Le Parnasse Et Baudelaire

LE PARNASSE I/HISTOIRE - apparu en France - durant 2eme moitié du XIXe siècle -en réaction aux excès lyriques et sentimentaux du romantisme -nom vient d’un massif montagneux de Grèce, consacré à Apollon (dieu de l’art) II/DEFINITION Impersonnalité & refus du lyrisme : - VS écrivains romantiques (lyrisme + épanchements + utilisaθ récurrente du moi). - Favorise distance + objectivité : marquée par utilisaθ de thèmes spécifiques (exotisme + descripθ de nature +antiquité et histoire +

avec le naturalisme et la poésie parnassienne. + née dans le prolongement de la poésie de Baudelaire (origine Les Fleurs du mal (1857)). * Une réaction contre le : * romantisme (Hugo, Musset, Lamartine, Alfred de Vigny), le culte du moi et l'effusion lyrique. * positivisme et le scientisme (Auguste Comte) : la connaissance du monde passe par la Raison Scientifique. * parnasse et sa théorie de l'Art pour l'Art (Théophile Gautier avec Emaux et Pâmées, Théodore Bainville

tel un commentaire au titre du recueil et comme un avertissement au lecteur qui doit ainsi savoir à quoi s’attendre… En cette fin du XIXe siècle on situe bien le penchant saturnien de Verlaine dans le contexte de la poésie, d’autres poèmes de Baudelaire (les fleurs du mal) et de Laforgue (complaintes) font aussi écho aux poèmes de Verlaine. Poèmes Saturniens, les huit poèmes de Melancholia expriment la souffrance, cette souffrance est vague et seul le dernier poème en révèle la cause liée à

naturalisme et symbolisme. Les créateurs de la plus importante, cependant, au-delà d’une étiquette étroites et proposer des œuvres multiples et encore près de nous, en particulier dans le domaine de la poésie (avec Lamartine, Vigny, Musset, Hugo, Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé …) tant dans le domaine du roman (avec Stendhal, Balzac, Dumas, Hugo, Flaubert, Zola, Maupassant, Verne …) et dans une moindre mesure dans le théâtre avec le drame romantique et ses partisans (avec Musset, Hugo, Edmond

Attention, organisation, Réflexion ,passer à l'action. Victor Hugo a dénoncé les grands maux de la société. La Fontaine toujours nous régale de sa morale et de ses fables. Sully Prudhomme a déclamé sur l'animal toute sa beauté. Quand à Baudelaire, l'incompris, Il se ballade dans la rêverie . Raymond Queneau, c'est l'OuLiPo On mélange les maths et les mots. Rimbaud définit le poète : guide des humains comme le prophète André Breton , rêve, réalité, amour, poésie, liberté. Chercher

la poésie car tout le monde fait des vers en alexandrin. Gautier décide de briser les règles du classicisme. 6-6-2-1 structure du poème. 2. L’exigence parnassienne : La beauté Le 1er à avoir suivie cet art poétique est Baudelaire. Le 19ème est marqué par le Parnasse . On commence à briser certaines règles. L’acte créateur est placé sous le signe du travail et de l’effort. a) Le travail On trouve des comparatifs de supériorité : supériorité de l’œuvre lorsque le travail est difficile

" poiein " « créer » est un langage artistique destiné à transmettre des idées de façon harmonieuse avec rythme, accompagnées de sons et d’images. Un désir de beauté habite le cœur de l’homme dans un monde qui n’en est pas représentatif. En effet, Baudelaire affirmait : «  Je crois que l’Art est et ne peut être la reproduction exacte de la nature  ». Tout d’abord, qu’est ce qui fait la beauté de la poésie, y’a-t-il un autre but que la beauté ? Dans la poésie, l’homme exprime ses sentiments et ce qu’il

Fleurs du Mal, Baudelaire INTRODUCTION Souvent considéré comme le père de la modernité poétique, Charles Baudelaire est un poète du XIXe siècle, qui s’est inspiré à la fois du Romantisme et du Parnasse, et fut tout à tour journaliste, traducteur, critique d’art. Il reste célèbre pour avoir introduit des thèmes novateurs et provocateurs dans ses Fleurs du Mal, recueil condamné en 1857 pour outrage à la morale publique. En affichant pour objectif d’ « extraire la beauté du mal », Baudelaire a en effet

mouvement, souvent confus, des idées ne prenant, la plupart du temps, conscience de lui que dans l’après-coup, la pensée d’une époque ne se détachant clairement sur un fond mouvementé que pour la ou les générations d’après : c’est pour nous que Baudelaire est le premier poète de la « modernité ») ; ou simplement relatifs à la datation des « mouvements », constitués ou non en « écoles », rassemblés ou non autour d’une figure maîtresse, conscients ou non d’eux-mêmes. Cependant, face à l’extraordinaire

Charles Pierre Baudelaire est un poète français, né à Paris le 9 avril 1821 et mort dans la même ville le 31 août 1867. « Dante d'une époque déchue »1 selon le mot de Barbey d'Aurevilly, nourri de romantisme, tourné vers le classicisme, à la croisée entre le Parnasse et le symbolisme, chantre de la « modernité », il occupe une place qui lui est propre dans l'histoire littéraire du 19e siècle. Au cœur des débats sur la fonction de la littérature de son époque, Baudelaire détache la poésie de la morale