’esprit. J’ai finalement choisis le mythe de la pomme d’or, qui se trouve à être le mythe du jugement de Pâris soit : là cause de la guerre de Troie selon l’Iliade. Étant en histoire et civilisation un mythe portant sur une vieille civilisation

la quasi-totalité des œuvres littéraires et cinématographiques a été sujet au fil du temps à de nombreuses critiques de par son caractère parfois choquant et contraire aux mœurs et a souvent été perçu comme sujet tabou. En passant par le mythe de Psyché et Eros vulgarisé par Apulée, au conte de la Belle et la Bête de Gabrielle-Suzanne Barbot de Villeneuve, la condition amoureuse présente dans la littérature et dans les arts évolue à travers les siècles selon la tendance nouvelle et a un caractère

trois prétendants sont représentés sans aucun déguisement comme soleil, lune et fils des étoiles (« le fils de l'étoile polaire ») et où, de même, la fiancée est accordée au troisième. Notre petit problème nous aurait-il ainsi orientés vers un mythe astral? Quel dommage de ne pouvoir nous contenter de cette explication! Le problème continue à se poser, car nous ne croyons pas, ainsi que le font tant de mythologues, que les mythes aient été lus dans le ciel et en descendent ; nous jugeons plutôt

Platon dans le Banquet, avec le mythe de la naissance d’Eros, demi-dieu qui personnifie l’amour, le désir. Fils de l’humaine Penia, une mendiante, et de Poros, le dieu de l’abondance, il a été conçu le jour de la naissance d’Aphrodite, dans les jardins de Zeus, lors d’une fête. Eros, pour Platon, est donc un être démoniaque, un démon, être intermédiaire, qui tient le milieu entre la richesse et la pénurie, la possession et l’indigence, entre les dieux et les mortels. Eros n’est pas un dieu, car il n’est

s'agit pas d'une déformation du réel, d'une substitution. Corneille a utilisé les grandes lignes des mythes concernant Médée pour en produire une version nouvelle qui lui appartient. Le mythe n'est pas fixé dans une version unique, c'est ce qui le définit. Il n'y a donc aucune substitution puisque chaque version d'un mythe est unique et neutre du point de vue de sa véracité. L'auteur est créateur et non pas menteur, dans le sens où il produit une création neutre et ne substitue pas une fiction à la

(vers 1-2) ; élément perturbateur : le jugement (vers 3) ; péripéties jusqu’au vers 27 ; dénouement : la Loreley monte sur le rocher (vers 27-36) ; situation finale = trois derniers vers, la fin de la Loreley. Morale comme dans un apologue ? C. Le mythe de la Loreley revisité Créé par le poète romantique allemand Brentano début XIXème siècle = elle possédait le pouvoir de s’emparer de l’esprit des hommes et de les tuer par sa beauté. Condamnée au couvent par un évêque lui évitant le bûcher à cause

Agamemnon. Alors que ce dernier revient de la guerre de Troyes, il est assassiné par sa femme Clytemnestre et son amant. Inconsolable, la fille se recueille sur la tombe de son père et aide son frère Oreste à organiser l’assassinat de leur mère. Le mythe d’Electre est l’unique thème tragique grecque traité dans trois oeuvres de grands dramaturges antiques (Achille, Sophocle et Euripide). Dans « Trois essais sur la sexualité » (1905), Freud rejette le terme de « complexe d’Electre » pour définir

un jeune enfant conçu lors de la naissance d’Aphrodite. Eros signifie le désir amoureux. Cette histoire a été raconté à Platon par une prêtresse appelé Diotime. La scène se passe pendant un festin que les dieux donné en cet événement. Poros un des leurs, s’était endormis enivré de nectar. Penia, une mendiante, passait par là et décida de se coucher à côté de lui. C’est ainsi que naquit Eros. Le désir, tel qu'il apparaît à travers ce mythe, n'est donc plus seulement le manque ou la pauvreté (Penia)