Le Rire Vulgaire

très serviable, active et savait exactement ce qu’elle voulait : elle avait assuré jusqu’à ses quinze ans que seuls les études et son père ne comptaient, et que jamais, oh non au grand jamais, elle ne deviendrait une de ces adolescentes vaniteuses, vulgaires et mal-éduquées qu’elle rencontrait parfois. Cependant, tout avait changé l’année de ses quinze ans. En effet, jusqu’à présent, elle était heureuse. Jusqu’à Henri, sa vie lui convenait. Mais ce jeune homme avait tout changé. Au final, pensait

abusive du professeur qui ne tolère aucune intervention de son élève notamment lorsque celle-ci est susceptible de lui faire de l’ombre : « l’élève : Phonème le professeur : J’allais vous le dire. N’étalez pas votre savoir. Ecoutez, plutôt. » Ainsi le rire que suscitent ces trois extraits repose sur trois des quatre grands types comiques : le comique de langage, de mots et de caractère. Ils sont ici mis au service d’une dénonciation féroce de la vanité des savoirs, le plus souvent envisagés ici comme

barre de rire" veut dire rire, avoir un moment de rire avec quelqu'un. Exemple : "Il s'est cassé la gueule à la sortie du lycée, j'ai claqué une barre" veut dire, "il est tombé tout à l'heure à la sortie du lycée, j'ai vraiment rigolé". Avoir barre sur quelqu'un veut aussi dire avoir l'avantage sur quelqu'un, dominer quelqu'un. Exemple : "A ce jeu je te barre", veut dire " à ce jeu, je suis meilleur(e) que toi." Synonymes : rire, avoir un délire, être mort de rire, se péter de rire, se fendre

"Panique à l'Élysée", l'action se déroule de nos jours, et l'auteur a imaginé un gouvernement totalement corrompu, pourri jusqu'à la moelle. Alors tout est exagéré évidemment, c’est le principe du vaudeville, on grossit le trait, pour provoquer le rire. Alors là où l'idée est géniale, c'est que ça se passe en période de crise, le pays est en récession, y'a des milliers de chômeurs, le premier ministre demande au peuple de se serrer la ceinture… Et à côté de tout ça, tous les ministres et secrétaires

Criblée de petits trous de mémoire, au travers desquels je vois, je reconstitue, la bouille effarée des mômes algériens. Pourquoi? Je suis encore vivant!... hurlait Caligula après que ses ministres minables et mités l’aient perforé comme un vulgaire ticket de métro, poinçonné et repoinçonné à la station Charonne en l’an 1961. Et comment! Y’a que l’embarras du choix... Nous avons réussi. Nous sommes les maîtres du monde! Nous avons incrusté sous la peau des mômes de nos ex-esclaves, une immense

avec une légèreté égale à celle de l'atmosphère ». Ainsi, le poète ne cesse de se comparer à cette calme nature tout au long de ce premier paragraphe. Nous pouvons également ressentir un total détachement des soucis de la société : « les passions vulgaires […] aussi éloignées […] que les nuées […] sous mes pieds » et cette idée de surplomber cela, d'âtre au-dessus de tout, cette impression que plus rien ne l'atteint. En effet, les seuls désagréments tels que « la clochette des bestiaux » ou « l'ombre

et à ses personnalités. J’ai trouvé aussi très drôle de faire monter sur scène et de marier des personnes du public ; mais je ne sais pas dans quel comique le classer ! Conclusion J’ai aimé cette pièce. Elle m’a fait rire même si les formes d’humour sont parfois un peu vulgaires ou manquent de subtilité. Faire participer le public, briser le quatrième mur, rend la pièce plus vivante. Les chansons et la musique rendaient la pièce plus vivante aussi. L’adaptation m’a permis de mieux comprendre la

semaine en Scandinavie « il faisait sombre en Finlande, nuit et jour », « j’ai été souvent ivre », « Là-haut j’ai pensé à toi et à Stéphane » ainsi Marianne lui a fait aucune réflexion et enchaina en lui demandant «  et les affaires ? » il se mit à rire. Arrivé à la maison, lorsque les parents entrèrent, l’enfant n’adressa pas la parole à son père et continua à lire ainsi il fouilla sont père pour voir si il lui avait rapporté quelque chose. Bruno proposa un « repas de fête » à sa femme car il trouva

JEU DES ACTEURS, Ce spectacle expose un jeu d’acteur poignant de sincérité avec pour chacun des intervenant une place bien définie dans la vivante mise en scène de Jean-Luc Paliès. L’homogénéité du jeu des acteurs sert un sujet grave dans lequel le rire n’est pas oublié. Malgré tout et en dépit des efforts fournis par les comédiens, mon regard est mitigé et je regrette notamment la négligence de certains détails dans la mise en scène tel que la présence de la fanfare tout au long du récit qui n’est

demain périr d’un coup funeste. C’est trop de vivre nus embués de néant, Trop de mettre à genoux l’idéal qui nous reste, Trop de guillotiner nos envols de géant. Oh ! tant pis ! si le col majestueux des cygnes Doit éclater bientôt comme un vulgaire fruit. Tant pis ! si quelques-uns traînent des maux insignes Et d’autres maint bonheur depuis longtemps détruit. Léane, ma poupée à la lumière blonde, Les vents purs, ce matin, cajolent l’univers ; Tes jolis pieds en feu, plus ondoyants que