Le Pouvoir Légal Peut Il ètre Illégitime

Pour l’opinion commune, l’autorité est le pouvoir de prendre des décisions, de commander et de dominer. Elle se caractérise par sa puissance qui lui permet de se faire obéir, respecter et d’imposer sa confiance. Face à un tel pouvoir marqué par une supériorité tant au niveau de la force que de la légitimité, peut-on lutter contre l’Autorité? Le verbe « lutter » semble porter d’abord une dimension de difficulté qui conduit à nous demander si nous avons la possibilité, c’est-à-dire les moyens, de lutter

juridiques), elle élude donc une partie de la nature du droit du travail). Elle est un peu trop simple pour encadrer les réalités du droit du travail contemporain. Le droit du travail en France est du Droit, mais pas uniquement. DONC : l’aspect juridique ne peut pas nier l’aspect rapport de force. • « Le droit du travail est l’exploitation de l’homme par l’homme, la lutte contre cette exploitation et le résultat de cette lutte. » – Gérard LYON-CAEN (D’influence Marxiste, il a été le professeur de Mr

Le droit peut-il alors constituer un fondement plus objectif et plus légitime de la justice ? Si par droit on entend d’abord le droit positif, institué par les hommes dans un Etat particulier, alors on peut s’interroger : une loi positive est-elle toujours juste ? La justice légale (conforme au droit positif, à la loi positive) est-elle toujours légitime ? Dès lors, ne faut-il pas s’en remettre au droit naturel pour fonder une justice véritable ? Plus précisément, le droit naturel ne peut-il pas servir

Adèle Cluzel À l’heure de Facebook et d’Instagram, des réseaux sociaux où chacun se met à nu et est encouragé à se dévoiler, à l’époque de WikiLeaks, des théories du complot et de la transparence, avoir des secrets paraît désuet voire suspect. Peut-on encore en avoir ? Quelle est la légitimité de la pratique du secret dans une société démocratique, qu’elle soit du fait de l’État, ou des citoyens eux-mêmes ? 1) La pratique du secret semble incompatible avec la démocratie, qui exige la transparence

positif, droit institué, ne nous reconnaît pas ? Peut-on opposer le droit positif à certaines libertés fondamentales ? L’État est-il là pour garantir la liberté religieuse ou pour la définir ?   Certaines libertés fondamentales ont été supprimé pendant le confinement.  Conception autoritariste (État source du droit) // théorie libérale (droit existe indépendamment de leur reconnaissance par l’État ⇒ droit naturel = DDHC)  un droit : un pouvoir de faire ou de ne pas faire, la possibilité de juridique

dans une société organisé définit par l’Etat. - Sanctionné, que l’on va donc utiliser la force pour appliquer ses règles, le droit s’appuie sur la force - Des procédures préétablies, fondamental pour le droit, c’est-à-dire que un texte écrit doit être et établit ou adopté pour agir en sanction. Cela conditionne la sécurité juridique de l’individu. Cette définition permet de distingué d’autres domaines proche du droit comme la morale, les règles sociales ou la politique. Alors "Pourquoi devrait-on

aspirations » (Éléments de théorie et de méthode sociologique, p.168). - les moyens : qui correspondent à l’ensemble des procédés acceptables pour atteindre ces objectifs. Dans son ouvrage, Merton insiste sur le fait que ces moyens peuvent être légitimes ou illégitimes : « certains types de comportements sont nettement prescrits, d’autres préférés, d’autres tolérés et d’autres proscrits » (p.169). La structure sociale se compose donc de deux niveaux : - un niveau microscopique : on s’intéresse aux

séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution.» -> mise en place du pvoir judiciaire càd pvoir de rendre la justice, et possède les moyens de contraindre les individus à faire leurs devoirs en respectant la loi. [Droit : * Ensemble des lois et des coutumes qui régissent chaque peuple. * Faculté, autorisation de faire ou de ne pas faire une chose Punir : * Sanctionner en infligeant une peine. * Infliger cette peine. => Le droit de punir peut être défini comme

C. La justice a) légal et légitime 1ère définition de la justice = rendre à chacun son dû. C’est le principe de la justice réparatrice. Ex. : une infraction a été commise (un vol), celui qui a volé, reconnu coupable, devra réparation envers la victime : lui rendre le bien qu’il lui a pris, avec les intérêts. Fondamentalement, la justice n’est pas punitive (il faut punir le coupable) mais réparatrice : le coupable doit réparer sa faute. Ex. peine de mort qui s’appuie sur la justice punitive. Or

INTRODUCTION Le droit est présent de manière quotidienne dans la vie des citoyens : tout conducteur doit respecter le code de la route - dans le cadre de l’entreprise, salariés et employeurs appliquent quotidiennement le code du travail : respect de la durée légale du travail, présence d’un règlement intérieur… - pour se marier, pour divorcer, pour hériter…, chaque individu doit se conformer aux règles. Le droit se présente donc comme un ensemble de règles qui organisent la vie en société. L’homme ne vit pas