Le Parlementarisme 1830

jeune ouvrière et le jeune socialiste. Le combat que les deux ont à vivre au début de leur relation, car elle n’est pas accepté de tous. 2. Il serait important de situer la Belgique à travers les différents conflits sociaux, à cette époque. Dès 1830, la Belgique devient un état Bourgeois. On entend par état bourgeois, selon un web dictionnaire, un état membre à part entière d’une classe sociale et détenant les moyens de productions. Cette bourgeoisie donne naissance à deux courants, encore très

qu’elles ont été rejetées par l’émergence d’autres forces. 1. La seule qui ait toujours été à droite, c'est l’extrême droite ou plutôt la droite extrême : celle qui n’a jamais accepté la Révolution française. De 1815 à 1830, elle est ultracisme, elle est extrémisme et tradition. De 1830 à 1848, elle est légitimiste, ou contre-révolution. Elle n’a jamais accepté ni les principes ni l’œuvre de la Révolution. Ses penseurs sont de Bonald, Joseph de Maistre, Charles Maurras. Aujourd’hui c’est l’intégrisme

appeler à Le détournement du régime représentatif à C’est quand l’assemblée invoque le théorie de la représentation pour se soustraire au contrôle populaire et refus de partager le pouvoir avec l’exécutif. La souveraineté parlementaire à Le parlementarisme absolu. Le monopole des partis politiques. Les partis politiques sont les conséquences de la représentation. Un parti politique permet de choisir les bons représentants. Le régime des partis c’est a dire que les représentants ne sont plus soumis

la Restauration et la Monarchie de Juillet, où le Parlement se compose d’une chambre aristocratique (la Chambre des Pairs) et d’une chambre du peuple (la Chambre des Députés). Le bicaméralisme va s’instaurer comme un élément incontournable du parlementarisme en France, et les tentatives d’instauration d’une assemblée unique seront toujours des échecs, comme se fut le cas en 1848 avec la 2ème République, ou encore en 1945 dans le premier projet de la Constitution de la 4ème République. Le bicaméralisme

• les idées constitutionnelles de Michel Debré, dont 2 apports essentiels : il impose le parlementarisme rationalisé (donner au pouvoir exécutif les moyens de résister aux pressions du pouvoir législatif) et l’incompatibilité des fonctions ministérielles et parlementaires. • les idées constitutionnelles des ministres d’Etat. Le consensus s’est fait sur l’introduction de mécanismes de parlementarisme rationalisé, et notamment de ce qui deviendra le futur article 49 alinéa 3 de la Constitution

monarque absolu (devenu roi du peuple ou président). Cette responsabilité de l’exécutif devant le législatif se fonde sur le principe d’égalité et de collaboration des pouvoirs, et, comme l’écrivit Auguste Burdeau à propos de la monarchie de juillet de 1830 à 1848, sous un « régime parlementaire authentique » (autrement dit dualiste), « le Parlement et le Roi [constituent] des forces sensiblement égales ». La théorie dualiste repose sur deux postulats : _ la possibilité d’une égalité entre les

l’extrême droite et les anarchistes, elle vit de graves crises. d) Une république finalement triomphante. Les symboles. La république a désormais ses rites et ses symboles. Elle a une devise Liberté, Egalité , Fraternité. Un drapeau officiel. ( 1830) Un hymne La Marseillaise ( 1880) La séparation de l’église et de l’Etat. Le ministre de l’instruction Jules Ferry avait déjà rendu l’école gratuite, obligatoire et laïque. ( 1881-1882). Laïcité : principe qui vise à éliminer toute influence religieuse

divisés en deux branches à savoir les légitimistes qui sont partisans du conte de Chambord (petit fils de charles X, lequel est le petit frère de Louis XVI) et les Orléanistes, partisans du Duc d'Orléans (petit fils du Roi Louis Philippe qui a régné de 1830 à 1848). La différences tient que les Légitimistes..... , les Orléanistes eux, veulent une monarchie libérale. Quant à la gauche (républicain) est aussi divisé en quatre tendances, il y a tout d'abord la gauche conservatrice avec comme chef de file

1835, dans le cadre d'une monarchie consolidée, la France fait l'apprentissage d'un régime parlementaire, certes incomplet, mais l'étroitesse du « pays légal » le rend incapable de saisir les aspiration du « pays réel ». I. La Restauration (1814-1830) A. De la première à la seconde Restauration 1. LA PREMIÈRE RESTAURATION. Les deux Restaurations des Bourbon (en avril 1814 puis en juillet 1815) ne sont pas le fruit de mouvements populaires monarchistes en France, mais la seule conséquence de

Etats-Unis : 1787 Séparation rigide – régime présidentiel – président de la république ; préside le sénat et chef du gouvernement [art 2 section 1] – politique antitrust – assouplissements (droit de veto [art 1 section 7] / pocket veto – parlementarisme de couloir – impeachment [art 1 section 2] – commission d’enquête – rôle du sénat – message parlementaire – élaboration du budget) – état fédéral (théorie des poids et des balances + principe de superposition / d’autonomie / de participation)