Le Roi Mystère

aventures de chevaliers ( representent ideal de la société feodale : le respect) -engagements feodaux -chantées en public : au Sud par les Toubadours au Nord pas les Trouvères. -3 gds cycles : ---> cycle du roi (surtt avec Charlemagne : chanson de Roland) --->cycle de Guillaume d'orange (chanson de guillaume et charoi de Nîmes) ---> cycle de Doon de Mayence (luttes féodales : chanson de Bormont et chanson de Isembart) - 1er textes respectant les conditions

Cléopâtre VII est née au cours de l'hiver -69/-68 probablement à Alexandrie. Elle appartient à la dynastie des Lagides, dynastie macédonienne. Cléopâtre est l'une des trois filles du roi d'Égypte Ptolémée XII, et d'une concubine. Être une fille illégitime n’est pas un handicap pour elle. Elle entretient elle-même le mystère sur ses origines maternelles (ascendance égyptienne?). Titre de la reine : philopatris (qui aime sa patrie) qui surprend dans une dynastie qui privilégie les liens dynastiques par

de question 1-Quel est le malheur qui afflige la ville de Thèbes au moment où débute l'action de la pièce Oedipe Roi de Sophocle? -Une plaie maudite, la Sphinge 2-Quelle est la cause de ce malheur? -Le meurtre du roi Laïos 3-Que faudrait-il faire selon l'oracle de Delphes pour corriger la situation? -Que Oedipe, sauveur, devienne roi de Delphes. Il doit résoudre le mystère du meurtre de Laïos 4-Comment Oedipe réagit-il à ce que demande l'oracle? -Il accepte les dires de l'oracle

Chaudes richesses de l'océan - La déesse de la Mer vous ouvre son écrin - Mystère de la coquille - Coquilles Perlières - Princes de la mer - Promenade romantique en mer - Les délicatesses de la mer - Trésor de l'atlantique - Fierté de la mer et sa marée - Délicate valse de la mer - Fines fiertés de la mer Cassolette de St Jacques - Le chant des sirènes - Mustang des mers dans son écrin - Mystère de la coquille - Défilé corail Trou normand - Promenade dans les vergers

plus bas. Ils y font construire un théâtre appelé Hôtel de Bourgogne, sur le modèle du jeu de paume. C’est un théâtre à la française. Dès leur installation les Confrères jouent le même répertoire Mystère. Mais quelques temps après le gouvernement attaque les Confrères et interdit la représentation de Mystère. Du coup les enfants sans soucis jouent afin de remplacer les Confrères, mais leurs spectacles n’attirent plus le public. En 1570, en dehors de Paris, des professionnels commencent à sillonner la

victoire pour l'éternité ! 1 - Sois dans l'allégresse, peuple du Seigneur, Et redis sans cesse que Christ est vainqueur. 2 - Il est ma victoire, mon libérateur, Ma vie et ma gloire, le Christ mon sauveur. 3 - Honneur et puissance, à l'agneau vainqueur, Roi des rois pour les siècles, Seigneur des seigneurs. 4 - Fais de nous pour ta gloire un peuple de rois, Un peuple de prêtres, l'assemblée des saints. 5 - Que tes œuvres sont grandes, Dieu de l'univers ! Ta création te chante : toi seul tu es saint.

Le registre comique et théâtral au Moyen Age Le théâtre au Moyen Age est séparé en deux grandes parties : le drame sacré, composant les miracles et les mystère, et le théâtre profane, dit aussi comique. La sottie, le monologue, la moralité et la farce font partie de cette deuxième catégorie. Le drame sacré Le drame sacré est en relation directe avec l’histoire de l’église. Le théâtre pieux fit évoluer certains rites catholiques. D’abord jouées dans les abbayes et en latin, ces pièce furent

rien de la vie d’un chevalier. Il apprend encore que c’est le roi Arthur qui les a adoubés et que ce roi séjourne à Carduel. Ce qui nous frappe c’est la grande économie du texte. Chaque mot a une signification. Chaque question prépare l’autre et forme un tout bien compréhensible mais sans employer trop de mots. Les questions montrent l’innocence totale du jeune homme. Il n’a pas été en contact avec la chevalerie, la vie à la cour du roi Arthur. Ce passage nous informe sur le jeune homme et la

monsieur le roi, ni même une belle pendaison de larronset de larronnesses à la Justice de Paris. Ce n'était pas non plus la survenue,si fréquente au quinzième siècle, de quelque ambassade chamarrée etempanachée. Il y avait à peine deux jours que la dernière cavalcade de cegenre, celle des ambassadeurs flamands chargés de conclure le mariageentre le dauphin et Marguerite de Flandre, avait fait son entrée à Paris, augrand ennui de Monsieur le cardinal de Bourbon, qui, pour plaire au roi,avait dû faire

d'ailleurs ont leur Dieu et leur roi : les grands de la nation s'assemblent tous les jours, à une certaine heure, dans un temple qu'ils nomment église ; il y a au fond de ce temple un autel consacré à leur Dieu, où un prêtre célèbre des mystères qu'ils appellent saints, sacrés et redoutables ; les grands forment un vaste cercle au pied de cet autel, et paraissent debout, le dos tourné directement au prêtre et aux saints mystères, et les faces élevées vers leur roi, que l'on voit à genoux sur une tribune