Le Regard froid

lire le texte une première fois et noter de façon très spontanée ce qu’il produit en toi. Les conseils méthodiques contenus dans ce document devraient maintenant te permettre de comprendre ce qui t’a fait réagir. L’hiver vint, l'hiver normand, froid et pluvieux. Les interminables averses tombaient sur les ardoises du grand toit anguleux, dressé comme une lame vers le ciel. Les chemins semblaient des fleuves de boue; la campagne, une plaine de boue; et on n'entendait aucun bruit que celui de l'eau

à son maître. Il conte ici son tiraillement entre deux cultures que tout oppose. C est pourquoi l on pourra en premier temps étudier le regard étranger que porte l auteur à travers Samba Diallo, puis dans un deuxième temps il conviendra d examiner sa réaction pessimiste et critique face à l inhumanité dans une ville occidentale. I. Regard étranger que porte l auteur II. Réaction pessimiste et critique face au déclin de l humanité dans une ville occidentale I L

1) LE FROID Le froid est une sensation qui a envahit toutes les personnes que subissent cette guerre. Un sentiment d’impuissance face à ce phénomène qui règne partout, qui a pris le pouvoir. Ce froid qui fait perdre toutes autres notions, plus rien ne compte, tous les moyens sont bons pour y échapper un petit instant, il occupe le corps et l’esprit de tout le monde. « L’empire du froid. » Le froid est l’ennemi principal de la guerre, le plus dur adversaire à combattre, le froid est autant

en 1960. Dans ce film riche en motifs de tout genre, un se démarque du lot. Il s’agit du regard. Le regard des acteurs, mais aussi ceux des spectateurs qu’Hitchcock oriente avec ses astuces techniques. Voici dans l’analyse de deux scènes tirés de ce film, la preuve que le regard a une forte importance dans l’œuvre d’Alfred Hitchcock. Premièrement, on peut observer l’importance du regard et son impact sur le film dans la scène où Marion est à l’arrière du bureau avec Norman et

ceci.... Je suis resté éveillé jusqu'à 3h47. C'était la dernière fois où j'avais regardé ma montre avant de m'endormir . Elle a un cadrant lumineux et s'éclaire si tu appuies sur un bouton,c'est ainsi que je pouvais lire l'heure dans le noir. Il faisait froid et j'avais peur à l'idée que Père puisse sortir et me retrouver. Mais je me sentais en sécurité dans le jardin parce que j'étais caché. J'ai beaucoup regardé le ciel. J'aime lever les yeux vers le ciel, dans le jardin, la nuit. Parfois, en

Africain fraîchement débarqué sur les Européens, point de vue négatif. Il leur reproche leur uniformité : « Son dos carré se perdit parmi d’autres dos carrés. Sa gabardine grise, parmi les gabardines. » Il trouve aussi qu’ils vivent dans un univers froid et dur : « Nulle part la tendre mollesse d’une terre nue », dominé par ces « mécaniques enragées » que sont les automobiles qui occupent l’espace au détriment de l’être humain. En creux et en opposition se dessine une terre accueillante, chaleureuse

(verbe introducteur : en murmurant, deux points et tiret) avec un chp lexical de la froideur : sans une flamme l27, l31 frisson et l32 froid est répété deux fois pour insister, Gervaise est tellement effrayée qu’elle se répète. De plus, Gervaise est soumise à son destin, on note des tournures passives « sa me fait froid » et la boisson me fait froid l 32. Le froid annonce l’arrivée prochaine de sa mort. Point de vue de mes bottes : pour décrire l’alambic du point de vue de mes bottes, Zola a

désert. Un jour, elle y retournera toute seule, en rescapée de l’enfer des hommes. Saguiet el Hamra, hiver 1909-1910 Le Bonheur Ohé ! Hartani ! Chaque jour ajoutait un peu de terre La vie chez les esclaves Maintenant, Lalla regarde ses photos La mort est venue Oued Tadla, 18 juin 1910 Tiznit, 23 octobre 1910 C'est comme cela qu'elle est partie Agadir, 30 mars 1912 Saguiet el Hamra, hiver 1909-1910 Ils sont apparus, comme dans un rêve, au sommet de la dune

Là où tout est beau Mourir pour vivre à tes cotés Etre avec toi pour l'éternité Qu'importe ce qu'ils diront Qu'importe ce qu'ils penseront. Je t'aime mon Ange, attends moi Ne bouge pas, j'arrive auprès de toi La lame est froide, mon sang est chaud Mes larmes coulent et réchauffent ma peau J'ai froid, je tremble, je pars, je m'en vais Je quitte ce monde ignoble et laid Je m'envole à mon tour Adieu douteux alentours Je pars rejoindre mon Ange Dans un lieu où rien ne dérange. Une Fée s'est suicidée Pour retrouver

rase - champs de betterave - Insistance sur le froid - Vent d'est sec et cinglant : on note des termes connotant le vent (larges rafales) et le froid (glacées) Métaphore filée de la mer : la plaine est comparée à la mer. Omniprésence du vent avec la comparaison aux embruns. Aspect lugubre accentué par le fait qu'il fait nuit à Champ lexical de l'obscuritéb. Personnage désolé La description du personnage est pathétique. Le personnage a froid, serre son paquet contre lui et glisse ses mains