Le Pib Est Il Un Indicateur Imparfait

valeur ajoutée, le Produit intérieur brut (PIB). - Le taux de croissance du PIB. Au niveau microéconomique, la création de richesse est évaluée par la valeur ajoutée produite par les agents économiques. Au niveau macroéconomique, la richesse produite est évaluée par le produit intérieur brut (PIB). Le taux de croissance du PIB reste ainsi le principal critère pour mesurer le dynamisme économique d’un pays. Cet indicateur reste toutefois imparfait et présente de nombreuses limites. L’étude

se font au détriment d’investissements plus productifs. Si on investit pour l’environnement on n’investit pas pour autre chose qui entrainerait une augmentation du PIB. On accorde une grande importance au côté matériel (PIB) et non pas à l’IDH. Peut-on parler de croissance ou d’augmentation du niveau de vie ? Si on considère que le PIB, on ne prend pas en compte l’équité intergénérationnelle = notion de soutenabilité de la croissance. Cette notion c’est ce qu’on entend dans l’idée de développement

CROISSANCE ET DEVELOPPEMENT : Chapitre 1 : La mesure et les indicateurs de la croissance : Les premiers économistes qui se posent des questions sur la croissance sont les économistes classiques. Les classiques : Adam Smith (libéral) : «  De la richesse des Nations » Ce qui différencie les libéraux et les autres économistes est que l’Etat doit avant tout exclusivement être au service de la création de richesse, c'est-à-dire que l‘Etat ne doit pas être nécessairement un processus de service

* Offre de monnaie : 500 * Niveau général des prix : 5 * PIB réel : 1000 1) Donner l’expression de l’équation quantitative de la monnaie (EQM) et calculer la vitesse de circulation de la monnaie V. 2) Enoncer la théorie quantitative de la monnaie. 3) Que peut-on dire sur le réalisme de l’hypothèse de stabilité de V (dans relation TQM) A long terme on considère que V augmente de 20%, M de 20% et le PIB de 10%. 4) Calculer de deux manières le taux d’inflation.

François Perroux, la croissance économique correspond à « l'augmentation soutenue pendant une ou plusieurs périodes longues d’un indicateur de dimension, pour une nation, le produit global net en termes réels. »[5]. La définition de Simon Kuznets va au-delà et affirme qu'il y a croissance quand la croissance par tête augmente, c'est-à-dire lorsque la croissance du PIB est supérieure à la croissance de la population. À court terme, les économistes utilisent plutôt le terme d'« expansion », qui s'oppose

qu’il peut être rationnel pour les agents de ne pas faire varier les prix à court terme. La NEK propose des fondements théoriques microéconomiques pour expliquer l’ajustement lent des prix et des salaires dans le cadre de modèles de concurrence imparfaite. On appelle souvent la NEK la «seconde synthèse». Ils prennent les développements théoriques les plus récents de la NEC pour prouver la rigidité des prix. Principaux auteurs : Gregory Mankiw, Olivier Blanchard, Bruce Greenwald, Joseph Stiglitz,

qualité et du prix du produit. • Mobilité des facteurs de production W et capital peuvent à tt moment se déplacer d’1 marché à l’autre. Si il manque au moins une condition, le marché à concurrence imparfaite. C’est le seul modèle qui permet un équilibre optimal. b) Mais de plus en plus : Atomicité : Les marchés deviennent oligopolistiques (peu d’offreur) voire monopolistique. Si un seul demandeur = monopsone (plusieurs : oligopsone)

qualités et caractéristiques. Transparence du marché : les agents disposent de toute l’information nécessaire pour faire leur choix. Fluidité du marché : les consommateurs et producteurs sont libres d’entrer et sortir du marché. De concurrence imparfaite. L’oligopole : nbre peu élevé de producteurs réduction de la concurrence et fausse le mécanisme des prix. Le monopole : un seul vendeur pour bcp d’acheteurs. Offre et demandes des produits en concurrence parfaite. Prix d’équilibre est aussi un

ne joue que si le choc est temporaire (ou perçu comme tel) Nota: en 1996, en Tunisie, la consommation des ménages augmente de 2,5 % (épargne: - 2 pts) et les entreprises réduisent leurs stocks (car cette augmentation est jugée transitoire), d'où le PIB ne croît que de 1,5% (la contribution des stocks est d'1 pt) 3. La spéculation (la détention de stocks a un coût) Nota: l'entrepreneur confronte : - le taux d'intérêt nominal à court terme (3,5%) ou coût d'opportunité. - les anticipations de prix

tentatives de mesure du développement durable. Les développement précédents nous amènent à la conclusion suivante sur les indicateurs susceptibles de capter la situation relative d’un pays en termes de développement durable : il semble nécessaire d’utiliser conjointement des indicateurs synthétiques d’une part, et des indicateurs sectoriels d’autre part. En effet : - Les indicateurs synthétiques (de type IDH) tentent de résumer en un chiffre la position des pays. Même s’ils ne fournissent qu’une vision