Le Mépris Comparaison

leur égard d’une passion paternelle exagérée ; « martyr de la paternité », il s’est dépouillé peu à peu de ses biens en leur faveur, s’est ruiné, s’est condamné à une vie misérable pour leur assurer de somptueux mariages, ses gendres le payant de mépris insolent, ses filles d’ingratitude indifférente. C’est, pour Rastignac, une première expérience de la vie de Paris. Cependant, Vautrin, colosse de quarante ans, plaisantin mais mystérieux et inquiétant, guette le jeune ambitieux, dont il a deviné

___■ Sa supériorité par rapport aux autres : _____● Cf. ci-dessus : elle a la prétention de s'être donné sa propre éducation = elle se suffit à elle-même + ______..modèle unique puisqu'elle n'a pas connu le même "moule" que les autres. _____● Comparaison avec les autres pour montrer sa différence et sa supériorité : _______- Sa différence avec les autres femmes : _________▪ 1° mot = « mais » = terme d'opposition : elle construit son portrait en opposition aux autres _________▪ « qu'ai-je de commun

Schopenhauer avait si longtemps auréolés, divinisés et projetés dans l’au delà, jusqu’à demeurer finalement à ses yeux des « valeurs en soi », sur lesquelles il se fondait pour dire non à la vie ainsi qu’à lui-même. » A l’inverse Nietzsche a un mépris pour la pitié. Il affirme sa « non-valeur ». - (6) Nietzche questionne les valeurs des valeurs morales. « Jusqu’ici on a placé la valeur « du bon » plus haut que celle « du méchant » […] Et si le contraire était vrai ? […] Si dans le « bon » se nichaient

illustrant ainsi le milieu extérieur. Ces noms sont dans la pluparts des cas précèdes par le pronom personnel « leur » (ou par l’adjectifs possessif « leurs »). Nous observons donc un jeu d’alternance entre le « j’ » et « leur » qui devint l’objet d’une comparaison. Damas, représenter par le « j’ » se tends un miroir vers lui-même pour analyser ses différences avec les français « leur » ou plus précisément avec la mode occidentale. Il évoque la sensation péjorative d’être « ridicule » et par conséquent n’arrive

Production écrite A la lumière de vos connaissances et en vous appuyant sur l’œuvre La Boîte à Merveilles d’A. Sefrioui, citez-les caractéristiques de la femme d’autrefois et celles de la femme d’aujourd’hui. -Amener l’élève à faire une comparaison entre la femme d’autrefois et la femme actuelle. 7 Les séquences détaillées  Module : I  Séquence : première  Séance : 1ère  Durée : 1heure  Niveau : 1ère année su cycle de Baccalauréat.  Activité : lecture méthodique  Compétence

ave le règne d’Hérode roi de Judée qui a ordonnée l’assassinat de tous les enfants juifs afin de garder son trône puisque des savants avaient prédit que le roi des juifs allait naître : « Comme si Hérode régnait quand Laval est dauphin ». Cette comparaison particulièrement dur est due au faite que Laval est le principal responsable de la déportation des juifs alors que les allemands n’avaient rien demandé, Laval a pris lui même l’initiative des les livrer. Puis Aragon dénonce également la guestapo

Gouges elle-même → prise de conscience chez les femmes– (premières question : quels sont les avantages...) = antithèse entre question sur les avantages et les réponses (négatives) (mépris + marqué, dédain+ signalé → entre avant/ après, dépréciation (manque de valeur ) des femmes n’a pas cessée) – postambule = comparaison avant/ après– « siècles de corruption périphrase= l’ancien régime (avant 1789)→ négation restrictive « vous n’avez régné que sur la faiblesse des hommes = pouvoir limité : illusoir

considerer. Nous voudrions conclure en rappelant que le jugement d’Autrui ne peut etre considéré en dehors du jugement de soi-même et du monde. Il en va de soit , nous jugeons autrui en nous jugeant nous même. C’est une sorte de comparaison. Le jugement détient au fond , un mépris de la dignité humaine et de sa condition. Seul une représentant de la loi peut se permettre de nous juger pour nos erreurs et d’ensuite nous pardonner ou nous condamner. Dieu est l’être le plus approprié pour en faire usage

narrateur. Premièrement, pour expliquer de qu’elle manière Césaire décrit le nègre, nous allons voir la laideur du personnage, puis la misère du personnage. Pour la description de la laideur, Césaire utilise plusieurs procédés d’écriture comme la comparaison : « C’était un nègre grand comme un pongo » (l-5), mais aussi des descriptions péjorative : « jambes gigantesques » qui est une hyperbole, et des adjectifs aussi péjoratives : «  un nègre hideux, ….grognon… mélancolique… affalé… enseveli dans une

«tous les autres », «  l’humanité complète »,l.4., « quelque chose de sublime », l.16 Style indirect libre (l17 à 21) « pleins d’ambitions idéales et de délires fantastiques » , l.14 Manque de précision (lesquels ?). Adjectifs un peu creux - Comparaison : la vie rêvée, la ville rêvée = Paris comparée à un océan (caractère quasi infini de cette étendue qui révèle la notion d’immensité). Superlatif : « plus vague que »l.1 - Anaphores «  on y était pâle, on se levait, l.8…on soupe, l.12 - Enumération