Le Renard Et Les Raisins

COQ ET LE RENARD C’est double plaisir de tromper le trompeur. Nous sommes dans la villa de Maître Coq. Sa majesté est assise dans un grand trône rempli d’étoffes, de soies et de lin. Les étoffes ont toutes un signe de sa majesté « le coq ». Seigneur cop est un homme sage, malicieux et surtout un guerrier doté d’une grande puissance. Il avait un serviteur que l’on appelait Sir Renard. Le serviteur rêve tous les jours, du moment où il montera sur le trône et prendra le pouvoir. Sir Renard, à l’abri

FABLE I. Quelles sont les convergences pour chaque corpus ? Pour le corpus «  Le Renard et les Raisins », on voit plusieurs points communs : - Dans les 3 fables il y a un renard affamé « renard affamé »  « Poussé par la faim, un renard » « Mourant presque de faim » qui aperçoit des raisins mais n'y arrive pas à les attraper alors il insinue qu'ils ne sont pas encore murs qu'ils sont trop verts «  citation » - La morale des 3 fables se situent à la fin du texte et veulent tous dire la même chose :

Page 4: « La Cigale et la fourmi » Page 5: « Le Corbeau et le renard » Page 6: « Le Loup et l'agneau » Page 7: « Le Coq et la perle » Page 8: « Le Vieillard et l'âne » Page 9: « La Poule aux œufs d'or » Page 10: « L'Âne portant des reliques » Page 11: « L'Oiseau blessé d'une flèche » Page 12: « La Montagne qui accouche » Page 13: « Le Renard et les raisins » Page 14: La conclusion Page 15: Les sources

animaux représentant les différents ordres de l’époque de Louis XIV. Le Lion et le Rat, L'Hirondelle et les petits Oiseaux, Le Renard et les Raisins, La Chauve-souris et les deux Belettes et Le Loup et L'agneau ont des points commun : pour commencer elles évoquent toutes des animaux. De plus dans chaque fable un animal ou plusieurs, Le Lion, Le Loup, Les Petits Oiseux, Le Renard ou bien La Chauve-souris se retrouvent dans une position désavantageuse pour leur personne et s'en sortent (ou pas !) en utilisant

LE RENARD ET LE BUSTE Les Grands, pour la plupart, sont masques de théâtre; Leur apparence impose (1) au vulgaire idolâtre. L'Âne n'en sait juger que par ce qu'il en voit : Le Renard, au contraire, à fond les examine, Les tourne de tout sens ; et, quand il s'aperçoit Que leur fait (2) n'est que bonne mine, Il leur applique un mot qu'un Buste de héros Lui fit dire fort à propos. C'était un Buste creux, et plus grand que nature. Le Renard, en louant l'effort de la

la charge. Le cheval du tirer seul la charrette et porter ce que l'âne portait de plus La morale est Il faut s'entraider Le loup plaidant contre le renard devant le singe: Un loup se plaint d'avoir été volé, il accuse un renard. Le loup et le renard sont pour le juge qui est un singe qui les connait des menteurs. Le loup et le renard défendent leur cause l'un l'autre, le singe qui n'a confiance en aucun des deux décident des le condamner tout 2. La morale est On ne croit pas les menteurs

Le corbeau et le renard Dans cette fable la Fontaine critique deux grands acteurs de la scène française du 17eme siècle. Le courtisan, qui flatte et dit tout ce que les personnes de pouvoir veulent entendre. Et les personnes hautes placées – comme le corbeau bien haut perché sur sa branche – qui les écoutent, et finalement, qui les font vivre. Tout d’abord, regardez comme Jean de la Fontaine personnifie ses animaux en leur donnant des qualificatifs humains : “maître”, “monsieur du Corbeau”‚ “mon

Le renard et le bouc Capitaine Renard allait de compagnie Avec son ami Bouc des plus haut encornés. Celui-ci ne voyait pas plus loin que son nez ; L'autre était

nouvelles, des poèmes et même des pièces de théâtre. Ses Fables de La Fontaine constituent la principale œuvre poétique du classicisme, et l’un des plus grands chefs d’œuvre de la littérature française. Résumés des vingt-six fables Le Corbeau et le Renard « Tout flatteur vit aux dépens de celui qui l’écoute. » Le lièvre et la tortue « Rien ne sert de courir, il faut partir à point. » La Mort et le bûcheron « Plutôt souffrir que mourir/ C’est la devise des hommes. » Le Geai paré des plumes du

grands choux violets, le rouge potiron, La tomate vernie et le pâle citron. Comme un grand cerf-volant la raie énorme et plate Gît fouillée au couteau, d’une plaie écarlate. Un lièvre au poil rougi traîne sur les pavés Avec des yeux pareils à des raisins crevés. D’un tas d’huîtres vidé d’un panier couvert d’algues Monte l’odeur du large et la fraîcheur des vagues. Les cailles, les perdreaux au doux ventre ardoisé Laissent, du sang au bec, pendre leur cou brisé ; C’est un étal vibrant de fruits