Le Regard Neuf

retour ici et jouer."Presque chaque jour, je suis ici. Matin et soir, toujours le même. Ma vie est juste cette tour", dit-il doucement. Il est triste.Il ne sait pas encore que cette journée est très différent. Il fait déjà sombre. L'horloge sonne neuf fois sur Michel , il est 21h. Henrik Dirkheide , le pasteur du Michels, est assis dans son bureau. Nul n'est plus dans l'église. La première fois ce jour-là tout est calme. « Enfin un jour! », il pense.Comme tous les soirs d'attente pour la musique

ignorance, confrontée à des objets occidentaux (radio, téléphone, fer à repasser, cuisinière, etc.), offre une grande simple et pure, capable de se réapproprier tout ce qu’elle touche. dimension comique. Néanmoins, elle n’apparait jamais ridicule : le regard tendre de ses enfants donne à voir une femme En la poussant à sortir, ses deux fils la font naitre une seconde fois, à trente-cinq ans, inversant alors les rapports de filiation. Elle va, grâce à eux, découvrir un nouveau monde, celui de la liberté

Effrayée par ses dépenses , sa mère lui impose un conseil judiciaire : Baudelaire perçoit désormais une modeste rente mensuelle . Baudelaire publie dans des revues ses poèmes et ses comptes rendus des salons . Ami de Delacroix , il porte un regard neuf et passioné sur la peinture . Souvent mélancolique , il retrouve auprés de Jeanne Duval , une métisse , le souvenir ébloui du voyage dans les îles . A trebte six ans , en 1857 , Baudelaire publie Les Fleurs du mal . Le recueil fait scandale , la

sur sa vie individuelle, en particulier sur l’histoire de sa personnalité ». -> Obligation du pacte de vérité avec le lecteur, forcé d’être sincère quand il raconte les évènements du passé : ne doit pas faire de modification avec le temps, et le regard adulte. Il y a donc un problème entre le fait de célébrer le monde : donc il y a un enchantement, un embellissement d’évènements qui peuvent être plus triste. Donc pas de respect du pacte autobiographique, donc peut ne pas avoir de respect de la vérité

La fonction naturaliste. • La fonction esthétique. La fonction géographique. 1) Le champ lexical de la localisation. Nous pouvons relever les termes spatiaux tel que le du port Saint-Nicolas, le pont de Arts, la Seine, le Pont-Neuf, l’île Saint-Louis, l’écluse de la Monnaie La rive droite, l’Hôtel de ville, le clocher de Saint-Gervais, la rive Gauche, le quai de l’Horloge, le quai des Orfèvres, le Palais et la Préfecture, Paris, Notre-dame et la Sainte-Chapelle. Toutes ces indications

représente la maille du cristal de fer avec une phase cubique centré,les neuf sphères qui représentent les neuf atomes du cristal de fer. L'Ingénieur André Waterkeyn devant une maquette de l'Atomium (vers 1962). Au niveau de la dimension de l’œuvre , l’Atomium représente un maille de fer agrandie 165 milliards de fois. L’architecture mesure 102 mètres et pèse en tout 2400 tonnes , c’est de l’acier, il est composé de neuf sphères reliées entre elles qui ont un diamètre chacune de 18 mètres

trentaine d’année. Il s'assit a une table, parla avec une serveuse puis quelque minute plus tard on lui apporta un cappuccino, il resta là plusieurs heure a regardé ça commande sans y touché. Je suis rentré chez moi puis quand je suis revenue vers dix huit heure, il étais là, il ne l'avait toujours pas bue, il semblait heureux mais sont regard se perdait dans l'espace. Le soir je partis avant lui. Le deuxième jour je le revis, il recommença le même schéma que le jour d'avant, moi pendent ce temps

passage du Pont-Neuf a disparu au moment des grands travaux d’Haussman; par le choix de la rue de Seine et de la référence au Pont-Neuf, Zola fait allusion à la ville de Paris dont le nom est absent du texte. Ensuite l’auteur nous décrit la ville comme si nous déambulions dans celle-ci, l’impression d’une visite est suggérée par l’emploi du verbe de déplacement «vient» (ligne 1). Le narrateur introduit son lecteur désigné dans le texte par l’emploi du pronom indéfini «on» (ligne 1). Le regard lui-même

verre à quinquet », p. 19) rend bien compte de l’étroitesse des rues, qui n’avaient pas encore fait l’objet des grands travaux de rénovation entrepris par le baron Haussmann, et de l’atmosphère lugubre qui y règne. La description du passage du Pont-Neuf permet d’évoquer la vie quotidienne d’un quartier de Paris, avec les commerçants, artisans et employés qui s’y affairent : « bouquinistes » (p. 17), « cartonniers » (p. 17), « marchande de bijoux faux » (p. 18), « apprentis en tablier de travail, ouvrières

avoir assez de la province, et veut aller s'installer à Paris pour être un « employé dans une grande administration ». Madame Raquin se rend donc dans la capitale, trouve une boutique et un appartement à louer au passage du Pont-Neuf, sinistre galerie souterraine sombre et humide. Tous trois s'installent dans le logement, et les deux femmes ouvrent une mercerie. Camille, de son côté, trouve un travail dans l'administration des ''Chemins de fer d'Orléans''. Pour Thérèse