Le Racisme Selon Montesquieu

------------------------------------------------- DEVOIR DE FRANCAIS Le racisme est une misérable machine de mots pour justifier notre hétérophobie et en tirer profit. Le racisme est un système de croyances et de théories fondées sur un préjugé selon lequel il existerait des races dans l’espèce humaine d’une hiérarchie entre elles. Ce qui justifierait des rapports de domination entre ces races et des comportements de rejet et/ou d’agression. Alors, le racisme serait-il la conséquence de notre hétérophobie et n’en

l’avenir Esprit d’examen (éclairé par la raison) Dénonciation de l’injustice, de l’intolérance et du fanatisme (religieux) Esprit de découverte, d’observation Plus grande ouverture d’esprit Lutte contre le racisme et l’esclavage But à atteindre : Quête unique du bonheur (idée neuve guidée par la morale du plaisir) Mot d’ordre : Raison (« Les lumières de la Raison ») =) Définition : Capacité naturelle dont l’homme doit se servir pour

Albert Memmi, décrit les caractéristiques fondamentales du racisme dans un essai philosophique du même titre en 1982. Il explique que cette notion est un nuancier, en effet constater une différence n’est pas discriminant puisque ce sont ces particularismes qui constituent l’identité individuelle de chaque homme et qui en font sa richesse. Pour se démarquer, s’affirmer et devenir un homme à part entière autonome et nature, il fonctionne selon des préférences. Mais « préférer » ne signifie pas « rejeter »

les homme de couleur foncer. Cette lute que les noir devait subir chaque jours pour servir l’Europe était selon Charles-Louis une discrimination sans justice valable. l’esclavagisme envers les nègres ainsi que le racisme est présenter toute au long du texte d’une façon plutôt provocatrice envers le VXIIIe siècle. Tout d’abord, Charles-Louis de Secondat, baron de Montesquieu, est reconnue comme étant un des grands écrivains-philosophes du XVIIIe siècle. Ce grands écrivains démontre

1) Biographie de Montesquieu : Philosophe et penseur politique français 1689 - 1755 -Montesquieu est né en 1689, dans une famille de magistrats au château de la Brède près de Bordeaux. Ses parents ont choisi un mendiant pour être son parrain pour que toute sa vie il se souvienne que les pauvres sont ses frères. Après ses études de droit, il devient conseiller auprès du parlement de Bordeaux en 1714 et en 1716, il hérite de la fortune de son oncle. Montesquieu s'intéresse au monde

finalement ont le même but à savoir adorer une divinité. Il crée alors une prière et un appel à la fraternité universelle.   Dans la lettre vingt-neuf des Lettres Persanes, Montesquieu dénonce l’inutilité du pape qui était autrefois craint et estimé. Selon lui, il est maintenant respecté par habitude. Tout comme Voltaire, Montesquieu dénonce le trop plein de pouvoir du pape au niveau politique. De plus, il accuse les évêques de ne pas être fidèles à la Bible en multipliant les règles religieuses qu’ils

De l’esprit des lois, de Montesquieu, est une réflexion historique et politique, dont le propos vise à montrer que les lois ne sont pas arbitraires, mais qu’elles sont dues à différents facteurs (climat, géographie, etc.). Cet ouvrage remet aussi en cause différentes formes d’asservissement ; parmi elles, l’esclavage des noirs, dans le texte intitulé De l’esclavage des nègres. Plutôt que de dénoncer directement cette pratique barbare, l’auteur prend le parti de provoquer une réflexion chez le lecteur

(XVIIIe) , il a écrit plusieurs livres parmi lesquelles on compte « De l’esprit des Lois » et « Les Lettres Persanes » qui s’inscrivent dans l’esprit des lois. Dans cette extrait , l’auteur s’attaque aux partisans de l’esclavage. De quelle manière Montesquieu discrédite -il les partisans de l'esclavage ?Dans cette extrait "de l'esprit des lois", nous pouvons distinguer deux mouvements . Tout d'abord, un faux plaidoyer pour l'esclavage , puis un véritable réquisitoire contre l'eslcavage. 1.Un faux plaidoyer

issus du XVIIIe siècle : le siècle des «  Lumières ». Le premier texte est tiré du Supplément au voyage de Bougainville, de Diderot, le second texte est tiré de Candide, de Voltaire, le troisième texte est une lettre tirée de Lettres Persanes, de Montesquieu et le dernier texte est un article de L'Encyclopédie écrit par Jaucourt. Nous allons montrer que ces quatre textes ont le même objectif mais qu'ils l'atteignent par des voies différentes. Tout d'abord, on voit que ces textes évoquent tous le

pensée » FINKIELKRAUT 1989 A la fin du XXème siècle, la question de la tolérance se pose encore main Alain Finkielkraut apporte sur cette dernière, dans ce passage de son essai sur la défaite de la pensée, édité en 1989, un éclairage très nouveau. Selon le philosophe, s’il est nécessaire de savoir prendre du recul par rapport à sa propre culture pour pouvoir la juger objectivement et en rejeter les travers permettant de porter un regard humaniste et tolérant sur les autres cultures, il ne s’agit