Le Nucléaire Iranien

Hezbollahi Pays dangereux à visiter L’essentiel de ces états se trouvent au Proche-Orient Proche-Orient Iran → Ancienne Perse : vieille civilisation majeure, vieil Etat, vraie nation au carrefour des mondes arabe, turc et indien A connu la révolution iranienne en 1979 et connaît encore des luttes politiques fortes entre les conservateurs shiites (la moitié des chiites dans le monde) et le reste de la population (musulmans sunnites) → Soraya SAIT/Géopolitique du SAIT/Gé tourisme et gestion de crise/EMVOL1

relations américano-russes après l'élection de Barack Obama n'était pas un vain mot, il n'en est rien. Ce "reset" a rempli ses fonctions : un nouveau traité Start prévoyant une réduction d'un tiers des têtes nucléaires a été signé en avril 2010, les Russes ont fait quelques concessions dans le dossier iranien et se sont abstenus lors du vote de la résolution 1973 sur la Libye, en mars 2011. Mais le dialogue apaisé n'est plus à l'ordre du jour. Les Européens, qui n'ont pas ménagé leurs efforts pour inciter

Révolution iranienne. • Cette organisation bipolaire des relations internationales prend fin en novembre 1989, avec la chute du mur de Berlin : les Soviétiques, ruinés par la course aux armements, ne peuvent plus assurer la cohésion de leur bloc. En conclusion N’oublie pas que cette succession de tension et de détente s’est effectuée dans un contexte " d’équilibre de la terreur " , c’est-à-dire de course aux armements nucléaires, les Américains ayant perdu le monopole nucléaire en 1949.

deuxième crise allemande (en novembre construction du mur de Berlin) 1963 : mise en place du téléphone rouge (Moscou/Washington). 1968 : printemps de Prague (répression par les troupes du pacte de Varsovie). 1968 : accords de non-prolifération nucléaire. 21 déc 1972 : Le " traité fondamental " (normalisation des relations RDA/RFA) 1972 : accords de SALT (Strategic Arms Limitation Talks) / Nixon à Moscou. Juin 73 : Brejnev aux EU. Sept 73 : les deux Allemagne entrent à l’ONU La persistance des

LA MENACE NUCLEAIRE NORD-COREENNE : RECHERCHE D’ENNEMI DESESPEREMENT Département de Sciences politiques L’intérêt porté à la Corée du Nord dans le domaine nucléaire est tout à fait d’actualité depuis son essai nucléaire raté en 2006. Faisant parti de l’Axe du Mal, il est intriguant de savoir pourquoi la Corée du Nord fait si peur dans le domaine nucléaire sur la scène internationale mais surtout si cette crainte est légitimée. Il est important de reconnaitre que la Corée du Nord est désormais

guerre Iran-Irak. Aujourd'hui, ils ont engagé un bras de fer diplomatique avec l'Iran, soupçonné de tenter d'acquérir l'arme nucléaire. • Le contrôle de l'eau D'autres ressources naturelles peuvent conduire à des tensions, telles que l'eau, rare dans la région, comme en Palestine, ou entre Turquie, Syrie et Irak, pour le contrôle des eaux de l'Euphrate. • probleme du nucléaire en Iran et Irak Pour produire plus dans ces pays, il faut que certaines situations geopolitiques se debloquent pour

LES ENJEUX DES ARMES NUCLEAIRES Introduction : Les armes de destruction massive (chimiques, biologiques ou nucléaires) peuvent d’un seul coup mettre un terme à la guerre, faute de participants. C’est un avantage certain pour se faire respecter sur la scène internationale. De ce fait c’est la loi du plus fort qui règne, et les efforts de ces derniers siècles pour instaurer des règles de bonne conduite en relations internationales sont anéantis. Les armes de destruction massive ont été conçues

islamistes aide à calmer les contestations islamiques/istes qui viennent de l'intérieur même du pays. C'est par le soutien de la Syrie entre autre que la montée du Hezbollah a été possible, car il a joué le rôle de pays de transit pour le trafic d'armes iranien, mais aussi de pays accueillant des membres de groupes dits “terroristes” palestiniens, et depuis 2003 des terroristes islamistes en provenance d’Irak. La politique étrangère syrienne vise souvent la stabilité de l'intérieur, pas seulement dans le

firmes de l’OCDE a baissé de 45% de 1973 à 2003. Peu de pays ont réellement cherché à développer des énergies alternatives. La France a privilégié le nucléaire. De 1976 à 1979, le prix du baril de pétrole s’est stabilisé autour de 12$. Il était alors fixé deux fois par an par l’Organisation de Pays Exportateurs de Pétrole (OPEP). La révolution iranienne de 1979 est la cause du second choc pétrolier. Ce choc s’est intensifié par le développement des marchés spots, où le prix est librement fixé au jour

nouvelles puissances émergentes telles que la Chine, l’Inde, le Brésil et la Turquie, qui ont été intégrées au G20. L’Occident malgré tous ses efforts n’a pas réussi à résoudre le conflit nucléaire iranien, c’est ce qui a amené le Brésil et la Turquie a signer un Accord en Mai 2010 avec l’Iran, qui prévoit que l’uranium iranien faiblement enrichi, soit transporté en territoire turc, et sera échangé contre du combustible enrichi à 20%. D’autre part, le monde arabe à montré son impuissance à se démocratiser