Le Petit Prince Portrait Physique Et Moral

S4-CLCL Séance 01 : Mercredi 25 janvier a rattraper *********************************************************************************** Séance 02 : Mercredi 01 février Marcus Valérius Martialis, de son nom français Martial, prince de l’épigramme. Martial est un latin d’Espagne. Comme tous les Latins étrangers, il vient à Rome vers ses 20 ans. A 25 ans, il faut que le latin ait fait quelque chose, qu’il soit connu… Pour faire ça il faut aller à Rome. Sauf qu’il y va au mauvais moment car on est en

FRANCAIS : LES CONTES DE PERRAULT. LE PETIT CHAPERON ROUGE 1. Quelle menace la morale contient-elle ? A qui s'adresse-t-elle précisément ? La moralité ici signifie qu'il ne faut pas se fier aux bons parleurs, aux flatteurs comme nous le montre ce vers : « […] ces Loups doucereux, de tous les Loups sont les plus dangereux. ». Elle ne semble pas s’adresser aux enfants. En effet la moralité dans « Le Petit Chaperon rouge » met en garde les jeunes filles naïves ou peut-être même avec des fausses

assez mal vu à cette époque, puis il fut attribué à Madame de La Fayette. Cette oeuvre se divise en 4 parties. ( le nom de l'auteur est apparu en 1780 sur la couverture) L'auteur : Marie-Madeleine Pioche de La Vergne nait en 1634 à Paris. De très petite noblesse, sa famille est proche des Richelieu. Veuve, sa mère se remarie avec un Sévigné : Marie-Madeleine fréquente alors les salons littéraires. Malgré quelques problèmes de santé, elle côtoie le futur cardinal de Retz, Scarron, Ménage,

I-Biographie de l’auteur p 01 à 02 II – Histoire du roman et pers. p 02 à 04 III- Mvmts littéraire p 04 à 07 IV- Genre de l’œuvre p 07 à 09 V – Résumé p 09 à 10 VI-Points lectures p 11 à 14 VII-La morale p 15 à 16 VIII-Individu p 15 à 17 IX-La société p 16 à 18 X- Œuvres liées au parcours p 18 à 19 XI - Œuvres cursive p 19 à 21 Cours XII- Citations p 14 à 15 XIII-Lexique p 15 XIV- Études linéaires(N° 5 à 8) p 15 à 17

2- Les personnages dans leur quotidien Au début du conte, on découvre une galerie de personnages où Candide et Pangloss encadre les autres personnages, cela les met en valeur. Candide est un « jeune garçon » (l.2/3), cela rappelle le prince charmant du conte merveilleux et l’adjectif qualificatif « jeune » donne une impression de vigueur et de beauté. Il avait les « mœurs les plus douces » (l.3) avec le superlatif « plus » on discerne une hyperbole. Le « jugement assez droit » (l.4)

du tableau. La vierge a tout d’une jeune femme italienne, ses traits sont gracieux, elle porte des bijoux, et même si elle joint les mains en signe de prière, elle a une expression toute maternelle (on pourra comparer l’expression de ses traits au portrait de jeune femme située page 80 – ou page 78 pour le manuel ES/S et Techno – datant de la même époque et beaucoup plus figé). Sa robe bleue, symbole du céleste ou de virginité s’intègre parfaitement aux couleurs douces du tableau. Les codes religieux

Bovary , roman éponyme publié par Gustave Flaubert en 1857. Dans son roman Flaubert raconte la vie originale d'une femme du XIX ème siècle : Emma, cette jeune femme épousera Charles Bovary peu de temps après être sortie du couvent, elle voit en lui un prince charmant mais sera vite déçu par la monotonie de sa vie. C'est à travers diverses lectures qu'Emma imaginera une vie meilleure, elle rêve d'un homme qui l'aime sincèrement et qui soit à la hauteur de ses attentes, cet homme elle le voyait en Charles

doit être l'Art, en pervertissant l'essence même, qu'ils n'ont aucun avenir; leur mensonge ne pouvant qu'être condamné au déclin. Le style précieux est parfois lourd, une lourdeur qui rend quelques arguments un peu obscurs à déchiffrer, mais ce petit texte ravira malgré tout les fans du dandy, qui y trouveront des clés afin de mieux comprendre sa démarche et son œuvre WILDE Oscar, Le Déclin du mensonge (extrait), Paris, Complexe, 1986 Introduction The Decay of Lying est paru initialement

sés  en deux camps : ceux appartenant à l’Eglise, et ceux se rapprochant plus de l’Etat ;  puis, étudierons les relations qui existent entre ces personnages et les personnages  princpaux.        I­ Présentation des personnages  1.1­ L’Eglise  Le petit moine​  :   p.60  ­ 16 ans et Saxon  ­ Volonté de venger les saxons qui se sont fait envahir par les normands “me  délivrer de ma honte” : il est arrêté par des soldats “Il rôdait autour du camp. Il avait un  couteau sous sa robe”  ­ est “muet” face aux questions de Becket à son arrestation 

d’ensorceler une jeune fille innocente et de l’entraîner sur le mauvais chemin, puisqu’il est le diable en personne. En effet, l’identité de l’inconnu ne fait pas de doute, comme le suggèrent certains signes évidents. D’abord, son attitude et son aspect physique sont révélateurs. Son « air hautain » (l.161) et « indifférent » (l.190) dénote une attitude distante, alors que son sourire est qualifié d’ « amer » (l.171) et que sa grimace est dite « infernale » (l.116) au moment où il avale de l’eau bénite.