Le Piège diabolique

de science-fiction. Si dans Le Secret de l'Espadon l'aventure est surtout d'ordre militaire et technologique et dans Le Mystère de la Grande Pyramide plutôt historique et ésotérique, des albums comme La Marque jaune, L'Énigme de l'Atlantide ou Le Piège diabolique mêlent l'action guerrière ou policière à l'utilisation des découvertes scientifiques. Edgar P. Jacobs se distingue notamment par sa volonté de réalisme et d'exactitude dans le détail. Travaillant souvent d'après photos ou croquis de repérages

son amant Ruy Blas. Nous pouvons nous demander comment s'opere la montée de la tension dramatique tout au long de cette scène Dans un premier temps nous allons étudier les deux amants pris au piège puis, nous constaterons que c'est une scène marquée par la violence et la terreur I Deux amants pris au piege A) un amour coupable - Rappelons RB et la reine sont des amants , car la reine est mariée -Les deux personnages sont tres proche ce qui est sugéré par l'emploie du tutoiement ex BLEU FEILLE

amants pris au piège A) Un amour coupable :  RB et la reine sont amants, mais la Reine est mariée    La familiarité amoureuse : tutoiement « je t’aime, tu sais bien » / « le dévouement que mon amour rêva ». Lyrisme de certaines répliques : métaphore « je sens que votre vie à flots coule et s’en va » + pathétique : « pauvre enfant »   _Des signes de tendresse visibles : « lui prenant les mains » , + la proximité « et lui montrant du doigt la ligne qu’elle lit » B) Un piège diabolique : _  Une lettre

Prise en un tourbillon d’épouvante et de rage, N’est plus qu’un pauvre jonc tordu par un orage ! Que faire ? Pensons bien. D’abord empêchons-la De sortir du palais. — Oh ! oui, le piège est là Sans doute. Autour de moi, tout est nuit, tout est gouffre. Je sens le piège, mais je ne vois pas. — Je souffre ! C’est dit. Empêchons-la de sortir du palais. V. Hugo, Ruy Blas IV, 1, Plan de commentaire composé I. L’amour de Ruy Blas 1) l’obsession de

manipulateur narcissique et sans scrupule, prêt à tout pour arriver à ses fins à savoir marier Dorante, son ancien maître désargenté, à la riche bourgeoise Araminte. Tout d’abord, Dubois se révèle être un valet qui apparaît parfois sous des jours diaboliques, notamment envers Araminte. En effet, il a recours à des stratégies peu morales pour faire céder la fille de Mme Argante. Ainsi, tout au long de la pièce, Dubois n’hésite-t-il pas à user du mensonge pour tromper Araminte en faisant passer Dorante

toujours un piège. » Cette affirmation vous semble-t-elle justifiée ? BON COURAGE Proposition de correction : Nous commencerons par étudier le cas où la lettre constitue (ou fait partie d’) un piège planifié par un personnage et destiné à contraindre une victime. Nous examinerons ensuite les lettres qui remplissent d’autres fonctions que celle de piéger. Nous verrons enfin que, dans certains cas, une lettre innocente peut être détournée de sa fonction initiale et qu’elle devient un piège par la volonté

admiration : il s’emballe = numération. A la fin, il essaie de se justifier : la crainte justifie son dévouement d’après lui. III. Le portrait de DJ par S ❖ Un portrait peu flatteur : celui d’ « un grand seigneur méchant homme » ( Un être diabolique : comparaison animale : « chien », « pourceau », « bête brute » = être hybride + bestialité + débauche + sans loi, sans morale. ( Un libertin (liberté sexuelle au XVIIIème) = sens religieux (« un hérétique, qui ne croit ni Ciel, [ni saint, ni Dieu] »

metteur en scène, position de maîtrise - diabolique, machiavélique - cynisme = sans scrupules - bcp de double énonciation I) B) La rédaction sous la dictée - billet de haine ≠ "doux" - prétend être sincère, mais manipulateur - vocabulaire galant (= discours amoureux mais construit avec métaphores, etc...) - atmosphère légère, aventure amoureuse - rire démonique, pas de satisfaction amoureuse - décalage entre rédaction d'un "billet doux" et rédaction billet piégé = crée une ironie cruelle - double énonciation

Vengeance d'une femme. Introduction Les Diaboliques est le titre d'un recueil de six nouvelles de Jules Barbey d'Aurevilly, publié en 1874. Par ce titre, l'auteur veut souligner l'origine diabolique des perversions morales qu'incarnent les différentes héroïnes, parce que celui-ci s'applique aussi bien aux histoires racontées qu'à leurs protagonistes tourmentées par des passions cruelles, extravagantes. La Vengeance d'une femme est la sixième de ces Diaboliques. La nouvelle relate l'aventure arrivée

au jeu initié par ce dernier : champ lexical de la ruse. Gradation ligne 109 « rêveur, embarrassé, capable d’intriguer… » Il joue le jeu, parle du pèlerin et le qualifie comme un « étranger » ligne 108 pour faire croire qu’il ne le connaît pas. Le piège fonctionne, les courtisans posent des questions et sont intrigués→champ lexical de la curiosité (lignes 112,113 et 114). D – Le roi s’adresse à ses proches Au ministre : il éloge le pèlerin et son miroir en utilisant un vocabulaire mélioratif (« extraordinaire » ;