Le Procede Romanesque

Meersch, un autre de Jules Verne, et le dernier de Alexandre Dumas, ont chacun leur propre genre romanesque. C'est donc tout au long de cette analyse que nous allons argumenter et tenter de d'expliquer les 5 sous-genres romanesques présents ici. Les passages étudiés sont tous les incipits du roman associé, cela va donc nous permettre de mieux les analyser. Rappelons que les principaux genres romanesques sont: le policier, le roman d'aventure, historique, réaliste … Pour le cas du récit de Jules Verne

tenté, à partir de 1920, de substituer à l’exotisme romantique des colonialistes une vision plus vraie de l’Afrique. En effet, l’Afrique n’a pas attendu l’accession à l’indépendance de la plupart de ses Etats, pour témoigner de sa problématique romanesque. Le roman négro africain, malgré son développement tardif s’est révélé au début du XXe siècle. D’abord, c’est un instituteur Amadou Duguay Clédor Ndiaye, qui produit dès 1912 le premier texte : La bataille de Guilé. C’est un texte qui traite de

qui projette en eux ses désirs, ses rêves et ses angoisses. Les personnages sont de créatures fictives, des « êtres de papier » créés par les romanciers qui font croire à leur existence réelle en les caractérisant et en les faisant vivre par divers procédés. Des le XVII siècle, les portraits des personnages peuvent subir plusieurs modification selon les problèmes de l’époque ou du milieu social par exemple dans le portrait de La Princesse de Clèves 1678 de Mme de La Fayette qui représente les difficultés

artistique pour l'écriture de Nadja, en 1928 Problématique+Plan. Problématiques envisageables : En quoi peut-on dire de cette rencontre qu'elle est romanesque? En quoi les personnages de Breton et de Nadja peuvent-ils être assimilés à des anti-héros? Comment ce récit fait-il surgir le merveilleux de labanalité quotidienne? Analyse et procédés : C'est une rencontre banale à la fois extraordinaire. Rencontre banale → Contexte banale/ Codes traditionnels; Champ lexicale du regard; Répetition

négative, oblique, indirecte du roman, mais on notera la formulation extrêmement prudente de l’auteur (« vous commencez d’approcher du roman »), qui suggère l’impossibilité de parvenir à une définition assurée, pleinement satisfaisante du genre romanesque. On observera les antithèses opposant les adverbes temporels (« toujours » /  « parfois ») et les adjectifs indéfinis (« tous » / « quelques »). A l’inverse des autres genres, qui visent l’un, l’absolu, l’universel, le roman est du côté du relatif

inventé ». En vous appuyant sur vos lectures vous vous demanderez si tout est inventé dans le roman. Au XIXe siècle naît un courant littéraire particulier : le réalisme. Les auteurs de ce mouvement souhaitent rompre avec une certaine tradition romanesque dans laquelle les héros ne montrent aucune de leur faiblesse et vivent dans un monde idéalisé. Balzac, Stendhal, Flaubert ou Zola veulent désormais montrer le monde tel qu’il est, sans rien occulter de sa misère, de sa médiocrité. Ils ont pour but

. Présentation, court résumé de l’œuvre 1III . Le Personnage 2IV . En quoi l’animal devient-il un personnage ? 2A . Un personnage par procédés littéraires 3B . Un personnage par ses relations 3C . Conclusion 4 Présentation De L’Auteur Nous allons vous présenter un extrait du roman Le lion paru

laquelle il n’y a aucune prise. 2- Une narration énigmatique  1. La remise en cause des codes romanesques traditionnels : L’incipit fixe toujours une sorte de « protocole de lecture » pour la suite d’un roman. Dans le roman « réaliste », classique, un décor est planté, les personnages y sont introduits dans une certaine atmosphère. Or ici le lecteur est coupé des codes romanesques traditionnels : - On entre directement dans le roman, sans « introduction » : il s’agit d’un début « in

Synthèse sur le personnage romanesque Le personnage de roman est né au XIXeme siècle. Ce n'est plus un personnage héroïque mais il est plus proche du lecteur. C'est un personnage à qui on donne un caractère par différents procédés, et qu'on intègre à la narration. Il peut être narrateur ou destinataire du récit. Au XIXeme siècle, les auteurs sont objectifs, et utilisent donc un récit historique. Le personnage est entouré de relations d'affinités ou d'oppositions. Il fait parti du schéma

jugement d’une quatrième (= Pâris) => réécriture de l’épisode de la pomme d’or. Résumé du procédé stylistique de réécriture : Pâris = Orithie (ou Céladon déguisé) Astrée = Vénus/Aphrodite Stella et Malthée = Athéna/Minerve et Héra/Funon 2. -Réécriture fantaisiste d’une mythologie grecque connue : lecteur voit un jeu littéraire => EFFET DE RÉEL créé par la narration impossible. -Invraisemblance dans le procédé romanesque dans le déguisement : voix et apparence de Céladon (qu’elle connaît depuis la veille