Le Personnage Marginal

l'oeuvre de Champfleury Le réalisme en 1857 Caractéristiques du mouvement : Les histoires réelles et vécues sont abordées, les personnages sont évoqués avec minutie (importance de la description). C’est principalement vers le genre romanesque que se tournent les auteurs réalistes. Ils tentent de saisir à la fois une réalité psychologique, incarnée par les personnages de leurs romans, et une réalité sociale, historique, qui implique un ancrage de l’action romanesque dans un temps historique clairement

plus variés, il y davantage d’agressions mais toujours autant de vols. Ces vols sont commis parfois par nécessité mais aussi souvent, pour s’affirmer et se révolter contre la société. Dans les romans du XIXème siècle comme Les Misérables, le personnage, Jean Valjean, est d’abord critiqué avant de montrer son évolution dans ses bonnes actions pour se repentir. Dans la littérature du XXème siècle, les auteurs, comme Le Clézio par exemple, on choisi de se placer du côté des délinquants en tentant

de peindre la vie dans sa totalité ; le théâtre doit se rapprocher au plus de la vie quotidienne. Pour ce faire les auteurs mélangent les genres, les tonalités et les niveaux de langues afin d’exprimer au mieux la multiplicité et la richesse des personnages, des lieux, des situations et des sentiments. Le refus de la règle des 3 unités (action, lieu et temps) : les auteurs romantiques considèrent que leur respect contraignait le génie du dramaturge. Ainsi les pièces de théâtres dramatiques mettent

drame bourgeois du XVIIIe siècle. Racine et Shakespeare, l'œuvre de Stendhal parue en 1823, et surtout la Préface de Cromwell (1827) de Victor Hugo, le théoricien de ce nouveau genre, en sont les textes fondateurs. C'est un marginal, par réaction à l'élévation des personnages prônée par Aristote dans sa Poétique. Prosper Mérimée, par ailleurs historiographe, écrit ainsi avec la Jacquerie (1828) un drame sous la forme d'un récit dialogué qui transporte le lecteur au milieu du XIVe siècle et propose

d'Anouilh met en scène l'absolu d'un personnage en révolte face au pouvoir, à l'injustice et à la médiocrité. Reprise d'un mythe antique de Sophocle par Anouilh dans son œuvre Antigone. Titre donne de nombreuses indications sur le personnage. Scène d'exposition à moment capital passage de " l'acte 0 " à l'acte 1. Instant majeur car rideau se lève, ensemble des personnages sur scène. L'un d'eux se détache : prologue constituant le médiateur entre personnage/spectateur. I. Exposition original

lieu (unité de lieu) et la durée des événements représentés ne pas dépasser vingt-quatre heures (unité de temps). Les pièces de Victor Hugo, mais aussi celles de Musset, reprennent tous les règles de la dramaturgie romantique en multipliant les personnages et les lieux, mêlant le vers et la prose, le style haut et le style bas, le sublime et le grotesque, le beau et l'horrible. Dans cette préface apparait aussi la théorie des trois âges (Les temps primitifs : Les hommes encore proche de l'innocence

en scène Le rideau se lève sur plusieurs personnnages de la pièce qui se livrent à des activités banales. Le dialogue entre les personnages donne des indications sur la pièce. Spectateur placé devant une scène animée. 2. Occupations originales : Activité familière : bavarde, jeu (l.3). Inattendu dans la tragédie que suggère le titre "Antigone". Les personnages ne semblent pas vraiment communiquer entre eux. Leur connaissance passe donc par le rôle du Prologue. Présence conjointe de la première

Nouvelles de guerre de Maupassant : Eléments de synthèse à compléter avec vos propres exemples Vous montrerez comment le traitement des personnages participe à la dévalorisation de la guerre On sait les convictions pacifistes et antimilitaristes de Maupassant écrivain,critique, journaliste qui a exercé sa verve satirique et son talent de pamphlétaire dans de nombreuse chroniques et nouvelles. Les récits de guerre proposés , parus dans le Gaulois de 1880 à 1883 et dans le collectif des soirées

deux personages , deux marginaux , Vladimir et Estragon , qui attendent sur une route deserte un dénommé Godot. Ah oui , vous allez me dire , il va leur arriver des trucs...Mais non. Et c'est la tout l'aspect fascinant de la piece. Les deux personnages passent leur temps a parler de la mort , de leur situation , de leurs regrets , de ce qu'aurait pu etre leur vie .... Il parlent constamment mais c'est un dialogue de sourds ; les quiproquos sont nombreux , car ces personnages sont vieux , et n'ont

de la couleur de la peinture verte de ce couloir. En résumé, c'est une histoire qui se déroule dans les années 30, le personnage principal s'appelle John Caffey, il est doux, attentionné et timide mais il est comparé à un ours, un gigantesque noir. Il se retrouve dans la prison car il a été accusé d'avoir tué et violé deux petites fillettes. John Caffey est totalement en marginal car il possède des pouvoir de guérison. Il n'est pas le seul, Ed Delacroix (un pyromane) a une souris appelée Mister Jingles