Le Roman C Est Un Miroir Qu On Promène Le Long Du Chemin

c'est encore l'écrire. Parce qu'il ne cessa de s'engager en faveur de la scène, voyant dans le théâtre « le plus haut des genres littéraires et en tout cas le plus universel2 », son œuvre théâtrale mérite pour le moins autant d'attention que ses romans ou ses essais. D'où vient donc qu'on n'en peut parler sans donner © Éditions Gallimard, 1958, pour Caligula, 1993, pour la préface et le dossier. 1. « Pourquoi je fais du théâtre » (1959), in Tkéâtre, récits, nouvelles, Pléiade, p. 1727. 2. Ibid

c'est encore l'écrire. Parce qu'il ne cessa de s'engager en faveur de la scène, voyant dans le théâtre « le plus haut des genres littéraires et en tout cas le plus universel2 », son œuvre théâtrale mérite pour le moins autant d'attention que ses romans ou ses essais. D'où vient donc qu'on n'en peut parler sans donner © Éditions Gallimard, 1958, pour Caligula, 1993, pour la préface et le dossier. 1. « Pourquoi je fais du théâtre » (1959), in Tkéâtre, récits, nouvelles, Pléiade, p. 1727. 2. Ibid

Les programmes de l’Education Nationale 14 II. Procédés des traductions/adaptations 18 A. De(s) texte(s) en ancien français au français moderne 18 B. Du vers à la prose 24 1. Evolution du roman 24 2. Etude de l’incipit 25 C. Le découpage du texte 28 D. Donner un sens au roman 31 E. L’anticipation, la simplification 34 III. Littérarité et accès à la richesse culturelle 37 A. Suppression et cohérence interne : étude du thème de l’amour 37 B. Littérature et Histoire :

J. L'une des deux grandes figures féminines du roman. Elle est construite selon une antithèse avec Mme de Rênal, car elle dévore les livres de la bibliothèque paternelle. La scène de première rencontre avec Julien se fait dans la bibliothèque qui sert de cadre de confrontations décisives entre elle et Julien. Parisienne et spirituelle, Mathilde lutte contre sa propre aliénation à une vie mondaine et futile. Sa fierté contribue à donner au roman la tension propre au drame (son côté « Roméo et

des femmes ? — Ni le noir cormoran, sur la vague bercé, Ni les pierres du mur, ni le bruit cadencé Du lourd vaisseau, rampant sur l'onde avec des rames. Ce sont des sacs pesants, d'où partent des sanglots. On verrait, en sondant la mer qui les promène, Se mouvoir dans leurs flancs comme une forme humaine... — La lune était sereine et jouait sur les flots. Hugo, Les Orientales. « Clair de Lune ». L'auteur de ce recueil n'est pas de ceux qui reconnaissent à la critique le droit de questionner

l'individu ordinaire qu'il n'est plus simplement spectateur ->l'esthétique romantique est indissociable de cet engouement pr l'Histoire =>Chateaubriand : « Tout prend aujourd'hui la forme de l'histoire, polémique, théâtre, roman, poésie. »(Études et discours historiques, 1826) - roman : Walter Scott, Cinq Mars de Vigny (1825), Les Chroniques du règne de Charles IX de Mérimée(1828), ND de Paris de Hugo (1831) -les historiens contemporains ne cessent de se référer au théâtre->vie de Cromwell est un « gd

[pic] | | |Le long du vieux faubourg, où pendent aux masures | |Les persiennes, abri des secrètes luxures, | |Quand le soleil cruel frappe à traits redoublés | |Sur la ville et les champs, sur les toits et les blés, | |Je vais m'exercer seul à ma fantasque escrime

Programme du Capes de lettres Le roman :notions I) Origine du « genre » 1)Rapport à l'épopée 2)Un produit de la Renaissance 3)Généricité douteuse a)Critère thématique b)Critère compositionnel c)Critère pragmatique II) Nature du « genre » romanesque 1)Essai de typologie 2)Le roman et le récit 3)Le roman et le réalisme 4)Le personnage 5)Les lieux 6)Le temps III) Fonctions du « genre » romanesque 1)Le désir de parole 2)La fonction rituelle 3)Fonction

Vous seriez réduits, dès demain, à la mendicité, si l’on devenait vertueux aujourd’hui. Les théâtres seraient fermés ce soir. – Sur quoi feriez-vous votre feuilleton ? – Plus de bals de l’Opéra pour remplir vos colonnes, – plus de romans à disséquer ; car bals, romans, comédies, sont les vraies pompes de Satan, si l’on en croit notre sainte Mère l’Église. – L’actrice renverrait son entreteneur, et ne pourrait plus vous payer son éloge. – On ne s’abonnerait plus à vos journaux ; on lirait saint Augustin

maître-­‐serviteur.   Le   valet   moliéresque   entretient  avec  son  maître  une  relation  de  familiarité  et  lui  sert  de  confident.  Pour  le  maître,   il   est   même   une   espèce   de   miroir   avec   qui   la   discussion   n’a   pas   de   conséquence.   Cela   n'empêche   pas  qu’il  se   fait  rabrouer   ou  reçoit   des   coups.   Mais,  cette  relation   n’est  pas  du   tout