Le Personnage Compagnon

au texte. Cette adaptation permet de travailler la notion d'interprétation, puisque le film est moins "naturaliste" que la nouvelle et accorde plus de hauteur aux personnages. Certaines parties sont supprimés, certains éléments sont conservés ou transformés. L’auteur a même rajouté certaines parties. Par exemple : Les personnages ont un physique plus précis ; pour Mme Dufour moins caricatural ; pour Henriette moins sensuel. Beaucoup plus de dialogues, le ridicule des deux hommes "cocus" est amplifié

fixel'action dans un cadre temporel indéfini néanmoins le récit s'engage au présent et il prend donc une dimension visuelle On distingue trois moment dans le récit  Vers 1-4 = présentation de lasituation des personnages,lorsque l'objet du litige se présente  Vers 5-14 = contestation des deux personnages  Vers 15-21 = L'arrivé de Perrin Dandin met fin à la contestation aux dépend des deuxplaideur Vers 16-Fin = morale La moralité final se présente a travers un généralisation qui apparaît comme un leçon:

qu’il est le personnage principal d’une épopée. Il doit donc être un surhomme proche des dieux, mais aussi un modèle de moralité de courage et de piété, un être quasiment parfait. Nous verrons d’abord les caractéristiquescommunes à Ulysse et au modèle du héros épique, puis comment ces caractéristiques peuvent aussi le ramener au niveau du commun des mortels. Enfin, nous verrons comment Ulysse est un héros épique d’un genre nouveau, qui prône de nouvelles valeurs. Le personnage d’Ulysse est tout

Etude des personnages dans Germinal Dans Germinal, les individus réalisent un dessein qui les dépasse; ils sont avant tout des fonctions; certains même ne sont que leur rôle. D'autres figurent des types et servent à illustrer les thèmes. Cette situation des personnages est nette dès l' "Ebauche" : Zola définit le sujet, précise les thèmes, imagine les "scènes à avoir", indique la progression dramatique... Etienne apparaît véritablement comme la figure centrale du roman construit sur l'antithèse

Marivaux en 1725, est représentée en 1735 par la comédie Italienne de retour sur le sol français. Petite pièce en un acte et onze scènes, elle présente une utopie sociale qui interroge les rapports maîtres esclaves. Naufragés dans un lieu inconnu, les personnages vont vivre ce que Trivelin le maître du jeu appelle «  un cours d'humanité  ». Dépossédés de leurs habitudes et de leurs rôles ils vont devoir se confronter les uns aux autres. De fait, nous lisons avec intérêt la citation

sortilège grâce à un antidote, puis en lui faisant du chantage lorsqu’il exige de revoir ses compagnons avant de manger. C’est donc sa ruse qui lui permet de libérer ses compagnons alors transformés en porcs, et de survivre chez la nymphe. (chant X, p. 168) Sa ruse se manifeste aussi chez Polyphème, où il a l’idée d’enivrer le Cyclope afin de lui percer l’œil. Puis, il fait sortir ses compagnons et lui-même en se cachant sous le ventre des béliers pour que le Cyclope ne puisse les sentir

| | | | | |Tintin revient prévenir ses compagnons de sa trouvaille | |↓ |Le héros revient | | | | |Tintin

Les humains sont, eux aussi, qualifiés. Dans son ensemble, l’espèce humaine est celle « des mangeurs de pain », VIII, 222 (en grec « sitophages »). Nous reviendrons sur les nombreuses épithètes attribuées à Ulysse dans un cours ultérieur sur le personnage. Les qualificatifs sont souvent mélioratifs. Ainsi, Pénélope est-elle « la très sage Pénélope », V, 216, 217, 218. La jeune Nausicaa est « la bien vêtue », VI, 49 ou bien elle est « aux bras très blancs », VI, 186, 251 (signe de son haut rang)

nouveau compagnon. Candide et Martin partent en l’Europe, plus précisemment à Paris. Ils s’approchent des côtes anglaises et partent pour Venise où ils retrouvent Paquette, en compagnie de frère Giroflée. Ils y rencontrent Pochoiriste et y retrouvent Cacambo. Ils embarquent pour Constantinople. Sur la galère, Candide retrouve Pangloss ; il les rachète, et part délivrer Cunégonde, esclave sur les bords de la Propontide. Candide rachète Cunégonde et la vieille et s’installe avec ses compagnons dans la

française, il échangera une importante correspondance. Sa vie adulte : Lors d’une brève promenade sur les quais de la Seine le 1er juin 1905, il rencontre Yvonne de Quièvrecourt, qui fut le premier grand amour de sa vie. Yvonne de Galais, un personnage de son roman, est largement inspiré de cette femme. Huit ans plus tard, il la retrouve mariée avec deux enfants. En 1907, il échoue pour la troisième fois au concours de l’Ecole normale supérieure, renonce au professorat et abandonne ses études