Le Poete Doit Il Idéaliser Le Réel

J’entends avec douleur la misère du monde. Elle réduit en poussières les rêves humains Et entraîne vers un monde sans lendemains.   Je refuse, avec tous, misère et exclusion Et me bats pour un monde sans désillusions. L’injustice aujourd’hui doit être condamnée,   Pour permettre à nos âmes de s’améliorer, Et définitivement bannir de nos cœurs, La vile honte qu’engendre le déshonneur.                                                                            Basile                                                           

il s’agit d’une personification. -“Une vallée murmure entre les peupliers” Il s’agit d’une personification. I. Le sens du poème Dans ce poème ce n’est pas une question de message,c’est plus une question de vision personelle de l’auteur. Le poète trouve dans l’arrêt une forme de bonheur momentané, ou il peut se ressourcer et penser librement. J. La vision du monde Que l'homme trouve son inspiration plus facilement dans la nature meme que dans un monde superficiel. K. Avis personnel

Dès lors, son dégoût du monde contemporain et un «spleen» profond (aggravé par l’angoisse morbide de l’impuissance créatrice et l’obsession de la vieillesse puis de la mort : «C’est la mort qui console, hélas, et qui fait vivre...») poussèrent le poète à rechercher l’évasion sous toutes ses formes, affichant «la supériorité aristocratique de son esprit» par un dandysme délibéré ou une consommation d’excitants et de drogues. Il fit, sous la signature Baudelaire-Dufays, paraître son premier ouvrage

comédie à y jouer. Mais cette idée est réfutée par de nombreux passages de l'extrait. b) Les mensonges des clients. « le député, qui avait rabattu son chapeau sur ses yeux, relevé son col (…) croyait cacher son visage » → n'assume pas ses goûts. Doit rester secret pour les gens du milieu mondain. « le prince de Foix (…). Passant, chez sa femme, pour vivre beaucoup au cercle, en réalité il passait des heures chez Jupien à bavarder, à raconter des histoires du monde devant des voyous. » → la réalité

proposent-elles ? La muse vénale Problématique : - quelles représentations allégoriques de la Muse ce poème propose-t-il ? - Pourquoi peut-on dire que ce poème est entre tradition et modernité ? Introduction : - Baudelaire est un poète de la modernité - Les fleurs du Mal : projet poétique  antithèse, c’est-à-dire qu’il extrait la beauté du mal - Section « spleen et idéal »  spleen = rate =mélancolie 8ième poème de la section, fonctionne avec la muse malade = représentation

à euxmêmes en utilisant le pronom you. Dans une autobiographie fictive, comme Great Expectations ou Robinson Crusoe, le pacte n’a pas lieu d’être car le narrateur/personnage n’est pas l’auteur. On pourra s’intéresser aux moyens de créer un effet de réel ou à la construction de l’identité du personnage, qui passe notamment par le choix de son nom, porteur de sens et parfois même de l’essence du moi : ‘What’s in a name?’. La littérature américaine est riche de récits autobiographiques qui entretiennent

pure, I, 1ère division, 1ère section, § 25 La perception de cette table est, avant comme après, perception de cette table. Ainsi, tout état de conscience en général est, en lui-même, conscience de quelque chose, quoi qu’il en soit de l’existence réelle de cet objet […]. Par conséquent, il faudra élargir le contenu de l’ego cogito transcendantal, lui ajouter un élément nouveau et dire que tout cogito ou encore tout état de conscience « vise » quelque chose, et qu’il porte en lui-même, en tant que

comme universelle et dépassant ainsi les particularismes individuels, pour exister au monde. Mme de Staël (1766-1817) et Lamartine (1790-1869) par exemple en ont démontré la recherche de l'infini dans chaque émotion humaine. On remarquera que le poète romantique a toujours un rapport particulier avec la nature. Jadis expression d'un ordre supérieur ou divin, elle est magnifiée en tant que miroir des passions humaines indomptables, seulement soumises à leurs propres nécessités, et prend une importance

formé par une vie vertueuse aura une vieillesse heureuse car, délivré des passions qui troublent son âme, il pourra se livrer aux plaisirs de l’esprit. Mais Platon dans sa défense des vieillards propose un idéal, il ne part pas de la description du réel. Au contraire, pour Aristote, la vieillesse n’est une garantie ni de sagesse ni de capacité politique. L’homme décline après 50 ans et Aristote charge les vieux de tous les maux du point de vue moral. Dans la société et dans les institutions grecques

romantique mais comptant déjà des traits symboliques (Expression lyrique des sentiments, goût des extrêmes ; Symbolisme : fin 19ème siècle, association de symboles) publié à la fin des nouvelles " Les Filles du Feu " dont il est le prolongement. Le poète est en effet toujours hanté par ses amours perdus, par les mythes et les légendes et par une interminable quête de lui-même à la recherche de la miséricorde. Lecture Je suis le ténébreux, - le veuf, - l'inconsolé, Le prince d'Aquitaine à la tour