Le Plaisir Est Une Chose Sérieuse

Texte A : La Fontaine, « À Monseigneur le Dauphin », Préface aux Fables, 1668. MONSEIGNEUR, S'il y a quelque chose d'ingénieux dans la république des lettres, on peut dire que c'est la manière dont Ésope1 a débité sa morale. Il serait véritablement à souhaiter que d'autres mains que les miennes y eussent ajouté les ornements de la poésie, puisque le plus sage des anciens a jugé qu'ils n'y étaient pas inutiles. J'ose, MONSEIGNEUR, vous en présenter quelques essais. C'est un entretien convenable

I. Résumé : Le père et la mère de Julien habitaient un château. Lors de sa naissance il y eu deux mystérieuses prédictions : « Julien sera un saint et un empereur. Depuis sa jeunesse, Julien était pris de passion pour la chasse. Il prend un plaisir sadique à massacrer des animaux et un jour il commet un immense et cruel carnage. Un cerf lui prédit qu’il tuera ses parents. Pour échapper à cette prédiction il décide de devenir guerrier loin de chez lui. Il obtient en mariage la fille d’un empereur

chapitre l'auteure nous parle de la petite enfance et des jeux adaptés à chacun des enfants de sexe différent. L'éducation des filles et des garçons est très différente et leurs caractères doivent l'être aussi. Le goût que porte une fille sur quelque chose (un jeux par exemple) peut être le même que celui d'un garçon (et inversement) mais on leur interdit. "J'ai entendu un petit garçon d'environ cinq ans qui suivait sa mère au supermarché, insister pendant toute la durée des achats pour avoir un

rencontrer des gens différents, avec des cultures différentes, m'a aussi probablement enrichi. A mon avis, les paroles de mes chansons sont du coup devenues plus profondes. Je pense que chaque jour est une nouvelle aventure. Chaque jour j'apprends quelque chose de nouveau ! Tof : D'où te vient l'inspiration ? Jesse Mc Cartney : J'écris sur ce que je connais, sur mes expériences en ce qui concerne les relations, ou tout simplement la vie, mais j'aime aussi beaucoup écrire à propos de ce que je vois

fonction du théâtre est de divertir les gens. Dès lors, si l’on peut, avec Brecht, réaffirmer cette mission essentielle du théâtre qui est de divertir le public, on peut aussi constater qu’elle n’est pas incompatible avec une autre vocation, plus sérieuse celle-là. On ne peut qu’abonder dans le sens de Brecht lorsqu’il déclare que « l’affaire du théâtre » est de « divertir les gens ». Cette affirmation fait, en outre, entendre en creux la notion très importante de « divertissement » chez Pascal :

et de l’obscénité.  Questions : 1.      Dégagez les grandes étapes du chapitre et montrez qu’elles correspondent aux étapes de l’accouchement. 2.      En quoi peut-on dire que Rabelais célèbre ici les plaisirs du « bas corporel » (M. Bakhtine) ? Trouvez dans l’œuvre les autres passages où ces plaisirs sont pareillement célébrés. 3.      Par quels termes le narrateur qualifie-t-il la naissance de Gargantua ? Est-ce justifié ? 4.      Quels livres sont évoqués dans cet extrait ? Expliquez comment le

n'est pas seulement un sentiment, il est un art aussi." Honoré de Balzac, La recherche de l'absolu.    "Quand on aime pas trop, on aime pas assez." Bussy-Rabutin, Les Maximes d'amour pour les femmes.   "Amour, folie aimable; ambition, sottise sérieuse." Chamfort, Maximes et pensées.   "L'harmonie la plus douce est le son de la voix de celle que l'on aime." Jean de la Bruyère, Les caractères.   "Un court moment passé avec une personne que l'on aime et que l'on ne voit pas souvent, on pourrait

dénudée. Les larmes montèrent aux yeux d’Emilie quand soudain les trois filles les plus populaires du lycée arrivèrent vers elle. Coralie l’une des filles pris la parole : -« Alors comme ça on se photographie nue, je croyais que tu étais une fille sérieuse mais je vois que non ! Tu touches le fond Emilie, tu me déçois beaucoup. » Pendant ce temps-là Mélanie et Alia les deux autres filles étaient là entrain de rigoler bêtement, puis les trois amies partirent. Emilie était en pleure et se précipita dans

est le pouvoir de faire ou de ne pas faire telle ou telle chose comme par exemple aller au magasin ou ne pas y aller. Le libre-arbitre est la capacité de se déterminer ou de ne pas se déterminer en vue de faire une action. C’est être face à plusieurs choix, possibilités et n’en décider, n’en prendre aucune finalement. Pour Descartes, il est ce par quoi la liberté est à comprendre. Si je suis capable de dire oui ou non face à qq. Chose, de choisir ou de ne pas choisir, cela prouve que chez moi il

rhétorique de S * S est véritablement ici la maîtresse du jeu amoureux qui se donne et manœuvre très habilement pour obtenir ce qu'elle désire. Son discours est un modèle rhétorique : * Toutes ses paroles relèvent de la prétérition : dire une chose tout en disant qu'on ne la dit pas (ici, elle avoue son amour en disant qu'elle ne l'avoue pas) * Dans sa tirade (l.7 à 31), elle commence par souligner l'inanité des discours et des sentiments (« vous me le répétez », « que voulez-vous que