Le Role Du Rire

En cette période de campagne électoral , rire des hommes politique est devenu monnaie courante , le succès des guignol de l’infos ou politique et humour son mêlés nous montre bien l ‘engouement des français à parodier les politiques . ce que nous démontre bien jean marc Moura dans « quelle politique du rire ?’ article tiré du quotidien le monde de mai 2010 , ou il analyse les causes qui poussent les français à se moquer des politiques . Dans un autre texte de la même année « quand les politiques

de la sincérité absolue, et que toutes les déambulations des personnages ne sont que l'expression de la hantise existentielle du personnage d'Alceste. B.- Au moins, on pouvait être plus banal et faire rire au lieu d'être original à tout prix dans la mise en scène et ne pas ne pas susciter le rire ! Et on devait s'esclaffer quand Oronte touche Alceste du bout de sa canne tout en lui disant « c'est à vous, Monsieur, que ce discours s'adresse ! A.- Mais vous n'avez pas trouvé cela comique... B. -

« Je me presse de rire de tout, de peur d'être obligé d'en pleurer », lance Figaro à son maître dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais. Il entend par là que prendre les événements de manière détachée, en plaisantant, permet, avec le recul qu'implique l'humour, de mieux les supporter. Le valet conseille donc, comme d'autres avant lui (Rabelais, Molière ou encore La Fontaine) et après lui (Ionesco ou l'humoriste Raymond Devos) de ne pas parler de « choses graves » sur le mode sérieux, mais de

orphelins perdus dans la tempête : Gwynplaine, un jeune garçon marqué au visage par une cicatrice qui lui donne en permanence une sorte de rire, et Déa, une fillette aveugle. Quelques années plus tard, ils sillonnent ensemble les routes et donnent un spectacle dont Gwynplaine, devenu adulte, est la vedette. Partout on veut voir ‘L’Homme qui rit’, il fait rire et émeut les foules. Ce succès ouvre au jeune homme les portes de la célébrité et de la richesse et l'éloigne des deux seuls êtres qui l’aient

beaucoup développé durant les siècles qui sont passés. Ainsi nous pouvons nous poser la question pourquoi les écrivains préfèrent-ils utiliser le comique ? Tout d’abord nous allons voir la formes de comiques la plus utilisé par les auteurs puis que le rire qu’entraine le comique peut atténuer une vérité mais aussi parce que le comique est souvent mieux lue ou vue que d’autre style. Le comique apparait sous différentes formes mais seul le comique de paroles est utilisé par les auteurs. Il est surtout

de cet anti-héros dans le roman. Pour ce, nous verrons que le héros est indispensable au roman, mais qu’il existe effectivement des héros faibles, et médiocres, dont nous étudierons l’intérêt au sein du roman. Depuis toujours, le héros a un rôle bien particulier dans le roman, dont il est le personnage principal, le fil conducteur. Dans la majorité des cas, il est un être hors du commun, soit par son destin exceptionnel, soit par sa bravoure et son courage, soit par l’amour qui l’amène à accomplir

Dans cet extrait des Fourberies de Scapin daté de 1671, Molière reprend les caractéristiques de la farce qui vise à faire rire le lecteur ou le spectateur. Son personnage principal, Scapin le valet veut ici se venger de Géronte . Il fait croire à ce dernierqu'un personnage nommé Gascon veut se venger delui, il fait donc cacher Géronte dans un sac et le roue de coups de bâton. Scapin se fait passer pour le défenseur de Géronte prétextant que c’est lui qui a pris les coups. Molière parvient

leçon passe mieux par le rire. Dans un premier temps il s'agira d'analyser la façon dont le rire fait passer une leçon et voir si cette leçon passe correctement de cette manière. Puis dans un second temps, il sera nécessaire d'analyser les limites du passage de la leçon par le rire et pour finir , il conviendra d'examiner les autres manières utilisées pour faire passer une leçon. Il existe différent types de rires pour faire passer une leçon. Tout d'abord le rire peut masquer la leçon afin

Introduction « Je me presse de rire de tout, de peur d’être obligé d’en pleurer », lance Figaro à son maître dans Le Barbier de Séville de Beaumarchais. Il entend par là que prendre les événements de manière détachée, en plaisantant, permet, avec le recul qu’implique l’humour, de mieux les supporter. Le valet conseille donc, comme d’autres avant lui (Rabelais, Molière ou encore La Fontaine) et après lui (Ionesco ou l’humoriste Raymond Devos) de ne pas parler de « choses graves » sur le mode sérieux

car il représente bien la France avec ses gags et ses clichés du club-med au alpes et des touristes français, ainsi rire des bronzés c'est un peu rire de soi, c'est peut être pourquoi certains n'aiment pas la saga des bronzés, car la vérité est souvent sans concessions; avec des personnages qui sont ringards, vulgaire, attachants, drôles, et sans gêne plein de gaieté et qui incite a rire a travers leur attitudes et c'est sans doute sa qui fait le sucés des bronzés, a savoir des personnages dans lesquelles