Le Refus De Soins

concernant le refus de Monsieur F : Monsieur F est hospitalisé en service de médecine suite à la découverte de sa séropositivité VIH dans un contexte de pneumocystose. Il refuse sa trithérapie. D’après la description de sa situation, on peut penser qu'il vit en isolement social (solitude, humeur taciturne..etc), mais ce n'est pas le cas, il s'agit plus d'un mode de vie voulu et choisi par Monsieur F (rustique, animiste..). Monsieur F a un comportant indiquant clairement qu'il refuse le traitement

En raison des progrès accomplis dans le domaine médical, il est désormais possible de prolonger la vie et de retarder la mort. Aujourd’hui, on insiste sur les distinctions conceptuelles qui existent entre l’euthanasie, le suicide et le refus de traitement; autrefois, de telles distinctions n’existaient pas et l’euthanasie était généralement synonyme de suicide. Nous pouvons donc nous demander en quoi de nos jours la fin de vie peut elle être un enjeu politique, social et théologique? Pour cela

lui a été prescrite et mise à sa disposition par un médecin ; - l’euthanasie indirecte, correspond à l’administration d’antalgiques dont la conséquence seconde et non recherchée est la mort ; - l’euthanasie passive, dernière forme, consiste à refuser ou arrêter un traitement nécessaire au maintien de la vie. Néanmoins, la majorité des gens soutiennent que l'abstention ou l'interruption de traitement de survie constitue un acte fondamentalement distinct de l'euthanasie parce que, selon eux,

légale en Belgique, et la décision prise par un patient s'applique à tous les types de traitements. Si le malade a exprimé clairement son opinion par avance: Si un patient a exprimé clairement par écrit le refus d'être soigné ou maintenu en vie, et qu'il n'a pas révoqué cette volonté, ce refus doit être respecté. Si le malade n'a pas exprimé son opinion Un mandataire désigné, ou le cas échéant l'époux, les enfants majeurs, les parents ou les frères et sœurs peuvent prendre cette décision qui sera

est physiquement restreint, elle ne peut pas s'appliquer.) Refus de l'acharnement thérapeutique: Il consiste à cesser de prendre un traitement, à arrêter toute forme de soins dans le but de se laisser mourir. En fin de vie, la question du refus de soins est alourdie ou compliquée par plusieurs facteurs : sa conséquence peut être dramatique et il n'est pas toujours facile de faire la part des choses entre intention suicidaire et un tel refus. Car la lucidité ou la clairvoyance du patient peuvent être

CHRISTELLE Module 5 Relation de communication Refus de soin [pic] Session 2011 /2012 SOMMAIRE Introduction page 3 à 4 Présentation de la situation page 5 à 7 Description et analyse page 8 Conclusion

critique que nous avons choisis d'analyser et celle du refus d'un traitement de chimiothérapie chez une patiente ayant des antécédents de cancer du colon et donc ayant déjà vécu ce traitement. Madame B a 83 ans elle est veuve depuis 2002 et a 6 enfants, elle vit dans une résidence pour personnes âgées, dans un petit appartement depuis le décès de son mari. Madame B est indépendante, elle fait ses courses seule et elle est autonome pour les soins du quotidien. En 2006, suite à des examens, on lui

désorientation temporo-spatial ainsi qu’une tendance à la clinophilie est dans le refus de soin. En effet la pathologie actuelle fait que le patient est en déficit de soin personnel d’hygiène. De plus en se qui concerne ses soins il lui faut une stimulation accru et une présence de l’équipe soignante. Une fois le patient placé dans le bain il effectue sa toilette en parfaite autonomie, ceci est surprenant du faite de son refus répéter avant son soin d’hygiène corporelle et de sa désorientation temporo

10 min auprès de Mme R, la cadre nous rejoint pour nous faire parvenir que sa personne de confiance, entre autre sa fille, refuse le transfert de sa maman vers le CHM et qu’elle arrive. Ne voyant pas la fille arrivée, nous décidons de rappeler sa fille en lui disant que l’état de sa maman se dégrade de minute en minute et que chaque minute est précieuse mais sa fille refuse à nouveau.Face à la situation l’IDE décide de rappeler l’ambulance pour l’annuler et leur explique la situation. Pendant 15

protection des personnes hospitalisées en raison de troubles mentaux et a pour objectif de protéger les libertés individuelles. Cette loi précise donc les droits généraux des malades mentaux quel que soit le mode d’hospitalisation (soins libre, soins à la demande d’un tiers, soins à la demande de l’autorité publique) instaurant un meilleur contrôle des conditions d’admission de ces patients en milieu spécialisé psychiatrique. Qu’il s’agisse d’une hospitalisation libre ou sous contrainte, les droits du