Le Roman Ludique

savoir. Le poète cherche alors à enseigner quelque chose au lecteur, à le faire réfléchir, lui ouvrir les yeux, mais également à le pousser à penser par lui-même. La poésie didactique à été très prônée au cours du XVIIIe siècle. Enfin, la poésie ludique, art poétique qui se concentre sur la fonction poétique du langage en utilisant des jeux de mots ou bien des images, des rythmes ou des sonorités particuliers. Ainsi, comme le dit Verlaine « De la musique avant toute chose ». Michaux, Rimbaud ou Mallarmé

satirique visant à ridiculiser puis à critiquer . B)La fable établit un parallélisme constant entre monde animal et monde humain • ours : maladresse , lourdeur • singe : flatterie, mimétisme irréfléchie • renard : ruse, conforme à la tradition du Roman de Renard • animaux personnifier : V12 « étalait sa puissance » , v17 «  cette mine » , v18 «  déplut » , « irrité » Vocabulaire de la monarchie : v12 «  prince » , v13 «  louvre » v4 «  vassaux » • Mais aussi lexique du monde animal : « 

comprend pas la réflexion derrière ce tableau, il n’y voit qu’une oeuvre vierge. Il ne peut pas comprendre que derrière ce tableau, il y as une réflexion de l’artiste et que l’art n’est pas forcément beau ou impressionnant. Serge le dit plus tôt dans le roman, il n’as pas le “bagage artistique” ou “l’éducation” nécessaire au jugement de ce tableau. Les racistes ne comprennent pas les cultures autres que la leur. Yvan ne comprend pas l’art différent de celui qu’il as dans son salon, peint par son père. On

entre la question du bonheur et celle de la Providence. Activité proposée : Corpus : • Voltaire, Candide, fin du chapitre 30 • Rousseau, Confessions , livre IX de " Voltaire, en paraissant toujours croire en Dieu " jusqu’à " Elle n’est autre que le roman de Candide , dont je ne puis parler, parce que je ne l’ai pas lu. " • Diderot, Jacques le Fataliste et son maître, sixième journée, de " Jacques ne connaissait ni le nom de vice, ni le nom de vertu." jusqu’à " et il était consolé ". • Voltaire, Zadig

sommes servis sur un plateau. » (125). Voir Fin de partie p. 77-78 « A quoi est-ce que je sers ? – A me donner la réplique. » C’est la représentation, le rapport scène/salle, qui fait exister le personnage. Cf la crise du personnage dans le nouveau roman (Alain Robbe-Grillet, Nathalie Sarraute) et dans le théâtre moderne. Un personnage « clownesque » : « Teint très rouge », « Démarche raide et vacillante ». NB : clown = personnage de bouffon dans le théâtre élizabéthain, puis personnage de cirque

Marot analyse ses sentiments vraiment subtilement. Le poète choisit des mots, des figures stylistiques adaptées à la personne décrite. Ils sont délicats et en même temps simples. Dans le deuxième épigramme Le dizain de neige on voit des aspects ludiques. Dans ce poème nous avons aussi la situation quotidienne. Le poème est construit comme un récit. L’homme raconte : « Anne par jeu me jecta de la neige11 ». La scène est un peu infantile. Ils sont comme deux enfants, profitant de cet instant de

question du bonheur et celle de la Providence. Activité proposée : Corpus : Voltaire, Candide,  fin du chapitre 30   Rousseau, Confessions , livre IX de  "  Voltaire, en paraissant toujours croire en Dieu " jusqu’à " Elle n’est autre que le roman de Candide , dont je ne puis parler, parce que je ne l’ai pas lu. " Diderot, Jacques le Fataliste et son maître, sixième journée, de " Jacques ne connaissait ni le nom de vice, ni le nom de vertu." jusqu’à " et il était consolé ". Voltaire, Zadig

le nouveau roman Le nouveau roman On groupe sous l'expression " nouveau roman " des œuvres publiées en France à partir des années 1950 et qui ont eu en commun un refus des catégories considérées jusqu'alors comme constitutives du genre romanesque, notamment l'intrigue - qui garantissait la cohérence du récit - et le personnage, en tant qu'il offrait, grâce à son nom, sa description physique et sa caractérisation psychologique et morale, une rassurante illusion d'identité. À la tradition

INTRODUCTION : Biographie de Boris Vian : Écrivain, chanteur, ingénieur, trompettiste et critique de jazz, parolier et compositeur, Boris Vian fut une figure du Saint-Germain-des-Prés de l’après-guerre. Ses poèmes, ses romans et ses pièces de théâtre sont d’une grande inventivité verbale, mélange jubilatoire de poésie, d’humour dérisoire et de mélancolie. Il a souvent publié sous le nom de Vernon Sullivan, et pris d'autres pseudonymes comme Bison Ravi, Baron Visi ou Brisavion

l’univers loufoque du non-sens, provocant une discordance entre le «fond» et la «forme», entre le sens littéral et les connotations. «L’oeuvre devient alors un immense jeu d’esprit, un immense jeu de mots, une suite de clins d’oeil soulignant l’intention ludique. Cette technique «contrapuntique» reprise et prônée par Ionesco3 , se prêtant à de multiples modalités, est devenue l’un des procédés préférés du nouveau théâtre, Beckett et Adamov y ayant eu recours, eux aussi4 .»5 3. ETUDE DE L’OEUVRE Scène 1