Le Paternalisme Schneider

travail. • Le 24 mai 1864 voit poindre le droit de grève. • En 1910 apparaît le code du travail. • En 1919 le régime des conventions collectives voit le jour. A cette époque, les patrons développent une politique sociale sous forme de paternalisme (ex : Schneider au Creusot). Les premières activités du service du personnel sont : - le recrutement ; - l’affectation des personnes dans les ateliers. Ensuite, interviennent la centralisation de la fonction et la recherche d’harmonisation : - centralisation

contexte du capitalisme lib�ral reposant sur la libre-entreprise, la libre-concurrence et le libre-�change. La taille des entreprises augmentant, elles ne sauraient �tre familiale comme autrefois. Si souvent, elles s’appuient sur une famille (Renault, Schneider, De Vendel…), en r�alit� elles sont de plus en plus des soci�t�s par actions. Dans une telle soci�t�, le capital est divis�es en actions que d�tiennent des actionnaires qui prennent part aux b�n�fices de l’entreprise au prorata de leur apport de

contexte du capitalisme libéral reposant sur la libre-entreprise, la libre-concurrence et le libre-échange. La taille des entreprises augmentant, elles ne sauraient être familiale comme autrefois. Si souvent, elles s’appuient sur une famille (Renault, Schneider, De Vendel…), en réalité elles sont de plus en plus des sociétés par actions. Dans une telle société, le capital est divisées en actions que détiennent des actionnaires qui prennent part aux bénéfices de l’entreprise au prorata de leur apport de

Lorraine ). Le système bancaires est assez peu développer car les entr. sont souvent familiales et n'ont pas d'aides bancaires et sont trés fragiles en période de crise ( ex: Usine d'Eugène Schneider est l'exemple du capitalisme à la française : il construit des cités ouvrières autour de l'usine ---> "paternalisme". En 1845, il devient député : accumulation du capitalisme et du pouvoir politique ). Louis P. et son ministre Guizot vont prendre conscience de l'importance d'aider les banques et vont investir

après 1850. En Angleterre, la moitiés de la population vit en ville dès 1851. Rares sont les villes champignons, nées de la mine (Saint-Étienne, Cardiff…), du textile (Manchester, Roubaix ... ) ou de la métallurgie (Le Creusot, lié aux usines Schneider ; Essen, que l’essor de la firme Krupp fait passer de 6 000 habitants en 1850 à 300000 en 1900). La plupart des cités ont un passé. Mais l’industrie stimule leurs anciennes fonctions marchandes, administratives, culturelles. À côté du noyau initial

les hautes administrations, en Prusse elle se fait conseillère du roi. S’il est vrai qu’une certaine mobilité sociale est possible avec l’industrialisation (les exemples de la famille de cultivateurs Peugeot, de l’ancien commis de banque Eugène Schneider et de leur réussite le prouvent), tous, y compris les 10 à 15% de la population citadine qui appartiennent à une future classe moyenne, semblent aveugles à la paupérisation d’une frange de la population. En effet, les progrès de l’industrialisation

contexte du capitalisme libéral qui repose sur La libre-entreprise, la libre-concurrence et le libre-échange. La taille des entreprises augmentant, elles ne sauraient être familiale comme autrefois. Si souvent, elles s’appuient sur une famille (Schneider, De Wendel…), en réalité elles sont de plus en plus des sociétés par actions. Dans une telle société, le capital est divisé en actions : chaque actionnaire prend part aux bénéfices de l’entreprise au prorata de son apport de capital. La valeur des

nécessité d’améliorer les conditions de vie et de travail de leurs ouvriers. Ces patrons paternalistes établissent entre le chef d’entreprise et ses employés le même rapport qu’entre un père de famille et ses enfants. Texte 3 page 37 : Le paternalisme d’Henri Schneider Mais ce sont surtout les ouvriers qui décident de prendre en main leur destin et d’obtenir satisfaction. L’augmentation rapide du nombre de prolétaires et la précarité de leurs conditions de vie provoquent des révoltes ouvrières, qui

abondant Les transformations sociales – essor de la bourgeoisie : elle détient les moyens de productions et d'échanges, la propriété foncière et immobilière ; banquiers, négociants, industriels s'enrichissent (créant des dynastie familiales comme Schneider en France, Tyssen en Allemagne) ; les compétences techniques acquises dans les grandes écoles comme Polytechnique sont valorisées ; épargne, travail et effort sont valorisés – le monde ouvrier : ils sont de + en + nombreux au cours du 19°, l'exode

ou de l’industriel Schneider, qui s’élève à 30 millions de francs. La bourgeoisie se ferme de plus en plus aux couches inférieures, jugées menaçantes. Ce besoin de distinction sociale se manifeste notamment se manifeste notamment par la ségrégation sociale de l’espace urbain, qui rejette les ouvriers à la périphérie des villes. Il se traduit aussi par le paternalisme, qui se propose d’encadrer le peuple afin de mieux le contrôler. C’est le but d’industriels, comme Schneider au Creusot, qui édifient