Le Pianiste Roman Polanski

 dans les​  années  1970​ , il réalise le premier​  blockbuster​  de l'​ histoire du cinéma​  :​  Les Dents  de la mer​ . Il enchaîne les succès (​ E.T. l'extra­terrestre​ ,​  série Indiana  Jones​ ,​  Jurassic Park​ ).    4°)  Il est inspiré du​  roman ​ (1982) de​  Thomas Keneally​  sur​  Oskar Schindler​ ,  qui réussit à sauver environ 1 100 ​ Juifs​  promis à la mort dans le​  camp de  concentration​  de​  Płaszów​ .  Il a créé la fondation ​ Shoah Foundation Institute for Visual History and 

transmettre ! Ce serait alors à la littérature, au théâtre par sa catharsis (ce lieu où on regarde), à la peinture (par la totale la liberté dont elle jouit), à la musique (Dans le film "Le Pianiste" de Roman Polanski, l'officier SS est "démobilisé" par la Ballade en sol mineur de Chopin que joue le pianiste), et tous les autres arts, bref, c'est à eux tous de transmettre, de constituer une culture qui crée du lien. C'est aussi au droit, mais dans l'unique mesure où c'est sur le mode de la plainte

peut pas rester insensible: on ressent de très fortes émotions. III - Œuvre pouvant être mise en parallèle : « Le pianiste » de Roman Polanski On peut parler du film : « Le pianiste » film réalisé par Roman Polanski, sorti en 2002. Il est adapté du roman autobiographique de Władysław Szpilman. L'histoire racontée dans ce film est une histoire vraie, vécue par un pianiste juif polonais qui l'a racontée dans un livre après la seconde guerre mondiale. Le texte raconté dans « Un survivant

de partir en marchant au hasard, sans but précis, et chaque fois j’étais surpris de buter sur l’une de ces barrières » Wladyalaw szpilman, Le pianiste, 1998,Copyright Robert Laffont, 2002 Dans cette œuvre autobiographique, Wladyalaw szpilman raconte sa vie dans le ghetto de Varsovie. Le livre a été porté à l’écran par Roman Polanski en 2002 dans le Pianiste. « On ne peut rien voir de pire dans le ghetto que ces foules de visages décharnés dont toute couleur a disparu. Certains ressemblent à des

pour l'humanité entière et pour la démocratie. Références : Guernica (Pablo Picasso, 1937) La vie est belle (Roberto Benigni, 1998) Le journal d’Anne Frank La Peste d’Albert Camus ( référence au nazisme dans certains passage du livre) Le Pianiste (Roman Polanski) La Rafle (Roselyne BOSCH ) Le garçon au pyjama rayée (Mark Herman, 2008) La Liste de Schindler ( Steven Spielberg, 1983) 

Dans ces films le train représente le passage entre le réel et l’imaginaire. Le train sert donc de transition entre ces 2 mondes alors qu’au départ c’est un moyen de transport. (Wendy qui parle) -La mort: La rafle de Roselyne Bosch, Le pianiste de Roman Polanski, La vie est belle de Roberto Begingni, Elle s’appelait Sarah de Gilles Paquet Brenner: ces films sont reliés à la Shoah et le train est le symbole de la mort puisque c’est lui qui mène à la déportation des juifs dans des camps de concentration

de Steven Spielberg, 1994 – La shoah Il faut sauver le Soldat Ryan de Steven Spielberg, 1998 – Le débarquement en Normandie Sobibor de Claude Lanzmann, 2001 – Les camps d’extermination Amen de Costa-Gavras, 2002 – La déportation Le Pianiste de Roman Polanski, 2002 – Le ghetto de Varsovie Liberté de Tony Gatlif, 2008 – Les tziganes durant la guerre L’Armée du crime de Robert Guédighian, 2009 – La résistance des Arméniens Seconde guerre mondiale et Guerre froide Les Uns et les autres de

Domaine : arts du spectacle vivant Thématique : Arts, Etats et pouvoir. Le marionnettiste de Lodz Théâtre. Gilles SEGAL Texte écrit en : 1980 Domaine : Arts du son Arts du visuel Thématique : Arts, Etats et pouvoir. Le pianiste, film sorti en 2002 Roman POLANSKI Domaine : Arts visuels. Thématique : Arts, Etats et pouvoir. RECHERCHE PERSONNELLE : Analyse du célèbre tableau GUERNICA de Pablo PICASSO En 1937. L’élève doit suivre impérativement le plan donné pour l’analyse de cette

Le pianiste (roman) de Wladyslaw Szpilman. Septembre 1939, Varsovie. Wladyslaw Szpilman est pianiste à Radio Pologne  lorsque la guerre éclate. Pendant ces six années, il assiste successivement à la prise de sa ville, à la construction du ghetto et au soulèvement des Varsoviens en fin de guerre. L’auteur, surnommé le « Robinson Crusoë de Varsovie » témoigne au lendemain de la victoire alliée, il raconte toutes les horreurs qu’il à vécu au quotidien sous la menace permanente de la déportation… 

BEATLES et Chuck BERRY, « Back in the USSR » et « Back in the USA » Abd al Malik, « Les Autres » entre rap, slam et jazz STOMP, « Kitchen » et « Brooms » : musique ou bruit ? Arnold SCHÖNBERG, « Un survivant de Varsovie » Roman POLANSKI, « Le Pianiste » : oeuvres de Chopin et musique Klezmer Pierre HENRY, « Psyché Rock » R. Wagner, « Le Vaisseau fantôme » et « Pirates des Caraïbes » : comment une légende traverse les siècles ? Ray CHARLES, « Georgia on my Mind», du gospel