Le Rapport De Beveridge

- Droit aux prestations fonctions fonction des cotisations est proportionnalité de celles-ci au salaire. - Répartition du financement entre les assurés, les employeurs et l’Etat. 2- Le système Bevridgien : Beveridge, économiste anglais est l’auteur d’un rapport sur la sécurité sociale en 1941 son plan s’inscrivait dans une politique d’ensemble a dominante économique (inspirée des idées keynésienne) visant à éliminer la pauvreté. Le principe du système était de couvrir tous les citoyens

“l’instrument de la bourgeoisie”) ≠ prolétaires ont une conscience de classe ( solidarité. - Fin XIX° : Marx démenti ( Etat donne des droits aux ouvriers : 1864 : droit de grève 1884 : syndicats Assurance (Bismark, fin XIX°) + assistance (Beveridge, 1945) Marx prévoyait la polarisation de la société. Le XX° aura au contraire vu l’apparition d’une vaste classe moyenne. 2) Les grands conflits du XX° : - Classe ouvrière était très ORGANISEE (syndicats) ( lutte contre

(juin 1945) c. Banques : Banque de France, Crédit lyonnais, Société générale (décembre 1945) d. EDF-GDF (avril 1946) 2. La planification : Jean MONNET 3. Le programme social (inspiré par le rapport britannique de BEVERIDGE) : création de la Sécurité sociale (ordonnance du 4 octobre 1945) a. Vers un système unique b. Cotisations proportionnelles aux salaires ( Vers la mise en place progressive d’un Etat-providence

est instaure « Welfare State » par Beveridge (Démocrates chrétiens : humanisme chrétien ( centre politique / droite) Ex : Mouvmnt Républicains Populaire en Italie et en All ils vont dominer ( Italie : D.C All : CDU) 2) Une nouvelle organisation internationale Conférence Bretton Woods . Le $ seule monnaie convertible en or - 60% des stocks d’or mondial au USA - $ 1er monnaie international ex : baril de pétrole en $ . Parité fixe par rapport au $ Deux institutions sont crées

pauvres) ; transferts des caisses en expansion vers celles en déclin (industries régressives, agriculture) submergées par les retraités (cinq retraités par actif agricole). Le système beveridgien est basé sur la solidarité nationale: William Beveridge dans son rapport de 1944 (Fuit employment in a free society), assigne à l'État la mission de garantir contre les quatre grands risques sociaux (maladie, famille, vieillesse, chômage) liés à l'instabilité naturelle du marché, l'efficacité est ici obtenue

-l’ unité de la sécurité sociale -la généralisation quant aux personnes -l’ extension des risques couverts (sous la double influence du rapport BEVERIDGE de 1942 et du système BISMARCKIEN) Elle a été mise en place en 1945 à 1946. II) Les objectifs de la redistribution * La redistribution Horizontale et Verticale des revenus Lors de la redistribution, des inégalités apparaissent

consacrée aux dépenses sociales était infime (autour de 5%), en 1979 elles représentent 29% du PIB. C’est alors que les pays ravagés par la guerre connaissent des taux de croissance historiquement élevés de l’ordre de 5% par an. C’est ici que le rapport de Beveridge, économiste anglais, prend tout son sens puisqu’il affirmait que la politique sociale devait garantir la vie des citoyens. Or, ce sont les années d’après guerre, où l’on décrète notamment en Angleterre puis en France, que les plus grandes avancées

risque d’accidents du travail... Mais ce système exclu les chômeurs, les familles monoparentales… Ce système est suivi du système Beveridgien, du nom de William Beveridge qui remit un rapport sur la protection sociale à W. Churchill en 1942. Selon lui, les individus doivent être pris en charge « du berceau a la tombe ». Dans ce rapport, l’Etat doit prévenir contre les risques chômage, vieillesse, maladie et ignorance. Contrairement au système bismarckien, ce système prend en charge tout les individus

→ Difficulté à pratiquer la justice, à mesurer la responsabilité des hommes dans le contexte. Les procès ne soldent pas le passé. Les populations aspirent à la protection Exigence par rapport aux Etats-Unis d'une protection contre tous les risques de la vie. 1942 : Rapport BEVERIDGE constate la fragilité des populations et la misère de certains, et affirme que c'est à l'Etat de l'empêcher → responsabilité de l'Etat (WELFARE STATE ; ETAT PROVIDENCE = nouveaux droits à la population

L’Organisation internationale du Travail (OIT) est l’héritière de ces travaux, qu’elle prolonge et intègre durant l’entre-deux guerres, période troublée de grands changements où s’élabore lentement un nouveau mode de relations entre partenaires sociaux : les rapports de force socioéconomiques issus de la guerre et de la grande crise aboutissent à un compromis entre un État plus interventionniste, les syndicats et la grande entreprise appliquant la rationalisation du travail. C’est l’ébauche de la « régulation