Le Père Goriot Une Vision Pessimiste

(1956) 68 3 *Colombine (Paul Verlaine) (1956) 72 3 82 Le testament (1956)n 74 3 86 Les croquants (1956)n 76 4 90 Je me suis fait tout petit (1956)n 79 4 114 Les philistins (Jean Richepin) (1957)n 80 4 *102 Au bois de mon coeur (1957) 81 4 *104 Grand-père (1957) 84 4 *110 Celui qui a mal tourné (1957) 86 4 112 Le vin (1957)n 88 4 *92 L'amandier (1957) 89 4 *94 Oncle Archibald (1957) 92 4 98 La marche nuptiale (1957)n 94 4 100 Les lilas (1957)n 96 5 118 Le vieux Léon (1958)n 100 5 *120 La ronde des jurons

renommée pour les prunes ; chez la mère Baquet, qui vendait du vin d’Orléans à huit sous ; au Papillon, le rendez-vous de messieurs les cochers, des gens difficiles. Enfin, en bas de la rue, ils découvrirent Coupeau et Poisson dans l’assommoir du père Colombe. D’après Émile Zola, L’Assommoir, 1877. 14 Copiez les phrases en remplaçant les sigles et les mots abrégés en gras par leur signification d’origine. 1 À la télévision, les films sont souvent coupés par des publicités ; nous n’en sommes

Pourtant celui-ci voque a demi-mot le dgot et la lassitude du blas. Candide ressort pourtant de cet entretien avec limpression que le seigneur Pococurante est le plus heureux de tous les hommes, car affranchi des biens matriels. Martin, lui, est plus pessimiste, il estime que ce seigneur est cur de tout ce quil possde. Au milieu dun souper de carnaval, alors que Candide dne avec six malheureux anciens rois qui ont perdu leur royaume, il retrouve Cacambo qui est devenu esclave. Il lui apprend que Cungonde

for self-examination and reflection which go beyond the escapist label which is hung around their necks. Perhaps the ultimate test of what literature is derives from the capacity of a text to surprise us by communicating a sense of a unique, personal vision which we somehow recognize as authentic. Or as Ezra Pound neatly put it: ‘Literature is news that stays news.’ But if there are, in this sense, as many books as there are readers, there are also different readerships, distinct by age, class, background

simplicity, the faithful devotion of his different types are recorded with unsparing frankness, and without the slightest attempt to point a moral. Such portraits as those of the adopted son in Aux Champs, of the supplanted child in Le Pere Amable, of Hautdt Pere et Fits, stick closely to the memory. The story of the Fille de Ferme is not unworthy of Turgenev. Such studies of manners as Farce Normande, Le BapUme, and the very characteristic La Martine speak for themselves with their spacious