Le Roseau Pensant

acte. Reflexion à prendre au sens littéral : dédoublement d'une chose en sa représentation. Chez l'Homme il y a du jeu ( je peux jouer avec ce que je suis/vie) dans son comportement. PASCAL a dit : « L'homme n'est qu'un roseau le plus faible de la nature mais c'est un roseau pensant. Et il ne faut pas ( =pas la peine) que l'univers entier s'arme pour le tuer . Une goutte d'eau suffit pour l'écraser. Et quand (= même si) l'univers l'écraserait l'Homme serait encore plus digne que ce qui ke tue car il

s'est infligés à soi-même. SOPHOCLE Tout bruit écouté longtemps devient une voix. Victor HUGO Le sens révolutionnaire est un sens moral. Victor HUGO Toute recherche oblige. André GIDE L'homme n'est qu'un roseau, le plus faible de la nature ; mais c'est un roseau pensant. Blaise PASCAL La morale du jugement se moque de la morale de l'esprit qui est sans règle. Blaise PASCAL L'homme est un animal sociable qui déteste ses semblables. Eugène DELACROIX Le monde est un spectacle

d’une seule chose qui est de ne savoir pas demeurer en repos dans une chambre » (l4-5) cette introspection est pourtant présentée telle « la seul chose » (l4-5) qui pourrait nous extirper de notre malheur (superlatif absolu). - Mais l’homme, « roseau pensant » comme le caractérisera Pascal ailleurs, a bien conscience de sa fragilité, de son inconsistance, quand il y pense, d’où tous les effort déployés, jusqu’à se mettre paradoxalement en danger Ex : « la guerre, les grands emplois » (l26-27) utilisation

Fleurs du Mal Queneau : « Si tu t’imagines », L’instant fatal Chassignet : « Est-il rien de plus vain » Boileau : « L’art d’écrire » (« Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement… ») Pascal, extraits des Pensées (disproportion de l’homme / Le roseau pensant) Vision d’un diaporama sur l’art baroque et ses caractéristiques Activités proposées à la classe par le professeur Contrôle de culture générale sur les mouvements littéraires Travail de synthèse :Présentation théâtrale, par groupes, des

La nature est-elle bien faite La nature est-elle bien faite ?Beaucoup de copies très naïves et complètement anthropocentrées. Le sujet n’est pas la nature est-elle bien faite pour l’homme, mais bien faite, dans l’absolu… Il est naïf (mais drôle) de dire que la nature est bien faite car elle a d’abord viré les dinosaures avant de nous faire apparaître ! Revoyez la méthode, beaucoup d’intros sont indigentes, ne citent pas le sujet ou pas le bon et ne problématisent pas. Intro : La nature

Pascal récuse pour sa part l’idée de conscience « substance » (« une chose » pensante) et lui préfère la métaphore du roseau qui évoque non seulement la grandeur de l’homme mais aussi sa fragilité : « La grandeur de l’homme est grande en ce qu’il se connaît misérable. Un arbre ne se connaît pas misérable. Pensée fait la grandeur de l’homme […] L’homme n’est qu’un roseau, le plus faible de la nature. Mais c’est un roseau pensant » Toute conscience est une conscience morale La conscience serait donc

la jeunesse, moins expérimentée et moins réfléchie car plus « apprentie en sagesse » ? L’« action permanente » doit-elle en réalité prendre le pas sur la réflexion ? La réflexion c’est bien sur l’art d’exercer la pensée car "l’homme est un roseau pensant" qui fléchit au gré du vent et des expériences de la vie. L’homme a en lui la puissance de transcender ses faiblesses, de devenir bon. C’est un animal qui a la chance, a priori, d’être doté de l’esprit, de la raison, et qui est donc capable

bien lucrative. Il utilise des métaphores frappantes. Il décrit la raison comme une plante souple : « plaisante raison qu’un vent manie et à tout sens ». On pense alors à un autre fragment célèbre des Pensées où Pascal décrit l’homme comme un « roseau pensant ». La métaphore fragilise ici la faculté vue comme la plus puissante par les humanistes. L’imagination est aussi à l’origine de nombreuses « secousses » en l’homme. Par cette métaphore, Pascal fait de l’imagination une force agissante et vivante

pleinement ses désirs (lorsqu’il fait l’amour) sans complexe. Dans cette perspective, comment l’homme pourrait-il choisir sa vie et donc un destin ? Mais, l’homme ne saurait se résumer à un animal déterminé. Sa condition intermédiaire de « roseau pensant », pour reprendre une très célèbre formule de Pascal dans ses Pensées, est due à la conscience qui fait à la fois sa misère et sa fortune. « Ni bête, ni Dieu », selon Aristote, il n’a donc pas en réalité un vie complètement inchangeable. Ainsi

Commentaire de texte, Bardamu à la guerre« Dans une histoire pareille, il n’y a rien à faire, il n’y a qu’à foutre le camp », que je me disais, après tout…Au-dessus de nos têtes, à deux millimètres, à un millimètre peut-être des tempes, venaient vibrer l’un derrière l’autre ces longs fils d’acier tentants que tracent les balles qui veulent vous tuer, dans l’air chaud d’été.Jamais je ne m’étais senti aussi inutile parmi toutes ces balles et les lumières de ce soleil. Une immense, universelle moquerie