Le Prince Spirituel

machiavélisme avait été la pensée politique du siècle précédent, les politiques baroques se réclament bien davantage de l’héritage d’Érasme (le codicille d’or). Le prince est au service de son peuple dont il est l’époux mystique et donc le chef, il représente le Christ comme corps séculier de celui-ci, alors que le pape le représente comme corps spirituel. Comme le Christ, le roi possède une double nature, humaine et divine, ce qui est divin en lui c’est la souveraineté, elle est immortelle, ce qu’exprime le

sources orientales et occidentales du mysticisme (le mysticisme est ce qui a trait aux mystères, aux choses cachées ou secrètes. Le terme relève principalement du domaine religieux, et sert à qualifier ou à désigner ce qui relève d'expériences spirituelles) et présente sous une forme poétique questions et réponses sur les thèmes les plus divers posées à un sage qui s’apprête à quitter la ville d’Orphalese où il habitait. Le genre littéraire adopté rappelle Ainsi parlait Zarathoustra de Nietzsche

aviateur, reporter français Enfance heureuse malgrè la mort de son père (riche), BAC en 1917, beaux-arts, architecture Pilote en 1921, reportages autour du monde 1940, New York, « Petit Prince » « vol de nuit » 1931 Mort en 1944 photo débarquement 14ème Dalaïlama (Tenzing Gyatio) : 1935 – Chef spirituel du bouddhisme tibétain + gouv en exil (1959 – 2011) Prix Nobel de la paix en 1989 Voltaire (François-Marie Arouet) : 1694-1778 ; philosophe, écrivain français Déiste ; Lumières ; « Candide »

l'éclairage au gaz, miracles inconnus aux Romains, et que ces découvertes témoignent pleinement de notre supériorité sur les anciens; tant il s'est fait de ténèbres dans ce malheureux cerveau et tant les choses de l'ordre matériel et de l'ordre spirituel s'y sont si bizarrement confondues ! Le pauvre homme est tellement américanisé par ses philosophes zoocrates et industriels qu'il a perdu la notion des différences qui caractérisent les phénomènes du monde physique et du monde moral, du naturel et

contre « la serve Italie », mal gouvernée, déchirée par les égoïsmes, les haines, les intérêts matériels, contre l'empire et contre la papauté. Chant VII Les voyageurs arrivent dans la vallée des princes négligents, que le souci de leur puissance ou de leur gloire a détournés de la voie spirituelle et qui demandent que les autres prient pour eux. Parmi eux : l'empereur Rodolphe de Habsbourg, les rois Ottokar de Bohème, Philippe III le Hardi de France, Henri Ier de Navarre, Charles Ier de Naples

se retire dans son domaine d'Albergaccio où il écrit « Le Prince » et « Discours sur la première décade de Tite-Live. Le Prince (1513) est un traité composé de 25 chapitres, la « dédicace » et « l'exhortation » sont adressé à Lorenzo Piero de Medici. Dans le but de maintenir la principauté. Il dégage les règles propres de la politique, qui devient une discipline autonome, avec des principes et des mécanismes propres. Il démontre au Prince qu'il doit pouvoir promouvoir de « bonnes lois » et de « bonnes

ne peut faire celui qui est sujet aux lois ou à ceux qui ont commandement sur lui. C’est pourquoi la loi dit que le prince est absous de la puissance des lois et ce mot de loi emporte aussi en latin le commandement de celui qui a la souveraineté […]. Aussi voyons-nous à la fin des édits et ordonnances ces mots : « Car tel est notre plaisir «, pour faire entendre que les lois du prince souverain, ores qu’elles fussent fondées en bonnes et vives raisons, néanmoins qu’elles ne dépendent que de sa pure

SOCIO-HISTORIQUE DE PRODUCTION 1) contexte social Tout commence par une farce. Une farce grand-guignolesque tropicale dans l'Afrique coloniale, celle des travaux forcés et des nègres aux ancêtres gaulois. Le vieux Mélédouman, prince de Béttié, est arrêté. Il est arrêté à son modeste domicile, arrestation burlesque perpétrée par le commandant Lapine et son adjoint simiesque, pour un motif inconnu, et la comédie se mue en une tragi-comédie kafkaïenne lorsque Mélédouman est mis

(synecdoque). Le choix de l'animal n'est pas fait par hasard : le symbolisme des ailes et de l'envol est important. Dans de nombreuses croyances, les ailes sont ce qui permet de s'élever vers la vie spirituelle : les anges, les saints, ont des ailes. Colombe de la paix etc. Motif présent dans de nombreuses religions. L'âme est censée s'envoler du corps. Et puis surtout, c'est ce qui permet de s'arracher à la bassesse de la vie sociale

phénomène fut attesté du Xe au XVe siècles. L’église Romaine et l’église Grecque l’analysèrent comme une hérésie chrétienne. HERESIE vient du mot grec HAIRESIS qui définit une notion de choix. PEUT-ON LE DEFINIR COMME LE LIBRE CHOIX DE SON ITINERAIRE SPIRITUEL ? Au moyen-âge, l’héretique chretien déviant ou pervéti est différent de l’infidèle, qui lui ignore tout du christianisme. les témoins médiévaux même les plus hostiles ne nièrent jamais le caractère chrétien de l’hérétique chrétien. Un infidèle