Le Parlement Et La Lolf

Le Parlement français voit son rôle renforcé dans la gestion du budget La réforme de la procédure budgétaire engagée en 2001 renforce les pouvoirs de contrôle du Parlement. Il bénéficie d’une information plus complète et plus transparente, de nouvelles modalités de vote et d’un droit d’amendement élargi. La nouvelle « constitution financière » appliquée depuis 2006, la LOLF, renforce les pouvoirs de contrôle du Parlement dans le cadre du vote et du contrôle du budget. Désormais, les crédits sont

s'accroitre ac le parlement . Charles pour passer outre va le dissoudre. Mais lorsque le parlement siège , persiste dans son refus d'être imposer sans son consentement. Le conflit va s'envenimer entre parlement et le roi 1641 : Exécution du min des finances par les partisans du parlement au motif qu'il a violé le ppe du consentement à l'impôt 1648 : conflit se transforme en une 1ère révolution. Fils de charles 1er , jacques 2 en 1688 : persiste → guerre civil et victoire du parlement. Roi va

consiste dans le vote de la LF par le Parlement (Ass. Nat. + Sénat). Chacune de ces deux phases fait apparaître une prééminence du gouvernement sur le Parlement. En atteste par exemple le calendrier de cette procédure budgétaire puisque sous la V°, à partir de 1958, le gouvernement dispose de 9 mois pour élaborer ce projet de LF alors que le Parlement ne dispose constitutionnellement que de 70 jours (art. 47) pour discuter et voter le budget. Or le Parlement est bicaméral et le projet doit passer

vis-à-vis du prince. Il s’agit du Parlement de Paris. Il va s’ériger en chambre de contrôle des décisions prises par le roi. Ce pouvoir de contrôle va se manifester par l’avènement du droit de remontrance. Il va progressivement devenir une véritable sanction juridique. Ce droit va prendre une importance considérable car le Parlement de Paris deviendra une chambre qui s’opposera à toute réforme fiscale émanant du gouvernement du roi. Cette opposition du Parlement de Paris s’explique par le fait

Pour les collectivités locales, on parlera de budget primitif. B - Les lois de financement La LOLF (Loi Organique relative aux Lois de Finances du 1er .08.2001) est un texte fondamental puisqu’il régit l’ensemble des finances publiques de l’Etat et que de l’Etat (pas les collectivités territoriales ni la Sécurité sociale). C’est la « Constitution financière de la France ». L’art 1er LOLF distingue 3 sortes de lois de finances : Loi de finances initiale (promulguée avant le 31.12 de l’année

financières, les règles de comptabilité ont évolué pour plus de transparence. Il y a aussi la modernisation de la fonction de contrôle financier, le développement du rôle de la cour des comptes. Le parlement a donc obtenu plus de transparence. Enfin, il y a une métamorphose du système financier : La LOLF (loi organique relative aux finances publiques adoptée le 1er Août 2001). Finalement, toutes ces réformes ont un objectif commun, c’est la recherche d’une plus grande rationalité dans l’usage et


Elle
fixe
ses
règles
financières
 qui
s’imposent
aux
états
membres
:
 • Exemple
jurisprudentielle
:
CJCE,
17
mai
1972,
Léonosio,
selon
lequel
un
état
membre
 de
 l’UE
 ne
 peut
 pas
 refuser
 de
 verser
 une
 prime
 prévue
 par
 un
 règlement
 communautaire
au
motif
que
son
Parlement
n’a
pas
ouvert
les
crédits
nécessaires.

 • Le
pacte
de
stabilité
et
de
croissance
:
il
a
été
défini
en
1996
à
Dublin
et
est
entré
en
 vigueur
 pour
 les
 membres
 de
 l’Eurogroup
 le
 1er
 janvier
 1999.
 Il
 impose
 aux
 états
 participants
 à


ordonnance datant du 2 janvier 1959, elle portait sur les lois organiques relative aux lois de finances. Mais cette ordonnance a été supprimé pour la LOLF ( loi organiques relatives au lois de finance) de 2001, elle fut appliqué progressivement, pour être utiliser en entier en 2006. Enfin les règles de comptabilité publique se trouve en général dans la LOLF, mais essentiel se trouve dans un décret de 1962. Les limites : Les Budget public sont des lois alors que les Budget privée ne sont pas des

considérer que les finances publiques concernent quatre grands secteurs. L’Etat dont le budget est essentiellement financé par les impôts et les emprunts (quand il y a un déficit) reste primordial car la France est un Etat unitaire ; seul le parlement peut créer des impôts nouveaux, en supprimer ou les réformer (art. 34 C) ; l’effet levier est essentiellement décidé par l’Etat. Les collectivités territoriales et les établissements publics, dont le budget est d’environ 60% de celui de

l’exécutif : - intervention sporadique Prés Rép. = rôle dépend du phénomène majoritaire - revalorisation du rôle du Pr. Min. par rapport au Min. Fin. Avec la LOLF et l'augmentation du nb de décisions devant être prises par décret A priori, les textes consacrent une séparation rigide des pouvoirs entre l'exécutif et le législatif (art. 47 C° et art. 38 LOLF) = Déjà avec la IVe République Néanmoins, le respect de la séparation des pouvoirs est sacrifié sur l'autel de l'efficacité budgétaire, afin de remédier