Le Rire Est Fait Pour Humilier

BERGSON publie Le Rire premier ouvrage à se livrer à une étude sérieuse c’est-à-dire scientifique sur le rire : ses définitions, ses procédés, ses enjeux. Dans cet ouvrage, Henri Bergson dit : « Le rire est, avant tout, une correction. Fait pour humilier, il doit donner à la personne qui en est l’objet une impression pénible. ». Cependant, nous pouvons nous demander si le rire est réellement fait pour humilier. Dans un premier temps, nous verrons que les personnes se servent du rire pour se moquer.

Le rire est naturel et inévitable. C'est un automatisme difficile à contrôler. Regis Tomas dans « Le plaisir de rire » présente un aspect collectif et familial au rire. Olivier Mongin dans « De quoi rire » ainsi que Gustave Flaubert dans Madame Bovary en 1857, montrent un aspect agressif au rire, cependant Dely Denaud dans « Contrairement a Dieudonné, Coluche n'enferme pas » nuance leur propos en présentant la spécificité du rire de Coluche. Que provoque le rire ? Dans un premier temps nous allons

Le rire à la particularité d’être un phénomène sociale et morale d’une grande ampleur, le rire exprime un sentiment de gaieté, c’est un sentiment considéré plus ou moins propre à l’homme. Bien que le rire soit manifestement joyeux et positif, pour le ou les rieurs, il est excluant, agressif, moqueur, pour la plus part des cas. Ainsi Gustave Flaubert dans sont roman «  Madame de Bovary » traite de l’exclusion du rire, rejoins par Olivier Mongin dans sont article « De quoi rire ? » Qui avance sur la

du propos que la cohérence d’une démonstration fondée sur une problématique acceptable. Problématique possible : La violence exercée par le rire est-elle toujours fondée ? Proposition de plan : 1. Une pratique sociale légitimée 1-1. Une violence assumée : - l’analyse du vocabulaire employé décrit un mécanisme social violent : correction, humilier, châtier, frapper pour Bergson agression, sanction, comparable à la foudre pour Dominique Noguez rejet, négation de la capacité à raisonner, voire

Le rire, Henri Bergson 1. Le rire garantit une certaine inertie de la société 2. Le rire dans la sphère littéraire 3. Le rire comme puissance régénératrice s'affirmant au travers de l'écriture et de la création Résumé de l'exposé « Le rire est, avant tout, une correction. Fait pour humilier, il doit donner à la personne qui en est l’objet une impression pénible. La société se venge par lui des libertés qu’on a prises avec elle. Il n’atteindrait pas son but s’il portait la marque de

Ce corpus traite le thème du rire et s'interroge sur les différentes manières dont il peut être interprété. Au milieu du XIXème siècle, G. Flaubert, dans son fameux roman, Madame Bovary, relate l'arrivée d'un jeune garçon, Charles Bovary, dans une école. Plus proche de nous, en 2007, O. Mangin évoque le déchaînement du rire, dans son texte, De quoi rire? Coll. « Giboulées », repris, également, au cours de la même année, par R. Thomas avec «  Le plaisir du rire ». Enfin, dans un article, apparu

Le rire phénomène naturel qui nous amène à s'interroger sur ses raisons d'être. Ce corpus qui se compose de quatre textes publiés entre le 17ème et le 21ème siècle, nous donne des réponses sur cette question. Le premier document nous donne quasiment la réponse : il est extrait du Le Rire, publié en 1899 par Henri Bergson. Le deuxième document est intitulé "Les Caractères ou les mœurs de ce siècle" de 1688, dans lequel Jean de La Bruyère dénonce ceux qui passent leur temps à rire des autres. Les

Synthèse de français A notre époque le rire est considéré comme une fonction positive. On peut le confirmer puisqu’aujourd’hui de pars les médias ou autres, tout sujet peut être tourné à la dérision de manière à faire rire. Le rire a t’il toujours été perçu comme quelque chose de positif ? Pour y répondre, nous nous appuierons sur différents textes comme Petite Philosophie des histoires drôles de Luc de Brabandère, un extrait de Paroles à rire de Maurice Duval, un extrait de Madame Bovary

des limite du rire est une limite sociale présenté sous forme de limite raciale. Pierre DESPROGES présente dans ça plaidoirie « Réquisitoire contre Jen-Marie LE PEN » que nous pouvons pas rire avec les personnes intolérante comme les extrémistes ou les pouvoir totalité qui croient dure comme fer en des idéologies sans qu’on puisse rire de ça. Primo Levi nous explique dans « si c’est un homme » que les nazies utilisé leur propre humour raciale en vers les déportés pour les humilier et les manipulé

la violence exercée par le rire est-elle toujours fondée ? Le premier est extrait de l’ouvrage de Jean de La Bruyère, les caractères ou les mœurs de ce siècle « De la ville » en 1688 et qui dénonce avec distance et humour les excès et les injustices de la société à laquelle il appartient. Le second est un extrait d’Henri Bergson, Le rire .Essai sur la signification du comique en 1899 Il s’agit de donner à la personne une impression pénible et par conséquent le rire ne peut être empreint d’aucune