Le Paternalisme Schneider

salariale. • Le 27 décembre 1890 naît le contrat de travail. • En 1910 apparaît le code du travail. • En 1919 le régime des conventions collectives voit le jour. A cette époque, les patrons développent une politique sociale sous forme de paternalisme (ex : Schneider au Creusot) Les premières activités du service du personnel sont : • le recrutement ; • l’affectation des personnes dans les ateliers. Pendant les trente glorieuses : Le contexte est propice à la pérennisation des pratiques de gestion

transformations sociales. La France, sous le 2nd empire, va connaître de nombreuses transformations économiques en réalisant notamment sa révolution industrielle. En effet, elle va rapidement s’industrialiser sous l’impulsion d’entrepreneurs comme les frères Schneider, mais aussi grâce à des investissement massifs par l’État et des innovations techniques tels que le marteau-pilon ou la machine à vapeur. Les usines se multiplient, la mécanisation s’accélère, ce qui provoque une augmentation massive des productions

Redistribution du charbon pour le chauffage. Les Schneider du Creusot est le symbole de la métallurgie de haut niveau. Eugène Schneider est le symbole d'un homme qui va toucher à tout les pouvoirs. C'est également le fondateur de la société général. Il gère l'éducation des enfants d'ouvriers. Seuls les plus brillants peuvent continuer leurs études après. Tous ont des études de base et les meilleurs avancent peu à peu. Mauvais côté du paternalisme : la dépendance. Autres exemples : la famille

canalisant les risques de violences et faire en sorte que s’instaure un dialogue sociale . Les chefs d’entreprises ont mal acceptés la légalisation des syndicats qui sont la contestation de la toute-puissance de l’entreprise. Schneider sera celui qui instaurera le paternalisme . b.La 2èmè révolution industrielle va donnée une puissance impulsion aux syndicalisations . la concentration des entreprises s’accentue qui vont regroupés des 10 de milliers de salariés (Trust,Konzern) ce qui rend l’anonymat

subordonné) laissent clairement entendre. D’autre part, c’est srtout le patron qui met en place les moyens de faire perdurer les bons rapports (cf.tableau) Le parallèle avec la servitude du moyen âge est explicite. Celui à faire avec la notion de paternalisme est au contraire plus dissimulé puisque la notion pose pbm (mot père jms employé) Néanmoins, le patron étant bienveillant (pense au Bê de ses employés), s’étant « attaché » des ouvriers, leur prodiguant ses conseils, trouvant le meilleur cadre

place progressive d’une protection sociale. Certaines grandes entreprises Certaines grandes entreprises (ex : Krupp et Schneider) offrent des garanties à leurs ouvriers : une assurance maladie, un logement (cités ouvrières), une pension ou une retraite, l’instruction et une limitation du temps de travail. C’est donc le paternalisme. Les raisons principales à la naissance du paternalisme est de retenir la main d’œuvre durant les périodes de crises, surtout la main d’œuvre qualifiée et la contrôler. Les

ds l’indus° (et ds l’Emp) - investissent (ont les capitaux) ds bques de dépôts et bques d’affaire. Ex : les frères Pereire et le crédit mobilier, la société générale, etc.- entreprennent : gds capitaines d’industrie… ex : Eugène Schneider au Creusot, famille de Wendel en Lorraine, de Lesseps… s’enrichissent bcp. 2) remplacent l’aristocratie- adoptent un mode de vie luxueux + théâtre, opéra, jardins publics…- habitent en priorité gdes villes : st les 1er

renouvellement du patronat qui se fait par intégration «  l’ingénieur brillant pouvait succéder au patron après avoir épouser sa fille ». Cependant le développement des SA conduit à une dépersonnalisation du patronat bien que survivent des dynasties ( Schneider, de Wendel…) Le fort coefficient de capital qui caractérise les secteurs de la 2nd industrialisation contribue à superposer capitalisme familial et capitalisme plus anonyme. A) Le pouvoir aux dirigeants : la « corporate revolution » Burnham

machinisme, constitue, surtout à partir des années 1850, la tendance lourde2. La concentration s’observe dans la sidérurgie, dès 1820-1840, dans le charbonnage, dans le textile vers 1860, puis dans l’industrie chimique sous le Second Empire. L’entreprise Schneider, qui représente dès 1836 le type même de l’usine intégrée, regroupe la plus forte concentration de France et peut-être même d’Europe, avec des effectifs de 6 500 à 9 000 ouvriers au milieu du XIXème siècle3. Les dirigeants de ces grandes entreprises

et sociaux engendrés par les mauvaises relations sociales II- Bref retour sur l’histoire des relations sociales en France 1- Une émergence difficile des syndicats 2- Les courants managériaux a) De la répression au paternalisme b) Management héréditaire/Management professionnel c) La bureaucratie III- L’avenir des relations sociales 1- Solutions envisagées par les auteurs a) La transmission des entreprises b) Une redistribution