Le Regard froid

Autrefois un cœur chaleureux, et un regard plein d’envie Avec toi j’étais heureux, et je me sentais plein de vie T'as juste dit que tu n’avais plus de sentiments Je comprends pas, t'as pourtant volé les miens J’ai essayé d'me persuader que non, que tu mens Malheureusement ce monde n’est pas à moi, ce monde est tien Je pensais y tenir une place importante dans le futur J'n’avais pas vue ces panneaux qui indiquaient, attention a la rupture J'me suis pris en plein accident, assis dans un bac

bain du samedi soir et la jeune soeur Nathalie avait préparé l'eau du bain, les serviettes et tout le reste, suivant exactement les instructions données par la vieille soeur Berthe. Soeur Berthe avait également dit à soeur Nathalie de ne pas regarder la nudité du père Joseph autant que possible, de faire tout ce qu'il lui demanderait et de prier. Le matin suivant, soeur Berthe demande à soeur Nathalie comment le bain De la veille s'était déroulé. - Oh, ma soeur! répond soeur Nathalie les

beaucoup d'habitants. Je peux apercevoir un pêcheur sur le bord de la rivière Camouflé par son chapeau de paille le regard froid je lui fis signe de la main et il part. Je continue ma route je vois des enfants jouant dans la terre . A ma vue il fuyait dans l'une des nombreuses vielles maisons en tôles rouillées. Ma venue dans ce village ne fais pas bon effet. Je sens une atmosphère froide dans ce village ? Plus j'avançais plus la lumière du soleil s'éloignait. Je m'arrêta dans une auberge. A l'intérieur

ont été censurées. Ce triptyque a été peint entre 1929 et 1932 à Dresde, là où elle est exposée à la galerie Neue Meister. C’est une oeuvre personnelle, la guerre telle que Otto Dix la resent. C’est une oeuvre expressionisme, montrant un réalisme froid (Nouvelle Objectivité), peint pendant la République de Weimar, qui glorifiait l’héroïsme de la guerre. Triptyque plus prédelle: Un triptyque est une oeuvre peinte en trois panneaux jointifs latéralement refermable, et la prédelle est la partie

vous la sentez monter en vous, un mot d'ordre: respirez et lâchez-vous! Soyez zen:dites que vous êtes un peu tendu...cela vous détendra! Être fermé: en ayant les bras croisés, les jambes repliées sous son siège, la mâchoire crispée, le regard froid ou distant, etc...signes physiques particulièrement visibles et significatifs. L'entretien de recrutement n'est pas un interrogatoire de police ou d'être le plus fort! Vous n'avezpas non plus à reformuler des jugements de valeur sur le recruteur

LE MENEUR DE LOUPS (de Claude SEIGNOLLE) C'est sur la fin d'une journée de ce terrible hiver 1870, frappé d'un triple malheur : l'invasion, la famine et le froid, qui enfantent à leur tour cent et mille autres peines. Ses grands doigts de glace profondément enfoncés dans la terre, le froid se cramponne sur la Sologne et s'attarde à pondre son frimas sur l'échine du pauvre monde. Visible en buées au contact des bouches, il ballotte son grand corps fluide au gré des vents mordants

devient gris peu à peu. L'air est froid, d'un froid sec qui fait mal. Tayar n'est vêtu que du pantalon de toile grise et de la chemise-veste réglementaires. Il est pieds nus dans des chaussures de basket sans lacets. La fatigue de la longue marche pèse sur lui, le fait tituber. Il grelotte de froid. Il quitte la route, et il commence à marcher parmi les broussailles, sur les pierres qui s'éboulent. Dans un creux de terrain, il s'accroupit pour uriner. Il regarde autour de lui. A l'est, du côté d'où

conservent leur sang-froid en toute circonstance, restent debout au milieu des champs de ruine et trouvent encore la ressource de secourir les blessés. Je n'ai pas leur courage, hélas, leur détermination, ou leur inconscience. Je suis trop lucide pour ne pas voir les désastres. Et trop fragile pour les regarder sans vaciller.Je serais ravie d'être de celles qui encaissent les coups sans broncher. J'ai toujours éprouvé de l'admiration pour les personnes qui conservent leur sang-froid en toute circonstance

C’est sur la fin d’une journée de ce terrible hiver 1870, frappé d’un triple malheur : l’invasion, la famine et le froid, qui enfantent à leur tour cent et mille autres peines. Ses grands doigts de glace profondément enfoncés dans la terre, le froid se cramponne sur la Sologne et s’attarde à pondre son frimas sur l’échine du pauvre monde. Visible en buées au contact des bouches, il ballotte son grand corps fluide au gré des vents mordants. Sa souveraineté sur les mois d’hiver a des exigences cruelles

un tableau figurative tu peux voir ce qui arrive alors cela n’est pas un tableau abstraite. Je vois beaucoup de couleur froid mais il y a des couleurs chaudes aussi comme les étoiles qui sont des couleurs jaunes aussi sur le bas des peintures et dans L’eau les couleurs chaudes sont présentes. Je vois aussi beaucoup de lignes pas vraiment de lignes droit mais courbées ca regarde comme si toute la peinture et faite des lignes. Aussi les pluparts des formes dans cette œuvre sont des formes abstraite