Le Placement Sous Surveillance électronique

➢ Clientèle des Particuliers et des Professionnels : - Services de Banque à domicile : par téléphone (Allo SOLDE) et par Internet (BMCI Net et BMCI Wap); - Packages de produits; - Moyens de Paiement électronique; - Produits d’assurances et d’assistance; - Formules de placement; - Gestion de patrimoine; - Large gamme d’OPCVM; - Crédit à la consommation; - Crédit immobilier. ➢ Clientèle des entreprises : - Crédits de fonctionnement et d’investissement; - Activités

être créancier pour l’acheteur d’obligation. Investir en bourse procure en moyenne une rentabilité de 12% pour les actions (cas de la bourse de paris) qui est une rémunération plus rentable que celle d’autres placements ainsi les actions se sont avérées un meilleur placement a longue terme mais a condition de ne pas céder a des crises passagères. Mais avant 1990, la plupart des ménages préféraient de placer leur épargnes dans des comptes bancaires rémunérés ou dans l’achat de l’immobilier

qualité, les nouveaux venus sur le marché titrisent des crédits plus risqués. Bien entendu, n’importe quel investisseur peut être intéressé par de tels titres, si le risque est compensé par une rentabilité élevée ou, en général, si le produit financier sous-jacent présente des caractéristiques attrayantes. Il est tout de même clair que le monde de la finance n’est pas fait pour que la totalité des crédits titrisés de mauvaise qualité et autres actifs sujets à caution trouvent preneurs. Ce pourquoi il

délinquant, récidiviste ou non, procède à un calcul de type coût/avantage avant de se décider à commettre un acte criminel. En aggravant les peines encourues, ces lois se fondent sur le fait que le criminel potentiel va renoncer à son passage à l'acte sous l'effet de l'accroissement de son appréhension à effectuer une peine plus longue. Cependant il ne prenne en compte que les facteurs socio-économiques et non les contraintes sociales pesant sur les populations délinquantes. Parfois même, le problème

1 MEMOIRE DU DIPLOME SUPERIEUR EN TRAVAIL SOCIAL Ecole Supérieure de Travail Social L’EVOLUTION DE LA PRISE EN CHARGE DES ENFANTS EN MECS Quelles modalités sont mises en place par les équipes éducatives Mémoire présenté par : AFQUIR Abdel Sous la direction de : DOUCET-DAHLGREN Anne-Marie Janvier 2007 2 A vous qui m’avez donné la force de marcher, A ceux qui m’ont aidé à trouver un chemin, A toi qui m’y accompagne avec patience, merci… 3 SOMMAIRE I. INTRODUCTION ........................

(tortures, marques, stigmates). 2. Sa liberté: peines privatives de liberté, mesures de sûreté (placements, internements) et sanctions restrictives de liberté comme p. ex.: le sursis avec mise à l’épreuve et règles de conduite (dès les années 1920); les prestations de travail d’intérêt général (dès les années 1950); diverses formes de liberté surveillée (assignation à domicile ou surveillance électronique dès la fin des années 1980). 3. Ses droits: peines privatives ou restrictives de droits, comme

97-02 sur le contrôle interne 1. Le contrôle des opérations et des procédures internes 2. L’organisation comptable 3. Les systèmes de mesure des risques et des résultats 4. Les systèmes de surveillance et de maîtrise des risques 5. Les systèmes de documentation et d’information 6. Le dispositif de surveillance des flux d’espèces et de titres 375 377 379 382 383 383 384 385 386 388 Section 1 Section 2 Section 3 Table des matières IX 11 GESTION PRUDENTIELLE ET EXIGENCE DE BÂLE II

contrôle des opérations et des procédures internes 383 383 384 385 386 388 2. L’organisation comptable 3. Les systèmes de mesure des risques et des résultats 4. Les systèmes de surveillance et de maîtrise des risques 5. Les systèmes de documentation et d’information 6. Le dispositif de surveillance des flux d’espèces et de titres Table des matières 11 GESTION PRUDENTIELLE ET EXIGENCE DE BÂLE II 391 Section 1 Les normes de gestion prudentielles 392 Section 2

contrôle des opérations et des procédures internes 383 383 384 385 386 388 2. L’organisation comptable 3. Les systèmes de mesure des risques et des résultats 4. Les systèmes de surveillance et de maîtrise des risques 5. Les systèmes de documentation et d’information 6. Le dispositif de surveillance des flux d’espèces et de titres Table des matières 11 GESTION PRUDENTIELLE ET EXIGENCE DE BÂLE II IX 391 Section 1 Les normes de gestion prudentielles 392 Section

édition I 2010/2011 I SOMMAIRE f Le baromètre 2010 P. 2-3 f Les Français et finance solidaire Avec 1 l’épargne solidaire P. 6-7 f Les placements labellisés Finansol P. 2 à 6 Epargne solidaire, la nouvelle chance V Malgré la crise, l’épargne solidaire a connu une belle croissance en 2009. Alliant sens et sécurité, ces placements s’installent progressivement dans les habitudes ÉDITORIAL François de Witt Président de Finansol (1) Salariés solidaires Si le baromètre de