Le Rapport De Brodeck

Dans le roman Le rapport de Brodeck (2007) de Phillipe Claudel, Brodeck avait été désigné par les gens du village pour être déporté dans un camp de concentration afin d’acheter la tranquillité avec l’occupant, tandis que sa femme Emélia, essayant de défendre 3 jeunes filles que les notables du village voulaient livrer, est violée et perd la raison. De retour au village parmi les habitants médusés et gênés, il est chargé de rédiger un rapport sur la mort d'un étranger, der

la méfiance à cause de sa curiosité (p. 111-112) et du carnet noir (p. 194) qu’il l’accompagne toujours et dans lequel il dessine et écrit : en effet, les villageois pensent qu’il y écrit « ce qu’on est et ce qu’on a fait naguère pour pouvoir le rapporter là d’où il vient »p. 130 si bien que les villageois en ont peur. L’exposition des dessins sera le point culminant de la peur des villageois : ces dessins « révélaient des vérités qu’on avait étouffées » p. 326. Les paroles de l’Anderer ne peuvent

société et des femmes qui est prêt a tout pour parvenir à ses fins. L'écrivain donne aussi à son personnage une part d'anti-héros pour que le lecteur s'y identifie et s'y attache donc plus facilement. Lorsque l'on apprend dans Le Rapport de Brodeck de Philippe Claudel que Brodeck a laisser mourir une jeune femme et son enfant dans un train pour se sauver lui même, on voit qu'il peut devenir un être sans cœur. Cette faiblesse humaine, bien que cruelle, identifie le lecteur au personnage. L'auteur s'inspire

jouets' et 'La Petite Fille de monsieur Linh' en 2005. Ponctuel, il revient l'année suivante avec 'Le Monde sans les enfants', dans lequel il aborde les tabous de notre société, dont la maltraitance, la guerre ou la mort. En 2007 sort 'Le Rapport de Brodeck', dans la lignée de son maître Jean Giono. En 2008, il réalise son premier film 'Il y a longtemps que je t'aime' avec Kristin Scott Thomas et Elsa Zylberstein. Par ses romans, l'auteur nous emmène dans un univers imperceptible néanmoins

lecteur indifférent ''. Donc, parce qu'ils suscitent notre empathie, nous nous projetons dans les personnages de romans. Le récit de la vie dans les camps de concentration par Philippe Claudel dans son roman Le Rapport de Brodeck nous fait ressentir de la pitié pour le narrateur, Brodeck. Vipère au Poing provoque la sympathie du lecteur envers Jean et Ferdinand victimes de leur mère indigne et cruelle. Nous compatissons de leur souffrance en nous identifiant dans ces deux adolescents. Colin, personnage

affaire à un cercle vicieux où les cochons prennent des caractéristiques humains comme le gout pour l’argent, le commerce et l’alcool. Vous avez lu Le Rapport de Brodeck de P.Claudel. Pensez-vous que votre œuvre peut s’en rapprocher ? Alexandre : Ecoutez, la présence d’animaux chez Claudel met en évidence une forme de récit fabuleux, de plus, Brodeck est confronté à une enquête, c’est un peu une sorte d’aventure tout comme les animaux dans la Ferme si on ne part d’aucun point historique. Néanmoins

lecteurs grâce aux personnages fictifs. Ainsi nous nous demanderons qu’est-ce que distingue le personnage principal d’un roman d’un véritable individu. Pour y répondre, il sera nécessaire tout d’abord d’étudier les particularités du héros romanesque par rapport à la personne réelle. Ensuite nous analyserons les héros « presque de chair ». Dans un dernier temps, il sera alors possible de mettre en lumière le travail effectué par le romancier. Tout d’abord, nous allons voir les caractéristiques du héros de

trousseaux (2002). Ses succès littéraires lui permettent de se consacrer exclusivement à l’écriture et au cinéma. Son roman le plus connu, Les Âmes grises (2003), a obtenu le prix Renaudot et a été adapté au cinéma par Yve Angelo (2005). Le Rapport de Brodeck (2007) est son dernier grand roman. Résumé de l’œuvre : Ce roman se déroule durant la Première Guerre Mondiale dans une petite ville du Nord-est de la France. Un village épargné par les combats, la ligne de front se situant à quelques kilomètres

Le rapport de Brodeck Chronologie [pic] Le narrateur a écrit le livre avec « je » pour nous mettre dans la peau du personnage et il l’a écrit au passé parce qu’il raconte chaque fois se qu’il s’est passé avant, il fait des retours en arrière. Quand l’Anderrer arrive au village, il arrive avec une de ces grandes lenteurs, qu’il fait peur aux peuples. Quand il va chez Orschwir, il nous compare avec les 3 stades de la vie entre l’animalité et l’humanité. L’âge de la vie : Le premier

libertinage. De cela nous pouvons affirmer que le roman est le regard de l’auteur sur son époque. Dans son ouvrage, le romancier désirera également à nous faire part de ses convictions, parfois même de ses rêves. Nous pouvons de cela aborder Le rapport de Brodeck, ouvrage rédigé par Philippe Claudel, où ce dernier nous fait part de sa vision pessimiste de l’humanité, de ses perfidies. Il met donc en avant la capacité de l’Homme à faire souffrir son prochain et de l’imagination débordante qu’il peut avoir