Le Parfum Et Portrait De Grenouille

–é/-er/-ez/-ai/-ais/ait : Manuel p.329 no.1-5 Les classes de mots : p.272 + no.1-7 et p.273 + no.1-8 Littérature : Mateo Falcone de Prosper Mérimée à lire pour la semaine prochaine. Dictée de la semaine : Toutes les bêtes de l’eau s’étaient réveillées; les grenouilles coassaient furieusement, tandis que, d’instant en instant, tantôt à droite, tantôt à gauche, j’entendais cette note courte, monotone et triste, que jette aux étoiles la voix cuivrée des crapauds. (…) Combien de temps, cela dura-t-il, je n’en sais

rendant régulièrement. La narratrice est soucieuse de se «bombarder au plus sacrant dans cet ouvrage» que, sur une «planchette» (dont elle promet toujours de parler plus tard), elle écrit pour son «chevalier». Elle décrit le manoir : - «la galerie de portraits» où le père, «enchaîné aux chevilles et aux poignets», s’imposait une extrême «élongation musculaire» et se faisait frapper ; - la salle de bal où trône un immense «chameau à queue» (pages 106, 172) et où la fascine l’argenterie (quelque peu fantaisiste

Néanmoins, un fil d’Ariane relie tous ces jeux littéraires. Ainsi, une typologie grossière permet de distinguer trois sortes d’activités successives : 1. Des ateliers pour écrire sur soi : • Faire son autoportrait. • Le portrait chinois. • L’acrostiche. • Jouer avec les noms. • Les mots que j’aime / les mots que je hais. • Faire un inventaire. • Jouer avec les couleurs. • Les associations d’idées.

elles dévorent le regard de l'imprudent qui les contemple. Je les ai souvent étudiées, ces étoiles noires qui commandent la curiosité et l’admiration. A quel démon bienveillant dois-je d'être ainsi entouré de mystère, de silence, de paix et de parfums? O béatitude! ce que nous nommons généralement la vie, même dans son expansion la plus heureuse, n'a rien de commun avec cette vie suprême dont j'ai maintenant connaissance et que je savoure minute par minute, seconde par seconde! Non! il n'est

...........................................97 XL. Le Miroir ..........................................................................99 XLI. Le Port...........................................................................100 –3– XLII. Portraits de maîtresses................................................ 101 XLIII. Le Galant Tireur......................................................... 107 XLIV. La Soupe et les nuages ...............................................108 XLV. Le Tir et

...............................................97 XL. Le Miroir ..........................................................................99 XLI. Le Port...........................................................................100 –3– XLII. Portraits de maîtresses................................................ 101 XLIII. Le Galant Tireur......................................................... 107 XLIV. La Soupe et les nuages ...............................................108 XLV. Le Tir et

connait un nouvel essor. On ne peint plus seulement les scènes religieuses mais on commence à peindre des paysages, des portraits. Les peintres de la Renaissance représentent la nature dans les moindres détails. Le paysage sert de toile de fond et le personnage est placé au premier plan. Le nu triomphe tout doucement dans les œuvres, aussi bien profanes que religieuses. Les portraits se multiplient et les traits du visage et du corps sont fidèlement rendus. Les artistes se lancent dans de nouvelles

subjuguent, elles dévorent le regard de l'imprudent qui les contemple. Je les ai souvent étudiées, ces étoiles noires qui commandent la curiosité et l’admiration. A quel démon bienveillant dois-je d'être ainsi entouré de mystère, de silence, de paix et de parfums? O béatitude! ce que nous nommons généralement la vie, même dans son expansion la plus heureuse, n'a rien de commun avec cette vie suprême dont j'ai maintenant connaissance et que je savoure minute par minute, seconde par seconde! Non! il n'est plus

subjuguent, elles dévorent le regard de l’imprudent qui les contemple. Je les ai souvent étudiées, ces étoiles noires qui commandent la curiosité et l’admiration. À quel démon bienveillant dois-je d’être ainsi entouré de mystère, de silence, de paix et de parfums ? Ô béatitude ! ce que nous nommons généralement la vie, même dans son expansion la plus heureuse, n’a rien de commun avec cette vie suprême dont j’ai maintenant connaissance et que je savoure minute par minute, seconde par seconde ! Non ! il n’est

.................12 XVIII. L’IDÉAL............................................12 XIX. LA GÉANTE........................................12 XX. LE MASQUE.........................................13 XXI. HYMNE À LA BEAUTÉ.....................13 XXII. PARFUM EXOTIQUE.......................14 XXIII. LA CHEVELURE..............................14 XXIV.............................................................14 XXV...............................................................15 XXVI. SED NON SATIATA..