Le Mythe Des Atrides

Télémaque, Circé. Ulysse est un des plus célèbres héros du cycle de Troie, avisé, même rusé, habile, éloquent, plein de ressources, au courage prudent et sûr de lui. Œuvres inspirées de la mythologie grecque(Ulysse): Homère s'est inspiré de cet mythe pour en faire une épopée grecque antique qui l'aurait fait composé après l'Iliade,vers la fin du VIIIe siècles av.J-C.Elle est considérée comme l'un des plus grands chefs-d'oeuvres de la littérature et avec l'Iliade comme l'un des deux poèmes fondateurs

réécrivent , réinvente, deux auteur différents au procédé commun. - Le paradoxe= la mort est montré sur scène par des auteurs classiques (c’est contraire aux règles de la bienséance). - Enchainement de péripéties=> intrigue. Malédiction des Atrides=> a constamment été raconté par des tragédiens. Cela part par deux frères qui vont être à l’origine de la malédiction de la famille. Le cercle infernale de la vergence. Oreste devra se purifier avant de devenir roi arrêter la malédiction.

d'être elle-même emmenée en captivité, elle rend les honneurs funèbres à son petit-fils, Astyanax, maudissant l'aveugle barbarie des dieux. Commentaire Dans cette oeuvre, puissant réquisitoire contre la guerre, les personnages se dégagent du mythe pour entrer dans la tragédie d'une réalité tout humaine. On y trouve une classique scène d'«agôn » (joute oratoire inspirée de la vie judiciaire) : le «procès » d'Hélène. Imitée par Senèque, la tragédie d'Euripide a inspiré Racine pour “Andromaque”

théâtre de Hugo comme un théâtre historique. Mythe et histoire Dans sa mise en scène des Burgraves, le désintérêt de Vitez pour l'histoire (l'intrigue) désamorce le drame historique que contient la pièce. La ruine, la cendre, la poussière omniprésentes sont des signes qui donnent à voir la fusion du mythe et de l'histoire20. Semblable fusion est présente dans le mélange absolu de tous les genres que la pièce opère : l'épopée (de Barberousse), le mythe (eschyléen), le drame historique (la capitulation

le plus grand poète de l’Antiquité. Certains érudits contestent d’ailleurs à Homère la paternité de l’Odyssée, le récit du périple d’Ulysse après la guerre de Troie. Les historiens se sont donc demandé si la cité de Troie n’était pas elle-même un mythe. En effet, personne ne savait où elle se trouvait, et beaucoup la soupçonnaient de n’être que le fruit de l’imagination des Grecs, un symbole destiné à glorifier la puissance d’Athènes.    La découverte de la cité de Troie.   Un homme d’affaires

c'est aussi tout le monde réel qui remet en question ses principes essentiels (la Justice, la Vérité, la place de l'homme...). Ce genre est donc marqué par un contexte tout autant politique que religieux.Dans la trilogie d’Eschyle consacrée aux Atrides on peut voir une justice archaïque, fondée sur la vengeance reproduisant la violence et le meurtre de génération en génération : Agamemnon sacrifie sa fille Iphigénie ; son épouse Clytemnestre la venge en faisant tuer Agamemnon par son amant Egisthe

contrôlée par la Propaganda-Staffel. Malgré la dissolution du groupe « Socialisme et liberté », Sartre ne renonce pas pour autant à la résistance qu'il continue par la plume. Il fait jouer, en 1943, une pièce qu’il a composée, Les Mouches, reprenant le mythe d’Électre et qui est un appel symbolique à résister à l'oppresseur. C'est lors de la Première qu'il fait la connaissance de Camus. En cette période d'occupation, la pièce n'a pas le retentissement escompté : salles vides, représentations interrompues

Prenons pour exemple Giraudoux (La Guerre de Troie n’aura pas lieu), Sartre (Les Mouches) ou encore Anouilh (Antigone) qui, au XXe siècle, ont réactualisé des mythes grecs déjà traités dans la tragédie antique (dans l’ordre : L’Iliade d’Homère, le mythe d’Œdipe ou encore celui de sa descendance). Au long de son histoire, le théâtre a été régulièrement soit condamné par les tenants d’une morale stricte et rigoureuse qui le considérait comme un mensonge (problème posé par l’illusion théâtrale) soit

hommes confrontée au pouvoir et à la religion. Ce drame en trois actes reprend le mythe grec des Atrides. Oreste revient à Argos sous l'identité du jeune Philèbe et se fait reconnaître par sa sœur Électre. Ils veulent venger leur père Agamemnon, assassiné à son retour de la guerre de Troie par sa femme Clytemnestre et son amant Égisthe qu'elle a épousé, en tuant les deux meurtriers. Mais Sartre s'appuie sur le mythe pour mener une réflexion sur ce qu'il appelle l'acte libre : « Le secret douloureux

qu’en a faite le sociologue français Jean Duvignaud. Toutefois une transposition du mythe à la réalité doit être faite pour en comprendre sa vérité, car en effet, excepté Les Perses d’Eschyle, toute la production athénienne du Vème siècle est fondée sur des mythes (dans ce qu’il reste de préservé). L’inspiration puisait venait de deux sources : la mythologie principalement (avec les mythes du malheur des Atrides et des Labdacides) et dans une moindre mesure l’actualité politique. Le susdit auteur