Le Rire Langage Universel

»2. Elle fait de l’art, de la peinture ou de la sculpture des essences universelles, transhistoriques, et forge une nécessaire continuité entre les manifestations artistiques de la modernité3. Pourtant cette élaboration de la signification, selon la linéarité historique, se voit sous l’influence du structuralisme et du poststructuralisme soumise à révision. Les formes intemp orelles et transhistoriques, les essences universelles du modernisme, au sein desquelles tout développement esthétique aurait

témoignage d'un être-pour-soi L3-L7 : Le discours en subordonné de Garcin, témoignage d'un être-en-soi L7-L13 : La double énonciation ou la transmission d'une vérité générale L7-L10 : Discours phatique L10-L13 : Discours de vérité générale, conclusion universelle I- L'illustration de l'être-pour-soi et de l'être-en-soi A- Le discours auto-réflexif de Garcin, témoignage d'un être-pour-soi 1) Le bronze, à la base de la réflexion « Le bronze ... » Fonction référentielle qui renvoie au bronze de Barbedienne

Victor Duruy, Paris, Hachette, 1887 Vie et œuvre Liberté de parole et souci de l'autre dans la société homérique (par Jacques Dufresne) La liberté de parole existait dans la Grèce décrite par Homère, mais elle était limitée, elle n'était pas universelle. Fondée sur la propriété, dont nous savons qu'elle comportait une dimension religieuse, cette liberté était une responsabilité tout autant qu'un droit. Chacun, chaque père de famille, devrions-nous préciser, — car la société décrite par Homère est

choses, qui n’arrivent jamais, d’ailleurs. Au mien, on n’attend plus rien… que la mort. Duroy se mit à rire : - Bigre, vous me donnez froid dans le dos. Norbert de Varenne reprit : - Non, vous ne me comprenez pas aujourd’hui, mais vous vous rappellerez plus tard ce que je vous dis en ce moment. Il arrive un jour, voyez-vous, et il arrive de bonne heure pour beaucoup, où c’est fini de rire, comme on dit, parce que derrière tout ce qu’on regarde c’est la mort qu’on aperçoit. Oh ! vous ne comprenez

montre l’énorme subjectivité du comique, et l’indissociabilité de l’expérience de réception personnelle du texte. Pourquoi un lecteur, en général, rirait de Huysmans et de certains aspects, disons, méchants et misanthropiques ? Quel est ce « 10 rire Paru d’abord comme une biographie de Huysmans dans Les hommes d’aujourd’hui (1885). A. Meunier est dérivé du nom de la maîtresse de Huysmans, Anna Meunier. 4 spasmodique » (Breton, 1966, p.249) que Huysmans déclenche chez Breton, et quel

groupales (héritages éducationnels, conditionnements sociaux, groupes d’appartenance – choisis ou subis / réels ou supposés). Cette façon de voir tend à occulter le fait ethno-socio-culturel et à transformer une « culture dominante » en mode d’emploi universel. Il nous semble dès lors nécessaire d’appliquer à nos propres points de vue une lecture critique inspirée du vocabulaire de Margalit COHEN-EMERIQUE : que dit cette pensée dominante qui fustige les dérives communautaristes ou culturalistes - des

exprime la dureté du baron (justifiée lors des coups de pied) et qui le rend ridicule car son nom est imprononçable, c’est un néologisme (mot inventé) ou encore "Pangloss" du grec "pan"=tout et "glotta"=langue, il est ainsi caractérisé comme parleur universel, il ne fait que parler et ne rien dire.  - Il arrive aussi que le choix de l'effacement des interventions du narrateur soit significatif. Le discours direct pour la présentation de la philosophie de Pangloss = le narrateur cite Pangloss comme si

Arlequin, personnage présent dans le commedio dell’ arte (comédie d’improvisation et de masque). Il a toujours le même rôle : ne pense qu’à boire et à manger, même costume au couleur violent avec des losanges, masque noir, bâton. -> Utopie, universelle : 18ème siècle/antique 3. Personnages Dès les 1ere répliques on voit qui est le maitre et qui est l’esclave, ou costumes : Couple traditionnel du 18ème siècle (pas de rapport avec le théâtre grec, pas de fiction antique) et ce sont des

d’humanité qui lie chaque homme. Ce lien détermine l’affection pour autrui et la communication avec lui en société. En effet, je ne peux pas établir de communication sans autrui, c’est avec lui qui je vais me divertir, que je vais travailler, que je vais rire. Un monde sans autrui serait inconcevable. Cette vie en société crée des liens d’affection. L’affection est un sentiment d’attachement tendre et profond, il se situe entre l’amour et l’amitié. Ici, Aristote nous montre que peu importe le degré d’affection

3. De la honte. 4. Du courage. 5. De la colère. 6. De la vengeance. 7. Du repentir. 8. De l’espérance, du désespoir, de la défiance. 9. De la confiance. 10. De la pitié et de la dureté. Il. De l’indignation. 12. De l’émulation et de l’envie. 13. Du rire. 14. Des pleurs. 15. De la luxure. 16. De l’amour. 17. De la charité. 18. De l’admiration et de la curiosité. 19. De la passion de ceux qui courent en foule pour voir le danger. 20. De la grandeur d’âme et de la pusillanimité. 21. Vue générale des