Le Personnage Marginal

délimité pour leur jeu de rôle (« reste ici » l13). Evolution dans le caractère. L22 : « presse-toi, je t’en prie. Vous êtes… Vous êtes » Claire a du mal à jouer jusqu’au bout 2) L’identification Jeu de pronoms personnels Communication entre les personnages qui ne jouent pas ce qu’ils sont. Emploi du tutoiement à la ligne 1 (« commence »). Claire n’est pas encore dans son rôle, elle parle à sa sœur. Puis à la ligne 5, elle commence à vouvoyer sa sœur (« vous n’espérez pas ») et elle a revêti une

dimension véritablement tragique d’une scène dans laquelle deux personnages extraordinaires ne parviennent plus à s’entendre et s’enferment petit à petit dans leur plainte. • Deux amants malheureux Il s’agit, tout d’abord, pour Titus de défendre l’image d’un couple amoureux. « pleurs » et « douleurs » sont rassemblés à la rime aux vers 3 et 4 comme dans une mélopée. Le vers 6 fondé sur un parallélisme rassemble les personnages dans une même douleur. Les v. 10 et 11, fondés sur les phonèmes

diligence est une « micro-société » ? Quelle image nous en est-il donné ? Le choix de ce lieu clos vous paraît-il pertinent ? La diligence est une « micro-société » car dans cette diligence nous retrouvons toutes les classes sociales de l’époque. Les personnages qui sont regroupés dans la diligence sont trois couples qui appartiennent à des classes sociales différentes. Les « commerçants » sont représentés par les Loiseau, la « classe supérieure » par les Carré-Lamadon, et les « aristocrates » par les Bréville

des notions de détente, d'émotion d'évasion, de plaisir ou même de divertissement. Ou encore de communications, d'identification ou d'indépendance. L'adolescence est une période où les personnes s'identifient rapidement à des sons ou même à des personnages. 2 Les jeunes sont plus influencés par le rock, le jazz, le hip hop, le raggae ou encore la techno. Dans la musique, l'émotion prime c'est d'ailleurs pour ça que les chansons populaires parlent principalement d'amour. Les adolescents d'aujourd'hui

narrateurs et les personnages du post-exotisme puisent leur inspiration. Ils racontent cela, les guerres, les souffrances, les exterminations, les totalitarismes, les ratages, depuis un espace-temps où je les mets en scène, depuis leur prison, depuis leur mort, depuis des mondes imaginaires et parallèles. Chacun de ces mondes possède sa propre logique (des règles socio-politiques que les héros souvent transgressent, devenant ainsi, dans l'univers imaginaire de référence, des marginaux) ; il possède

peut-être est-ce aussi cela l’avantage de la représentation : donner à voir à découvrir des interprétations qui auraient échappé au lecteur. Dans les années 90, trois acteurs (Michel Bouquet, Michel Aumont et Jacques Mauclair) se sont attaqués au personnage d’Harpagon de l’Avare de Molière, donnant trois interprétations différentes. On peut lire un commentaire de leur prestation dans Télérama (octobre 1989): « Quoi de commun entre ces trois là ? Rien. Bouquet est un vieillard tragique comme désincarné

romantiques redécouvrent avec un plaisir certain le théâtre de Shakespeare (1564-1616) qu’ils prennent comme modèle. Shakespeare leur paraît moderne pour plusieurs raisons : il a écrit pour les « grands » (rois et courtisans) et pour le peuple : les personnages appartiennent à ce qu’on appelle aujourd’hui des milieux sociaux très différents. De plus, Shakespeare varie les genres, enfreint les unités spatio-temporelles, et aucun aspect de la nature humaine ne lui échappe. C’est avec Musset, Vigny, Hugo

LE ROMAN Le roman (en anglais, on l'appelle novel!) est une œuvre d'imagination, assez longue, qui présente et fait vivre dans un milieu des personnages donnés comme réels, où on nous fait connaître leur psychologie, leur destin et leur aventure. Le roman a pour principe de séduire le lecteur non seulement par l'intérêt de l'histoire qu'il raconte mais par le pouvoir de sa construction narrative. Celle-ci structure le déroulement de l'action en répartissant les forces en jeu dans l'intrigue.

amants / alternance des pronoms « je » puis « elle » / suggère dissociation du « nous » • le chevalier achevé son récit dans une économie de détails / phrase brève de 3 mots « je la perdis » / condense la douleur de DG • évènement atroce pour le personnage / « atroce » « fatale » / mêlant ses ressentis entre amour, regret et culpabilité • chevalier présente tel un pêcheur / vocabulaire religieux Conclusion: En somme, ce texte marque l’excipit de l’oeuvre a travers la perte d’un être soumis et la

 et  des  personnages  héroïques  =>  veut  des   spectacles  d’actualité   Beaumarchais,   Essai   sur   le   genre   dramatique   sérieux  :   «  Il   n’y   a   moralité   ni   intérêt   au   théâtre  sans  un  secret  rapport  du  sujet  dramatique  à  nous  ».   =>  volonté  d’abolir  la  distance  entre  le  spectateur  et  le  personnage   Beaumarchais