Le Plan Schlieffen

prépare elle aussi à la guerre pour défendre les Serbes. L’Allemagne demande un droit de libre passage par la Belgique (plan Schlieffen : guerre éclaire pour prendre la France et ensuite écraser la Russie) mais elle refuse. L’Angleterre s’engage aussi en Guerre suite au non-respect de neutralité de la Belgique. Les allemands subissent une victoire écrasante de la France à Marne. Leur plan a échoué. Ensuite, la bataille des Flandres (les belges empêchent les allemands de passer) mettra fin à la guerre de

  Pour la France  : Une stratégie résolument défensive derrière la ligne Maginot et les obstacles naturels (Meuse, Ardennes) réputés infranchissables A l’invasion des Pays-Bas et de la Belgique , Gamelin croit à une simple réédition du plan Schlieffen de 1914   Pour l’Allemagne : stratégie offensive, fondée sur la mobilité et la rapidité d’unités motorisées (aviation, divisions blindées) pénétration initiale en Belgique et aux Pays-Bas pour attirer le gros des forces adverses attaque ultérieure

dernier se sente étouffé, isolé. Ainsi, on peut dissuader l’ennemi de partir en guerre. **c’est le gouvernement qui dirige la diplomatie. la stratégie –> portrait général de mon état pour pouvoir imaginer les moyens à ma disposition. Composition du plan idéal pour battre l’ennemi. Ce sont les politiciens qui doivent élaborer la stratégie, car ceux-ci connaissent les moyens et les contrôlent. Ils connaissent les enjeux géographiques, les enjeux démographiques, la capacité industrielle. Le problème

Chancelier Impérial (1918) Militaires Erich von Falkenhayn, chef d’état-major 1914-1916 Erich Ludendorff, général Manfred von Richthofen, (1892-1918), pilote de chasse, As Paul von Hindenburg, (1847-1934), général, président Alfred von Schlieffen, (1833-1913), chef d’état-major avant la guerre Otto von Below général Hermann von François général Colmar Freiherr von der Goltz, maréchal

s’affronter dans la réalité : Les allemands suivent un plan de bataille préparé en 1905 par le comte Schlieffen qui avait déjà prévu formellement l’invasion de la France. Ce plan envisageait d’asphyxier la France en procédant à l’invasion foudroyante de la Belgique et du Nord de la France, en mettant le cap sur la capitale tout en encerclant les armées françaises massées (comme toujours) à l’est. Le plan français porte le nom de Plan XVII et prévoit classiquement de concentrer les troupes

Somme et de la Marne, lancés abrutis de sommeil dans des contre-attaques meurtrières pour le gain d’une colline perdue le lendemain et le massacre de divisions entières, pions déplacés sur les cartes d’état-major par d’insensés Nivelle, plan Schlieffen contre plan XVII, tête-à-tête de cervidés enchevêtrés figés dans leurs ramures. Les règles de la guerre, si précieuses à Fontenoy aux ordres du dernier des condottieres, provoquaient dans cette querelle d’arpenteurs des bilans d’abattoir et une esthétique

familles? Doit-on plutôt les rassembler dans des cimetières militaires, là où ils sont tombés? Comment honorer les 650 000 soldats que l'on ne peut identifier ou qui ont disparu? Sans corps, sans certitude, sans rituel, comment faire son deuil? Plan: I Recontextualisation de la guerre à échelle locale II La commémoration d’après-guerre III Un deuil impossible Bleu : Alexandre, Vert : Jean, Sans couleur : Nils I. Recontextualisation de la guerre à échelle locale : Oissel

La guerre de rêve (comme elle l’était imaginée) Tous imaginent une guerre courte offensive et forcément victorieuse, conclue en quelques semaines. France : le plan 17 -> offensive centrale visée le long de la frontière allemande pour reprendre Alsace + Moselle => les soldats seront rentrés pour Noel. Allemagne : plan SCHLIEFFEN 2/3 des forces sur le front allemand ; moins sur le front russe CAR plus longue à mobiliser. Violer le territoire belge. Après la victoire contre la France, se tourner

une hors-d’œuvre pour Hitler, sa vraie guerre éclair, il doit la déchaîner contre la France et la Grande-Bretagne. La 1ere partie du plan élaboré par ses généraux est sans surprise, les troupes allemandes doivent traverser la Belgique avant de bifurquer légèrement pour foncer sur Paris. Ce n'est que la répétition de la stratégie employée par le général Schlieffen dans les 1ere semaines de 1914. Les alliés sont persuadés que c'est la seule stratégie possible, ils y consacrent toutes leurs discussions

sous-estimé les possibilités de l’artillerie lourde et n’a pas préparé la protection des hommes face à des tirs qui vont s’avérer très meurtriers pendant les premières semaines. La stratégie française (plan XVII) prévoit une offensive en Alsace et en Lorraine mais le plan allemand (plan Schlieffen) est fondé sur une manoeuvre rapide d’encerclement passant par la Belgique qui pensait être protégée par sa neutralité affirmée. Les opérations allemandes sont conduites avec rapidité car l’essentiel